Gulrik ne parvenait pas à fermer l’œil. Il ne savait quelle mouche l’avait piqué d’inviter un humain à l’accompagner. Il pouvait seulement blâmer l’impérieux désir que lui inspirait l’insignifiante créature. Cyan le rendait fou. La veille, il lui avait fallu toute sa volonté pour ne pas l’enlacer et goûter à sa délicate peau rosée alors qu’il sentait son enivrante excitation. Ce matin, à l’aube, à son réveil, face son érection douloureuse, il n’avait eu d’autre choix que de soulager en se caressant et avait joui en contemplant le visage endormi de l’humain orné de ses étranges marques marron-rouges qu’il aurait dû trouver répugnantes, mais qui étaient étrangement intéressantes.
Il n’était pourtant plus un jeune orc incapable de maîtriser ses pulsions sexuelles. Et pourtant, quand il avait posé la main sur lui, juste pour le réveiller, qu’il avait senti les battements effrénés de son cœur, le désir de le posséder l’avait consumé. Cela l’avait effrayé et il s’était forcé à demeurer impassible, à prétendre que tout était normal.
Non, s’il était près de perdre le contrôle, c’était la faute de Cyan qui le dévorait des yeux, tout en refusant qu’ils fassent quoi que ce soit. C’était une malhonnêteté typiquement humaine. En même temps, ce n’était pas idiot de se part de ne pas fricoter avec celui qui l’employait. Il semblait à Gulrik que leur relation ne se résumait pas à ça. Ils avaient plus qu’un lien de travail, mais ils étaient moins que des amis, ils étaient plus comme deux étrangers faisant connaissance.
Toute la journée, il avait rêvé de baisser le pantalon moulant qu’il avait choisi pour Cyan, de glisser son pénis entre ses cuisses et de s’y frotter avant d’éjaculer sur lui de façon à ce qu’il porte à son odeur.
Il lui avait même acheté des cadeaux et pas juste utilitaires. Les anneaux d’or étaient pour sa cousine qui collectionnait ce type de bijou et dont l’anniversaire approchait, mais le bracelet était destiné Cyan, de même que le poignard. Il ne lui avait donné ni l’un ni l’autre, ne voyant pas comment justifier son envie qu’il les ait. Ce n’était qu’un humain, bon sang de bois, un au corps maigre et marqué. Il ne parlait pas à tout bout de champ, comme les autres, était poli et respectueux, mais ce n’était pas des raisons suffisantes pour le ramener dans ses bagages.
Il n’avait pas supporté l’idée de ne plus le voir, tout en sachant que ceux de son espèce le maltraiteraient. Qu’ils puissent se comporter ainsi avec un des leurs lui paraissait aberrant.
Il n’était pourtant plus un jeune orc incapable de maîtriser ses pulsions sexuelles. Et pourtant, quand il avait posé la main sur lui, juste pour le réveiller, qu’il avait senti les battements effrénés de son cœur, le désir de le posséder l’avait consumé. Cela l’avait effrayé et il s’était forcé à demeurer impassible, à prétendre que tout était normal.
Non, s’il était près de perdre le contrôle, c’était la faute de Cyan qui le dévorait des yeux, tout en refusant qu’ils fassent quoi que ce soit. C’était une malhonnêteté typiquement humaine. En même temps, ce n’était pas idiot de se part de ne pas fricoter avec celui qui l’employait. Il semblait à Gulrik que leur relation ne se résumait pas à ça. Ils avaient plus qu’un lien de travail, mais ils étaient moins que des amis, ils étaient plus comme deux étrangers faisant connaissance.
Toute la journée, il avait rêvé de baisser le pantalon moulant qu’il avait choisi pour Cyan, de glisser son pénis entre ses cuisses et de s’y frotter avant d’éjaculer sur lui de façon à ce qu’il porte à son odeur.
Il lui avait même acheté des cadeaux et pas juste utilitaires. Les anneaux d’or étaient pour sa cousine qui collectionnait ce type de bijou et dont l’anniversaire approchait, mais le bracelet était destiné Cyan, de même que le poignard. Il ne lui avait donné ni l’un ni l’autre, ne voyant pas comment justifier son envie qu’il les ait. Ce n’était qu’un humain, bon sang de bois, un au corps maigre et marqué. Il ne parlait pas à tout bout de champ, comme les autres, était poli et respectueux, mais ce n’était pas des raisons suffisantes pour le ramener dans ses bagages.
Il n’avait pas supporté l’idée de ne plus le voir, tout en sachant que ceux de son espèce le maltraiteraient. Qu’ils puissent se comporter ainsi avec un des leurs lui paraissait aberrant.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode d'aujourd'hui, j'ai adoré voir Gulrik réfléchir à sa situation et son attirance envers Cyan ^__^
Le suspens reste entier quand à savoir s'il va finalement l'emmener avec lui ou pas...
Vivement la suite ^o^ en attendant je te souhaite un bon week-end
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