— Et alors ? le pressa Tim, captivé malgré lui par le récit.
— Après avoir campé aux abords de la bibliothèque deux jours durant et être retourné consulté plusieurs fois mes messages, j'ai enfin reçu une réponse sérieuse d'un grec de l'antiquité qui m'a apporté son aide pour obtenir ce fameux papier d'identité.
Percival sortit de la poche de son pantalon de survêtement un portefeuille dont il tira une carte.
Tim s'en empara, halluciné. Elle avait l'air tout ce qu'il y a de plus authentique, même si l'année de naissance était fausse.
— Comment est-ce possible ?
— Je ne suis pas dans le secret de sa fabrication, mais mon bienfaiteur connaît la fille d'un autre voyageur du temps.
— Il y en a beaucoup, tu crois ?
— Cela serait étonnant, mais je ne suis pas un cas unique et c'est pour cela que j'ai pu obtenir de l'aide, être hébergé, obtenir cette carte et au final un travail et de quoi me payer un logis, même si mon bienfaiteur a dû se porter caution pour moi afin que j'y ai droit. Je crains ne pas toujours bien saisir les subtilités de l'époque moderne en dépit de mes efforts.
— Mais pourquoi as-tu mis autant de mois avant de me recontacter ?
— Je voulais avoir une situation dans ce siècle de façon à pouvoir rivaliser avec ton Félicien avant de mettre mon cœur à tes pieds et m'efforcer de regagner ton amour.
C'était idiot, mais avant que Tim ne puisse le lui faire remarquer, Percival s'agenouilla devant l'adolescent, tendant une main vers lui dans une posture qui pouvait s'interpréter aussi bien comme une proposition de mariage qu'une demande de pardon.
Tim ne résista pas, mit sa main dans la sienne, et le tira vers lui pour l'obliger à se relever.
Percival n'aurait pas dû lui mentir et disparaître comme il l'avait fait, mais l'adolescent non plus n'était pas blanc comme neige vu qu'il avait prétendu sortir avec Félicien.
Non, ce qui comptait, c'était que Percival l'aimait, était bien vivant, et qu'ils s'étaient retrouvés pour ne plus se quitter.
Tim effleura les lèvres de Percival d'un baiser pour signifier qu'il lui pardonnait.
Le chevalier l'embrassa en retour d'abord à pleine bouche, puis dans son cou, ses mains s'aventurant sous le haut de Tim.
— Après avoir campé aux abords de la bibliothèque deux jours durant et être retourné consulté plusieurs fois mes messages, j'ai enfin reçu une réponse sérieuse d'un grec de l'antiquité qui m'a apporté son aide pour obtenir ce fameux papier d'identité.
Percival sortit de la poche de son pantalon de survêtement un portefeuille dont il tira une carte.
Tim s'en empara, halluciné. Elle avait l'air tout ce qu'il y a de plus authentique, même si l'année de naissance était fausse.
— Comment est-ce possible ?
— Je ne suis pas dans le secret de sa fabrication, mais mon bienfaiteur connaît la fille d'un autre voyageur du temps.
— Il y en a beaucoup, tu crois ?
— Cela serait étonnant, mais je ne suis pas un cas unique et c'est pour cela que j'ai pu obtenir de l'aide, être hébergé, obtenir cette carte et au final un travail et de quoi me payer un logis, même si mon bienfaiteur a dû se porter caution pour moi afin que j'y ai droit. Je crains ne pas toujours bien saisir les subtilités de l'époque moderne en dépit de mes efforts.
— Mais pourquoi as-tu mis autant de mois avant de me recontacter ?
— Je voulais avoir une situation dans ce siècle de façon à pouvoir rivaliser avec ton Félicien avant de mettre mon cœur à tes pieds et m'efforcer de regagner ton amour.
C'était idiot, mais avant que Tim ne puisse le lui faire remarquer, Percival s'agenouilla devant l'adolescent, tendant une main vers lui dans une posture qui pouvait s'interpréter aussi bien comme une proposition de mariage qu'une demande de pardon.
Tim ne résista pas, mit sa main dans la sienne, et le tira vers lui pour l'obliger à se relever.
Percival n'aurait pas dû lui mentir et disparaître comme il l'avait fait, mais l'adolescent non plus n'était pas blanc comme neige vu qu'il avait prétendu sortir avec Félicien.
Non, ce qui comptait, c'était que Percival l'aimait, était bien vivant, et qu'ils s'étaient retrouvés pour ne plus se quitter.
Tim effleura les lèvres de Percival d'un baiser pour signifier qu'il lui pardonnait.
Le chevalier l'embrassa en retour d'abord à pleine bouche, puis dans son cou, ses mains s'aventurant sous le haut de Tim.
2 commentaires:
Whaou quel épisode décidément chaque jour c'est un pur régal ^__^
Merci à toi de nous faire rêver et voyager comme ça à chaque histoire
Percival a enfin avoué son amour à Tim c'est que du bonheur, je serais curieuse de voir ce bienfaiteur mais aussi ce que va dire la mère de Tim de cette réconciliation et s'ils vont recroiser Félicien... Beaucoup de questions que je me pose comme tu peux le constater XD
Eh oui, enfin, ça y est, Percival et Tim vont pouvoir roucouler un peu ! :)
Je préfère te prévenir que nous ne rencontrerons pas le bienfaiteur de Percival... Quant à la mère de Tim et Félicien, réponse dans les quelques épisodes restants !
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