Gulrik était conscient que c’était du grand n’importe quoi. Il aurait dû laisser l’humain à Manchor, avec les autres. Il n’y avait peut-être pas vraiment sa place, mais il l’avait encore moins à Orcania. Personne ne l’accueillerait à bras ouverts chez lui. Le père de Gulrik lui reprocherait sa folie à raison. Il n’était à dire vrai pas trop tard pour faire demi-tour, sauf qu’en dépit de toute logique, Gulrik voulait emmener Cyan avec lui. A Orcania, il pourrait veiller sur lui, s’assurer qu’il ait du travail et donc de quoi manger. Coucher encore avec lui.
Il avait satisfait sa curiosité et n’aurait pas dû avoir envie de recommencer et pourtant, il était tenté. Le matin même à l’auberge, il avait failli le prendre encore. Cyan était si réceptif, si étroit et si brûlant, le fourreau parfait, mais ce n’était pas un orc.
D’habitude, une fois suffisait à Gulrik. Il couchait rarement plus de deux fois avec le même partenaire. C’était presque à se demander si Cyan n’avait pas usé de quelque sortilège. La rumeur voulait que certains humains soient capables de magie, mais elle restait à prouver.
L’effet de nouveauté que représentait Cyan ne s’était pas encore estompé, et c’était tout. C’était la raison pour laquelle il avait eu de la peine à résister à l’envie de sucer son petit pénis après l’avoir soigné. Il n’y avait pas encore goûté. Qu’il désire Cyan ne justifiait cependant pas tout. Il n’aurait pas dû gaspiller de la mousse médicinale pour de bêtes écorchures aux genoux et il aurait dû le balancer sur son épaule comme un sac de pommes de terre plutôt que de le tenir ainsi contre lui comme quelque chose de précieux.
Si des orcs le voyaient avec un humain dans les bras et le reconnaissait, sa réputation prendrait un sale coup. Seulement, le confort de Cyan lui importait et s’il le plaçait sur son épaule, il se retrouverait à le maintenir d’une main sur les fesses ce qui n’aiderait nullement son envie de de l’allonger par terre, de plonger en lui et de le pilonner encore et encore…
Gulrik serra les dents. Son adolescence était loin derrière lui. Il savait se maîtriser. Il pouvait patienter jusqu’à la tombée de la nuit et même se passer de sexe.
Il accéléra le pas. Plus tôt il serait de retour chez lui, mieux ce serait.
Il marcha sans discontinuer, Cyan blotti contre lui, jusqu’au soir. Il déposa l’humain sur une pierre près de la rivière.
— Je vais chasser notre dîner, annonça-t-il.
— D’accord. Merci, dit Cyan.
Il avait satisfait sa curiosité et n’aurait pas dû avoir envie de recommencer et pourtant, il était tenté. Le matin même à l’auberge, il avait failli le prendre encore. Cyan était si réceptif, si étroit et si brûlant, le fourreau parfait, mais ce n’était pas un orc.
D’habitude, une fois suffisait à Gulrik. Il couchait rarement plus de deux fois avec le même partenaire. C’était presque à se demander si Cyan n’avait pas usé de quelque sortilège. La rumeur voulait que certains humains soient capables de magie, mais elle restait à prouver.
L’effet de nouveauté que représentait Cyan ne s’était pas encore estompé, et c’était tout. C’était la raison pour laquelle il avait eu de la peine à résister à l’envie de sucer son petit pénis après l’avoir soigné. Il n’y avait pas encore goûté. Qu’il désire Cyan ne justifiait cependant pas tout. Il n’aurait pas dû gaspiller de la mousse médicinale pour de bêtes écorchures aux genoux et il aurait dû le balancer sur son épaule comme un sac de pommes de terre plutôt que de le tenir ainsi contre lui comme quelque chose de précieux.
Si des orcs le voyaient avec un humain dans les bras et le reconnaissait, sa réputation prendrait un sale coup. Seulement, le confort de Cyan lui importait et s’il le plaçait sur son épaule, il se retrouverait à le maintenir d’une main sur les fesses ce qui n’aiderait nullement son envie de de l’allonger par terre, de plonger en lui et de le pilonner encore et encore…
Gulrik serra les dents. Son adolescence était loin derrière lui. Il savait se maîtriser. Il pouvait patienter jusqu’à la tombée de la nuit et même se passer de sexe.
Il accéléra le pas. Plus tôt il serait de retour chez lui, mieux ce serait.
Il marcha sans discontinuer, Cyan blotti contre lui, jusqu’au soir. Il déposa l’humain sur une pierre près de la rivière.
— Je vais chasser notre dîner, annonça-t-il.
— D’accord. Merci, dit Cyan.
1 commentaire:
Ah Gulrik Gulrik se sont les prémices de l'amour que tu ressens pour Cyan ^__^ Bientôt tu verras que tu ne peux plus t'en passer de ton petit humain
Merci pour l'épisode, j'adore quand on passe d'un point de vue à l'autre cela permet de voir le ressentis de chacun :)
J'ai trop hâte de lire la suite, bonne semaine à toi ^o^
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