Ils retournèrent ensuite à la cordonnerie. Cyan retira les bouts de cuir usés jusqu’à la corde qui lui servaient de chaussure pour enfiler la nouvelle paire. Il effectua quelques pas maladroits dedans. Ce devait être déconcertant pour lui de ne presque plus boiter.
Ils quittèrent les lieux.
Gulrik constata avec un soupir que Cyan ne marchait pas vraiment plus rapidement qu’avant, puis se morigéna, c’était normal, il fallait que l’humain s’habitue au changement.
— Nous devrions t’acheter aussi de nouveaux vêtements.
Cyan ralentit.
— Je… C’est trop.
— J’insiste. Une tenue pour part de ton salaire.
— Allons dans une friperie, alors, murmura Cyan.
Gulrik avait les moyens de lui payer des vêtements neufs, mais il concéda ce point à l’humain.
En chemin, Cyan trébucha. Gulrik l’empêcha de tomber en le rattrapant par la taille.
— Ça va ?
Cyan leva ses yeux bleu cristallin vers lui et Gulrik en eut le souffle coupé.
Le tenir contre lui était impossiblement confortable, comme si le fragile humain avait eu sa place dans ses bras.
— Oui. Pardon. Je ne… Les chaussures. Merci.
Son bégaiement possédait un charme inexplicable. Les joues de l’humain étaient à nouveau enflammées comme un appel aux caresses.
Gulrik le relâcha, mais à contrecœur.
Ils se remirent en route.
La boutique de vêtements était tenue par une jeune humaine qui les accueillit froidement, ce qui n’était pas la meilleure façon de traiter les clients.
Gulrik ne laissa pas Cyan la liberté de choisir ses habits. L’humain protesta bien sûr, mais il était hors de question que Gulrik paye pour des affaires ternes et informes quand il y avait une chemise bleu pâle qui rappelait les yeux de Cyan et un pantalon noir moulant.
Ils repartirent avec leurs achats sous le bras.
Ils quittèrent les lieux.
Gulrik constata avec un soupir que Cyan ne marchait pas vraiment plus rapidement qu’avant, puis se morigéna, c’était normal, il fallait que l’humain s’habitue au changement.
— Nous devrions t’acheter aussi de nouveaux vêtements.
Cyan ralentit.
— Je… C’est trop.
— J’insiste. Une tenue pour part de ton salaire.
— Allons dans une friperie, alors, murmura Cyan.
Gulrik avait les moyens de lui payer des vêtements neufs, mais il concéda ce point à l’humain.
En chemin, Cyan trébucha. Gulrik l’empêcha de tomber en le rattrapant par la taille.
— Ça va ?
Cyan leva ses yeux bleu cristallin vers lui et Gulrik en eut le souffle coupé.
Le tenir contre lui était impossiblement confortable, comme si le fragile humain avait eu sa place dans ses bras.
— Oui. Pardon. Je ne… Les chaussures. Merci.
Son bégaiement possédait un charme inexplicable. Les joues de l’humain étaient à nouveau enflammées comme un appel aux caresses.
Gulrik le relâcha, mais à contrecœur.
Ils se remirent en route.
La boutique de vêtements était tenue par une jeune humaine qui les accueillit froidement, ce qui n’était pas la meilleure façon de traiter les clients.
Gulrik ne laissa pas Cyan la liberté de choisir ses habits. L’humain protesta bien sûr, mais il était hors de question que Gulrik paye pour des affaires ternes et informes quand il y avait une chemise bleu pâle qui rappelait les yeux de Cyan et un pantalon noir moulant.
Ils repartirent avec leurs achats sous le bras.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode, Gulrik se la joue un peu pretty woman avec Cyan en le relookant comme ça ^o^ j'adore et je sens que plus il va lui offrir de quoi s'habiller plus il le verra sous un autre jour et craquera encore plus pour lui :)
Je suis curieuse de voir ce qu'en pense Cyan de tout ces cadeaux ^___^
Vivement le prochain épisode en tout cas XD
Ta comparaison avec Pretty Woman est amusante !
On repasse sur le point de vue de Cyan demain... :)
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