Cyan avait été déçu quand l’orc n’avait pas cherché à faire quoi que ce soit de sexuel la veille, d’autant plus qu’il avait cru lire une lueur d’intérêt dans son regard. Il était à présent consolé. Ses tétons étaient encore tout sensibles et il lui semblait sentir toujours l’orc en lui.
Si le sexe avait été magique, le fait qu’il le porte ainsi dans ses bras l’était tout autant. Il avait le sentiment d’être chéri, ainsi blotti contre le poitrail de l’orc. Il savait bien que ce n’était qu’une impression et qu’en vérité Gulrik ne faisait que satisfaire ses besoins sexuels et ne voulait pas perdre de temps avec Cyan qui marchait lentement, mais cela ne l’empêchait pas d’en profiter.
Cyan aurait aimé savoir combien de jours ils leur faudrait pour atteindre leur destination et aussi quel travail l’orc comptait lui donner. Il aurait voulu également en apprendre davantage sur Gulrik, mais il osait d’autant moins l’interroger que l’orc semblait préférer le silence.
A l’exception d’une pause afin de vider leurs vessies, l’orc marcha – et même courut à un moment – jusqu’à ce que le soleil se couche.
Quand il s’arrêta enfin pour manger et camper, il donna à Cyan sa première leçon de chasse. Une bonne partie de ses conseils étaient hélas inadaptés dans la mesure où Cyan était humain. A la différence de l’orc, il ne pouvait utiliser son odorat pour repérer ses proies et ne voyait pas bien dans l’obscurité.
Après un grognement frustré, Gulrik partit seul chasser leur dîner.
Il ramena deux lapins en un temps record.
Cyan participa au dépeçage. Cela au moins était dans ses capacités, même s’il n’appréciait guère la tâche.
Leurs estomacs pleins, Gulrik étendit la couverture et se déshabilla. Cyan aurait dû s’habituer à force, mais non, cela lui faisait toujours autant d’effet.
L’orc s’allongea et Cyan fit de même, mais à distance, sur le bord de la couverture, tournant le dos à Gulrik.
L’orc ne l’entendit pas de cette oreille et l’attira à lui. Cyan se retrouva pressé contre son grand corps brûlant, la large main de l’orc sur son ventre. Il sentit contre ses fesses le pénis de l’orc se durcir et il retint son souffle dans l’expectative.
— Suce-moi, grogna l’orc, en ôtant sa main qui retenait Cyan.
Ce n’était pas exactement un ordre, mais Cyan n’hésita pas – il avait l’autorisation et c’était tout ce qui comptait – il glissa plus bas sur la couverture de façon à ce que sa bouche soit au niveau de l’énorme membre de l’orc. Il le lécha tout en le caressant, avant d’ouvrir en grand. Même comme ça, il ne pouvait guère qu’en sucer le bout sans s’étouffer. Le liquide séminal de l’orc qu’il devait sans cesse avaler avait un goût étrangement addictif. Bien que ses mâchoires fatiguent, il persista et l’orc émit finalement un grondement guttural tandis qu’un flot de sperme envahissait la bouche de Cyan, s’écoulant en partie sur ses joues et jusque dans son cou.
L’orc baissa d’un mouvement vif le pantalon de Cyan, referma sa grande main sur le pénis palpitant et un instant plus tard, Cyan jouissait aussi.
— Dormons maintenant, déclara Gulrik. Demain, tu marches, ajouta-t-il.
Cyan, pas encore remis de son orgasme, esquissa un signe de tête. Il remonta son pantalon avec peine et se réinstalla contre l’orc.
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Si le sexe avait été magique, le fait qu’il le porte ainsi dans ses bras l’était tout autant. Il avait le sentiment d’être chéri, ainsi blotti contre le poitrail de l’orc. Il savait bien que ce n’était qu’une impression et qu’en vérité Gulrik ne faisait que satisfaire ses besoins sexuels et ne voulait pas perdre de temps avec Cyan qui marchait lentement, mais cela ne l’empêchait pas d’en profiter.
Cyan aurait aimé savoir combien de jours ils leur faudrait pour atteindre leur destination et aussi quel travail l’orc comptait lui donner. Il aurait voulu également en apprendre davantage sur Gulrik, mais il osait d’autant moins l’interroger que l’orc semblait préférer le silence.
A l’exception d’une pause afin de vider leurs vessies, l’orc marcha – et même courut à un moment – jusqu’à ce que le soleil se couche.
Quand il s’arrêta enfin pour manger et camper, il donna à Cyan sa première leçon de chasse. Une bonne partie de ses conseils étaient hélas inadaptés dans la mesure où Cyan était humain. A la différence de l’orc, il ne pouvait utiliser son odorat pour repérer ses proies et ne voyait pas bien dans l’obscurité.
Après un grognement frustré, Gulrik partit seul chasser leur dîner.
Il ramena deux lapins en un temps record.
Cyan participa au dépeçage. Cela au moins était dans ses capacités, même s’il n’appréciait guère la tâche.
Leurs estomacs pleins, Gulrik étendit la couverture et se déshabilla. Cyan aurait dû s’habituer à force, mais non, cela lui faisait toujours autant d’effet.
L’orc s’allongea et Cyan fit de même, mais à distance, sur le bord de la couverture, tournant le dos à Gulrik.
L’orc ne l’entendit pas de cette oreille et l’attira à lui. Cyan se retrouva pressé contre son grand corps brûlant, la large main de l’orc sur son ventre. Il sentit contre ses fesses le pénis de l’orc se durcir et il retint son souffle dans l’expectative.
— Suce-moi, grogna l’orc, en ôtant sa main qui retenait Cyan.
Ce n’était pas exactement un ordre, mais Cyan n’hésita pas – il avait l’autorisation et c’était tout ce qui comptait – il glissa plus bas sur la couverture de façon à ce que sa bouche soit au niveau de l’énorme membre de l’orc. Il le lécha tout en le caressant, avant d’ouvrir en grand. Même comme ça, il ne pouvait guère qu’en sucer le bout sans s’étouffer. Le liquide séminal de l’orc qu’il devait sans cesse avaler avait un goût étrangement addictif. Bien que ses mâchoires fatiguent, il persista et l’orc émit finalement un grondement guttural tandis qu’un flot de sperme envahissait la bouche de Cyan, s’écoulant en partie sur ses joues et jusque dans son cou.
L’orc baissa d’un mouvement vif le pantalon de Cyan, referma sa grande main sur le pénis palpitant et un instant plus tard, Cyan jouissait aussi.
— Dormons maintenant, déclara Gulrik. Demain, tu marches, ajouta-t-il.
Cyan, pas encore remis de son orgasme, esquissa un signe de tête. Il remonta son pantalon avec peine et se réinstalla contre l’orc.
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Pendant
les fêtes, tout le monde est généralement toujours très occupé (moi comprise), alors c'est l'occasion de faire la pause.
Je vous souhaite donc un joyeux Noël en avance et on se retrouve pour une bonne année 2020 le lundi 6 janvier avec la suite de L'empreinte de l'orc !