Délaissant le doigt d'Ariel, Jim s'empara de ses lèvres, en savourant toute la douceur. Il voulait lui montrer à quel point il tenait à lui, à quel point il lui était précieux, à quel point il était prêt à tout pour lui... A tout ? Alors pourquoi refuser à Ariel de le sodomiser ? Le jeune homme le désirait en dépit de sa quarantaine passée, c'était flatteur en un sens. De quoi avait-il peur au juste ? Il savait aussi que bien lubrifié, il n'aurait pas mal.
— Nous sommes égaux, nous sommes pareils, lui souffla-t-il à l'oreille. Tu peux faire ce que tu veux de moi, ajouta-t-il, la voix rauque.
Un autre aurait peut-être demandé une confirmation, mais dans le cas d'Ariel, cela impliquait d'interrompre leur ébat pour reprendre le carnet. Il ne le fit pas et descendit les mains sur les fesses de Jim, les agrippant possessivement. Depuis leur discussion sur leurs rôles au lit, c'était une zone qu'il avait évité ce dont Jim lui avait été gré. Pour l'heure, c'était très excitant d'être touché à un endroit qui ne l'était pas habituellement. Jim appréhendait malgré tout.
Ariel lui baissa son pantalon et son slip, Jim acheva de les retirer. Le jeune homme lui palpa les cuisses, remonta sur ses hanches, et ses doigts glissèrent sur son pénis. Il composait sa propre partition amoureuse. Pour une fois, Jim n'était pas le chef d'orchestre.
Peut-être parce qu'il voulait garder une certaine maîtrise, il le conduisit jusqu'au canapé-lit commodément resté déplié. En vérité, Ariel s'embêtait rarement à le refermer.
Ils s'allongèrent. Le jeune homme continua à le caresser. Ce n'était pas si différent que cela d'habitude, mais Jim savait ce qu'il l'attendait et il se raidit quand Ariel glissa la main dans la raie de ses fesses.
Le jeune homme s'interrompit, mais ce n'était que pour récupérer le tube de lubrifiant. Il en déposa une quantité généreuse sur chacun de ses index et chose inattendue, se doigta, tout en s'occupant de l'orifice de Jim.
C'était étrange, mais pas trop désagréable, pas du tout même. Ariel s'empala sur le sexe dressé de Jim, sans cesser de bouger son index à l'intérieur de lui, auquel vint se joindre le majeur.
Jim gémit parce que c'était vraiment bon de le sentir sur lui et en lui. Ariel ne tarda hélas pas à se détacher de son corps.
— Reviens, supplia Jim.
Ariel cependant ne reprit pas chevauchée. A la place, il le pénétra en douceur, enserrant le pénis gonflé de Jim qui crut qu'il allait mourir de plaisir.
D'abord, Ariel ne bougea pas, lui laissant le temps de s'habituer, puis il lui donna de légers coups de reins avant de lui imposer un rythme de plus en plus rapide, caressant toujours son pénis.
Jim jouit dans un cri. Ariel le rejoignit dans son orgasme et s'affala à moitié sur lui.
— Tu avais raison de me dire que je ratais quelque chose, déclara Jim quand il eut recouvré son souffle.
Cela ouvrait de nouvelles possibilités de jeux amoureux.
Ariel lui sourit d'un air ravi qui valait tous les discours.
— Nous sommes égaux, nous sommes pareils, lui souffla-t-il à l'oreille. Tu peux faire ce que tu veux de moi, ajouta-t-il, la voix rauque.
Un autre aurait peut-être demandé une confirmation, mais dans le cas d'Ariel, cela impliquait d'interrompre leur ébat pour reprendre le carnet. Il ne le fit pas et descendit les mains sur les fesses de Jim, les agrippant possessivement. Depuis leur discussion sur leurs rôles au lit, c'était une zone qu'il avait évité ce dont Jim lui avait été gré. Pour l'heure, c'était très excitant d'être touché à un endroit qui ne l'était pas habituellement. Jim appréhendait malgré tout.
Ariel lui baissa son pantalon et son slip, Jim acheva de les retirer. Le jeune homme lui palpa les cuisses, remonta sur ses hanches, et ses doigts glissèrent sur son pénis. Il composait sa propre partition amoureuse. Pour une fois, Jim n'était pas le chef d'orchestre.
Peut-être parce qu'il voulait garder une certaine maîtrise, il le conduisit jusqu'au canapé-lit commodément resté déplié. En vérité, Ariel s'embêtait rarement à le refermer.
Ils s'allongèrent. Le jeune homme continua à le caresser. Ce n'était pas si différent que cela d'habitude, mais Jim savait ce qu'il l'attendait et il se raidit quand Ariel glissa la main dans la raie de ses fesses.
Le jeune homme s'interrompit, mais ce n'était que pour récupérer le tube de lubrifiant. Il en déposa une quantité généreuse sur chacun de ses index et chose inattendue, se doigta, tout en s'occupant de l'orifice de Jim.
C'était étrange, mais pas trop désagréable, pas du tout même. Ariel s'empala sur le sexe dressé de Jim, sans cesser de bouger son index à l'intérieur de lui, auquel vint se joindre le majeur.
Jim gémit parce que c'était vraiment bon de le sentir sur lui et en lui. Ariel ne tarda hélas pas à se détacher de son corps.
— Reviens, supplia Jim.
Ariel cependant ne reprit pas chevauchée. A la place, il le pénétra en douceur, enserrant le pénis gonflé de Jim qui crut qu'il allait mourir de plaisir.
D'abord, Ariel ne bougea pas, lui laissant le temps de s'habituer, puis il lui donna de légers coups de reins avant de lui imposer un rythme de plus en plus rapide, caressant toujours son pénis.
Jim jouit dans un cri. Ariel le rejoignit dans son orgasme et s'affala à moitié sur lui.
— Tu avais raison de me dire que je ratais quelque chose, déclara Jim quand il eut recouvré son souffle.
Cela ouvrait de nouvelles possibilités de jeux amoureux.
Ariel lui sourit d'un air ravi qui valait tous les discours.
3 commentaires:
Chaud bouillant l'épisode lol
merci, c'est toujours un plaisir de lire les réconciliations sur l'oreiller XD
Hâte de voir ce que tu nous réserve pour la suite ^__^
Il y a encore des choses à résoudre entre eux, même si ça progresse dans le bon sens. :)
Mooooow applaudissements pour tous les efforts de Jim qui permettent de maintenir à flot leur belle relation !!
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