Cyan s’agita sur sa paillasse et soudain, Gulrik n’y tint plus. Il le voulait.
Il quitta son lit, s’agenouilla auprès de l’humain, souleva la couverture et l’appela.
Cyan cligna des yeux dans la pénombre de la chambre. A la différence de l’orc, il y voyait mal dans l’obscurité.
— Qu… quoi ?
Pour toute réponse, Gulrik passa le pouce sur les lèvres de Cyan, en savourant leur douceur. Sûrement, il n’avait pas besoin de plus pour comprendre. Gulrik n’allait tout de même pas lui faire un dessin.
Cyan donna un petit coup de langue, puis aspira le doigt dans sa bouche.
Les narines de Gulrik frémirent et son sang chanta dans ses veines. Peut-être aurait-il dû avoir une approche directe dès le départ. Les mots étaient surfaits. Comme les humains aimaient les utiliser, il avait cru à tort que c’était la bonne méthode.
Il palpa l’entrejambe de Cyan, caressant l’érection de ce dernier à travers le tissu.
L’humain se figea, cessant un instant de sucer son doigt avant de reprendre en émettant de petits bruits excitants. Gulrik voulait cette bouche sur son sexe. Il se mit en position au-dessus de Cyan, les jambes de chaque côté de l’humain, dégagea son doigt, et taquina avec son pénis les lèvres de Cyan. Ce dernier lécha le bout et en ouvrit en grand. Même comme ça, cela tenait juste. Au moins, il n’y avait pas d’encombrantes dents dans la bouche de l’humain, justes des petites qu’il prenait soin de ne pas enfoncer dans la chair de l’orc. Gulrik aurait aimé plonger au fond dans la chaude cavité, mais se retint. Les fellations en gorge profonde n’étaient pas pour tout le monde. Les mains de Cyan se refermèrent sur la base de la verge de Gulrik et y effectuèrent de délicieux mouvements de va-et-vients.
L’orc laissa échapper un premier jet de semence que l’humain peina à avaler. Il préféra se désengager. Cyan geignit, à priori déçu, ce qui fit sourire Gulrik. Que l’humain se rassure, c’était loin d’être fini. Il lui ôta pantalon et chemise, manquant de déchirer cette dernière dans sa hâte. Cette habitude humaine de dormir habillé était détestable.
Quand Cyan fut nu, Gulrik prit le temps de le regarder. Il l’avait déjà vu dévêtu au moment des bains, mais c’était différent parce que là, Cyan s’offrait à lui. L’orc posa une main possessive sur le torse de Cyan. Le cœur de l’humain battait à un rythme affolée. Il était tout frémissant et sans doute un peu effrayé. Il n’avait pas à l’être. Gulrik n’avait aucune intention de lui faire mal. Il comptait donner autant de plaisir qu’il allait en prendre.
Il remonta les jambes de Cyan, les lui écarta et lui éjacula dessus. Il étala son sperme généreusement avant d’en pousser à l’aide de son index à l’intérieur de Cyan qui fut parcouru d’un long frisson tandis que son pénis négligé palpitait. Gulrik le gratifia d’une brève caresse, puis continua à préparer Cyan à accueillir sa verge. L’humain était doux comme du velours autour de ses doigts et son souffle haletant, une douce mélodie à ses oreilles.
L’impatience le gagna. Il le jugea prêt et il le pénétra d’une poussée puissante sans s’enfoncer pour autant beaucoup.
Cyan cria et se raidit, l’enserrant douloureusement. Gulrik taquina le pénis de l’humain qui avait perdu en rigidité jusqu’à qu’il se détende et que ses muscles se relâchent. Gulrik, sans cesser de le caresser, donna de petits coups de reins.
Il quitta son lit, s’agenouilla auprès de l’humain, souleva la couverture et l’appela.
Cyan cligna des yeux dans la pénombre de la chambre. A la différence de l’orc, il y voyait mal dans l’obscurité.
— Qu… quoi ?
