— Bonjour ! Que puis-je faire pour vous ? demanda l’orc au comptoir, en léchant ses lèvres d’une manière qui invitait à flirter.
Il n’était pas mal dans son genre avec son nez et ses oreilles percés d’anneaux argentés, mais Gulrik n’était pas intéressé, il avait d’autres chats à fouetter.
— Je voudrais commander une paire de chaussures particulière, une dont le pied droit aurait une semelle plus épaisse. Ce serait pour lui, précisa-t-il en désignant Cyan qui était resté en retrait près de la porte.
L’humain sursauta.
L’orc au nez et oreilles percés jeta un œil dédaigneux à Cyan et grimaça.
— Pour lui ? Cela vous coûtera cher.
Gulrik ignora la mise en garde du vendeur.
— Je voudrais qu’elle soit fabriquée de suite.
L’orc annonça un montant qui parut raisonnable à Gulrik par rapport au service demandé, même s’il était peut-être gonflé parce que c’était pour un humain.
Cyan blanchit, les tâches marrons-rouges de son visage ressortant davantage sur son teint soudain pâle.
— Ce prix… Ce n’est pas nécessaire…
— C’est un bon investissement dont je bénéficierai. Je suis las que tu te traînes. Ça fait partie de ton salaire.
Cyan n’émit plus d’objections.
L’orc au comptoir appela un employé de l’arrière-boutique qui vint prendre les mesures nécessaires à la fabrication de la paire de chaussures. Ce dernier procéda en grommelant dans sa barbe, à priori pas enchanté d’avoir à s’occuper d’un humain.
Il leur fut ensuite indiqué de revenir en fin de matinée, ce qui leur laissait largement le temps de visiter le musée.
Toutes sortes de choses y étaient exposés – armes, tableaux, bijoux, statues de personnes célèbre avec une section pour les orcs et une pour les humains. Gulrik s’attarda auprès de certaines pièces. Cyan semblait également fasciné comme s’il n’y était jamais venu, ce qui était peut-être le cas, réalisa Gulrik. Ils avaient dû payer le droit d’entrée et l’humain ne devait avoir jamais roulé sur l’or.
Il n’était pas mal dans son genre avec son nez et ses oreilles percés d’anneaux argentés, mais Gulrik n’était pas intéressé, il avait d’autres chats à fouetter.
— Je voudrais commander une paire de chaussures particulière, une dont le pied droit aurait une semelle plus épaisse. Ce serait pour lui, précisa-t-il en désignant Cyan qui était resté en retrait près de la porte.
L’humain sursauta.
L’orc au nez et oreilles percés jeta un œil dédaigneux à Cyan et grimaça.
— Pour lui ? Cela vous coûtera cher.
Gulrik ignora la mise en garde du vendeur.
— Je voudrais qu’elle soit fabriquée de suite.
L’orc annonça un montant qui parut raisonnable à Gulrik par rapport au service demandé, même s’il était peut-être gonflé parce que c’était pour un humain.
Cyan blanchit, les tâches marrons-rouges de son visage ressortant davantage sur son teint soudain pâle.
— Ce prix… Ce n’est pas nécessaire…
— C’est un bon investissement dont je bénéficierai. Je suis las que tu te traînes. Ça fait partie de ton salaire.
Cyan n’émit plus d’objections.
L’orc au comptoir appela un employé de l’arrière-boutique qui vint prendre les mesures nécessaires à la fabrication de la paire de chaussures. Ce dernier procéda en grommelant dans sa barbe, à priori pas enchanté d’avoir à s’occuper d’un humain.
Il leur fut ensuite indiqué de revenir en fin de matinée, ce qui leur laissait largement le temps de visiter le musée.
Toutes sortes de choses y étaient exposés – armes, tableaux, bijoux, statues de personnes célèbre avec une section pour les orcs et une pour les humains. Gulrik s’attarda auprès de certaines pièces. Cyan semblait également fasciné comme s’il n’y était jamais venu, ce qui était peut-être le cas, réalisa Gulrik. Ils avaient dû payer le droit d’entrée et l’humain ne devait avoir jamais roulé sur l’or.
1 commentaire:
Trop bien cet épisode avec Gulrik qui fait fabriquer des chaussures exprès pour Cyan, il a bon cœur notre orc ^o^
Hâte de lire la suite et de voir Cyan avec ses nouvelles chaussures cela va lui changer la vie et fini la démarche de boiteux ^__^ J'espère qu'avec cela il prendra un peu plus confiance en lui ^_____^
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