Le
jeune homme, cependant, même après, était toujours en érection. Celle
de Melvyn devenant dur à supporter, il se déshabilla à son tour, la
libérant.
Raiponce haletait et se tordait.
Le prince le rassura avec des mots doux.
Tout en l'embrassant pour la première fois, il frotta son pénis contre celui du jeune homme qui fut pris d'un nouvel orgasme, mais demeura plein de désir.
Melvyn lécha le membre toujours dur et dressé et le doigta. Quand il l'estima prêt à l'accueillir en lui, il le pénétra.
Raiponce se mordit les lèvres en poussant une plainte, mais l'attira contre lui.
Le prince effectua des mouvements de va-et-viens de plus en plus rapides jusqu'à ce qu'ils jouissent ensemble.
Melvyn aurait voulu le garder enlacé, mais le jeune homme s'écarta.
La fièvre était tombée et, même sans comprendre ce qui s'était passé, il était bouleversé de l'intimité qu'il venait de partager avec le prince.
— Je t'aime, déclara Melvyn.
Ce n'était peut-être pas les meilleures circonstances pour le dire, mais il était inutile de lui cacher plus longtemps.
Il continua :
— C'est pour ça ce que je t'ai fait l'amour, même si je n'aurais sans doute pas dû profiter du fait que tu étais sous l'influence d'un espèce d'aphrodisiaque.
Raiponce, comme souvent, ne connaissait pas tous le sens des mots prononcés par le prince, mais ses sentiments ne lui échappèrent pas.
Un lien s'était tissé entre eux à mesure que dans son tiroir les cordons de soie devenaient une corde. Il n'avait su le définir jusqu'à présent. C'était donc de l'amour ce manque quand il n'était pas là, cette tristesse au moment où il partait, cette envie d'être tout près de lui. Cela n'avait aucun rapport avec l'affection qu'il éprouvait pour sa marraine.
— Que ressens-tu pour moi, Raiponce ?
— La même chose, murmura le jeune homme.
— Alors, pourquoi ne viens-tu pas dans mes bras ?
Raiponce vint s'y nicher timidement. Le prince posa tout doux ses lèvres contre celles du jeune homme qui se sentit à nouveau fiévreux, mais de façon agréable et non douloureuse, comme un peu plus tôt.
— Demain, je partirai d'ici avec toi.
Sa marraine ne tenait pas tant que cela à lui. Sans Melvyn, il aurait davantage souffert, de surcroît sans comprendre ce qui lui arrivait.
— Pourquoi pas aujourd'hui ? La corde est prête, non ?
— Je voudrais lui dire au revoir.
— Elle n'acceptera jamais ton départ.
— Je ne le mentionnerai pas.
Le prince n'insista pas. Un jour de plus, ce n'était pas grand chose, surtout si cela permettait à Raiponce de quitter sa prison, le cœur serein.
Raiponce haletait et se tordait.
Le prince le rassura avec des mots doux.
Tout en l'embrassant pour la première fois, il frotta son pénis contre celui du jeune homme qui fut pris d'un nouvel orgasme, mais demeura plein de désir.
Melvyn lécha le membre toujours dur et dressé et le doigta. Quand il l'estima prêt à l'accueillir en lui, il le pénétra.
Raiponce se mordit les lèvres en poussant une plainte, mais l'attira contre lui.
Le prince effectua des mouvements de va-et-viens de plus en plus rapides jusqu'à ce qu'ils jouissent ensemble.
Melvyn aurait voulu le garder enlacé, mais le jeune homme s'écarta.
La fièvre était tombée et, même sans comprendre ce qui s'était passé, il était bouleversé de l'intimité qu'il venait de partager avec le prince.
— Je t'aime, déclara Melvyn.
Ce n'était peut-être pas les meilleures circonstances pour le dire, mais il était inutile de lui cacher plus longtemps.
Il continua :
— C'est pour ça ce que je t'ai fait l'amour, même si je n'aurais sans doute pas dû profiter du fait que tu étais sous l'influence d'un espèce d'aphrodisiaque.
Raiponce, comme souvent, ne connaissait pas tous le sens des mots prononcés par le prince, mais ses sentiments ne lui échappèrent pas.
Un lien s'était tissé entre eux à mesure que dans son tiroir les cordons de soie devenaient une corde. Il n'avait su le définir jusqu'à présent. C'était donc de l'amour ce manque quand il n'était pas là, cette tristesse au moment où il partait, cette envie d'être tout près de lui. Cela n'avait aucun rapport avec l'affection qu'il éprouvait pour sa marraine.
— Que ressens-tu pour moi, Raiponce ?
— La même chose, murmura le jeune homme.
— Alors, pourquoi ne viens-tu pas dans mes bras ?
Raiponce vint s'y nicher timidement. Le prince posa tout doux ses lèvres contre celles du jeune homme qui se sentit à nouveau fiévreux, mais de façon agréable et non douloureuse, comme un peu plus tôt.
— Demain, je partirai d'ici avec toi.
Sa marraine ne tenait pas tant que cela à lui. Sans Melvyn, il aurait davantage souffert, de surcroît sans comprendre ce qui lui arrivait.
— Pourquoi pas aujourd'hui ? La corde est prête, non ?
— Je voudrais lui dire au revoir.
— Elle n'acceptera jamais ton départ.
— Je ne le mentionnerai pas.
Le prince n'insista pas. Un jour de plus, ce n'était pas grand chose, surtout si cela permettait à Raiponce de quitter sa prison, le cœur serein.
1 commentaire:
Je ne sais pas pourquoi mais je crois que cela ne va pas être si facile pour Raiponce de quitter la sorcière, pas sûre qu'elle le laisse partir si facilement même sans connaître les intentions de Raiponce ^^'
Merci pour cet épisode, j'ai hâte de lire la suite et non tu n'est pas la sorcière ^o^
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