Pour toute réponse, Gulrik passa le pouce sur les lèvres de Cyan, en savourant leur douceur. Sûrement, il n’avait pas besoin de plus pour comprendre. Gulrik n’allait tout de même pas lui faire un dessin.
Cyan donna un petit coup de langue, puis aspira le doigt dans sa bouche.
Les narines de Gulrik frémirent et son sang chanta dans ses veines. Peut-être aurait-il dû avoir une approche directe dès le départ. Les mots étaient surfaits. Comme les humains aimaient les utiliser, il avait cru à tort que c’était la bonne méthode.
Il palpa l’entrejambe de Cyan, caressant l’érection de ce dernier à travers le tissu.
L’humain se figea, cessant un instant de sucer son doigt avant de reprendre en émettant de petits bruits excitants. Gulrik voulait cette bouche sur son sexe. Il se mit en position au-dessus de Cyan, les jambes de chaque côté de l’humain, dégagea son doigt, et taquina avec son pénis les lèvres de Cyan. Ce dernier lécha le bout et en ouvrit en grand. Même comme ça, cela tenait juste. Au moins, il n’y avait pas d’encombrantes dents dans la bouche de l’humain, justes des petites qu’il prenait soin de ne pas enfoncer dans la chair de l’orc. Gulrik aurait aimé plonger au fond dans la chaude cavité, mais se retint. Les fellations en gorge profonde n’étaient pas pour tout le monde. Les mains de Cyan se refermèrent sur la base de la verge de Gulrik et y effectuèrent de délicieux mouvements de va-et-vients.
L’orc laissa échapper un premier jet de semence que l’humain peina à avaler. Il préféra se désengager. Cyan geignit, à priori déçu, ce qui fit sourire Gulrik. Que l’humain se rassure, c’était loin d’être fini. Il lui ôta pantalon et chemise, manquant de déchirer cette dernière dans sa hâte. Cette habitude humaine de dormir habillé était détestable.
Quand Cyan fut nu, Gulrik prit le temps de le regarder. Il l’avait déjà vu dévêtu au moment des bains, mais c’était différent parce que là, Cyan s’offrait à lui. L’orc posa une main possessive sur le torse de Cyan. Le cœur de l’humain battait à un rythme affolée. Il était tout frémissant et sans doute un peu effrayé. Il n’avait pas à l’être. Gulrik n’avait aucune intention de lui faire mal. Il comptait donner autant de plaisir qu’il allait en prendre.
Il remonta les jambes de Cyan, les lui écarta et lui éjacula dessus. Il étala son sperme généreusement avant d’en pousser à l’aide de son index à l’intérieur de Cyan qui fut parcouru d’un long frisson tandis que son pénis négligé palpitait. Gulrik le gratifia d’une brève caresse, puis continua à préparer Cyan à accueillir sa verge. L’humain était doux comme du velours autour de ses doigts et son souffle haletant, une douce mélodie à ses oreilles.
L’impatience le gagna. Il le jugea prêt et il le pénétra d’une poussée puissante sans s’enfoncer pour autant beaucoup.
Cyan cria et se raidit, l’enserrant douloureusement. Gulrik taquina le pénis de l’humain qui avait perdu en rigidité jusqu’à qu’il se détende et que ses muscles se relâchent. Gulrik, sans cesser de le caresser, donna de petits coups de reins.
2 commentaires:
Hé bien Cyan n'est pas prêt d'oublier cette dernière nuit avant leur départ et même si Gulrik revient sur ses paroles de l'emmener avec lui, il auront ces doux moments en souvenirs ^o^
Merci pour l'épisode, une belle nuit d'amour à deux, j'ai trop hâte de lire la suite et voir comment leur relation va évoluer et ce que l'avenir leur réserve ^___^
Suite et fin de la nuit d'amour demain avec passage au point de vue de Cyan !
Plein de choses sont prévues pour Gulrik et Cyan - je ne suis pas encore certaine à 100%, mais je pense que je suis partie pour une longue histoire, pas comme toutes mes dernières !
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