Son état était peut-être dû à une autre fleur telle la plante de l’infusion de Zarn… Le géant cependant ne semblait pas du genre à lui jouer un tour pareil. En même temps, en tant qu’humain, Grégoire était susceptible de réagir différemment d’un Versélien.
Qu’il touche ou pas ne changeait rien à l’engorgement de son sexe, et il avait mal. Il gémit, s’emballa dans la couverture, même si son poids le gênait et en désespoir de cause, marcha vers le Gardien, son pénis tressautant à chaque pas.
Appuyant son front contre l’arbre, il confia à mi-voix son problème.
Un murmure à peine audible lui parvint :
— J’ai essayé de te mettre en garde hier, mais tu ne m’as hélas pas entendu. D’ailleurs, là, je suis en train de hurler. Bref, Saphir t’a donné un met aphrodisiaque qui doit être renforcé par les dernières perturbations de la feufleur.
— Mais pourquoi ? demanda Grégoire, en ne pouvant se retenir d’effleurer son sexe au gland rouge et luisant.
— La particularité de cet aphrodisiaque est que tant que tu n’auras pas réalisé un de tes fantasmes, tu pourras pas te calmer, et Saphir compte là-dessus. Il ne devrait pas tarder à récolter les fruits de sa tromperie.
Grégoire n’avait pas pour habitude de rougir, mais il vira à l’écarlate, car le seul désir inavouable qu’il avait consistait à découvrir son point P, autrement dit à ce qu’un autre homme le pénètre.
Qu’il n’ait pas su cacher son attirance pour le fée était une chose, que ce dernier en abuse de la sorte en était une autre. Il n’avait aucune envie que Saphir obtienne satisfaction.
Il lécha son majeur et l’introduisit en tremblant dans la raie de ses fesses. La couverture glissa de ses épaules sans qu’il ne cherche à la rattraper. Devant l’énormité de ce qu’il était en train de faire, du tabou qu’il n’avait jamais oser brisé, il se figea.
La tension sexuelle qui l’habitait, lui fit plonger un doigt, mais des larmes de frustration ne tardèrent pas à lui monter aux yeux. Il n’arrivait à rien.
— Tu peux te servir de moi, chuchota le Gardien.
Grégoire ne comprit pas ce qu’il voulait dire par là jusqu’à ce que ses yeux se posent sur une branche basse, lisse, épaisse, mais pas trop, au bout émoussé.
Il déglutit se rappelant d’un ses camarades d’université qui collectionnait les noms de déviances sexuelles comme d’autres les timbres. Dendrophilie : pathologie dans laquelle l’individu est excité par les arbres. Une autre pensée le traversa : les premiers jouets sexuels étaient en bois.
Qu’il touche ou pas ne changeait rien à l’engorgement de son sexe, et il avait mal. Il gémit, s’emballa dans la couverture, même si son poids le gênait et en désespoir de cause, marcha vers le Gardien, son pénis tressautant à chaque pas.
Appuyant son front contre l’arbre, il confia à mi-voix son problème.
Un murmure à peine audible lui parvint :
— J’ai essayé de te mettre en garde hier, mais tu ne m’as hélas pas entendu. D’ailleurs, là, je suis en train de hurler. Bref, Saphir t’a donné un met aphrodisiaque qui doit être renforcé par les dernières perturbations de la feufleur.
— Mais pourquoi ? demanda Grégoire, en ne pouvant se retenir d’effleurer son sexe au gland rouge et luisant.
— La particularité de cet aphrodisiaque est que tant que tu n’auras pas réalisé un de tes fantasmes, tu pourras pas te calmer, et Saphir compte là-dessus. Il ne devrait pas tarder à récolter les fruits de sa tromperie.
Grégoire n’avait pas pour habitude de rougir, mais il vira à l’écarlate, car le seul désir inavouable qu’il avait consistait à découvrir son point P, autrement dit à ce qu’un autre homme le pénètre.
Qu’il n’ait pas su cacher son attirance pour le fée était une chose, que ce dernier en abuse de la sorte en était une autre. Il n’avait aucune envie que Saphir obtienne satisfaction.
Il lécha son majeur et l’introduisit en tremblant dans la raie de ses fesses. La couverture glissa de ses épaules sans qu’il ne cherche à la rattraper. Devant l’énormité de ce qu’il était en train de faire, du tabou qu’il n’avait jamais oser brisé, il se figea.
La tension sexuelle qui l’habitait, lui fit plonger un doigt, mais des larmes de frustration ne tardèrent pas à lui monter aux yeux. Il n’arrivait à rien.
— Tu peux te servir de moi, chuchota le Gardien.
Grégoire ne comprit pas ce qu’il voulait dire par là jusqu’à ce que ses yeux se posent sur une branche basse, lisse, épaisse, mais pas trop, au bout émoussé.
Il déglutit se rappelant d’un ses camarades d’université qui collectionnait les noms de déviances sexuelles comme d’autres les timbres. Dendrophilie : pathologie dans laquelle l’individu est excité par les arbres. Une autre pensée le traversa : les premiers jouets sexuels étaient en bois.
2 commentaires:
Whaou quel épisode chaud bouillant pour clôturer cette semaine *__*
C'est un pur plaisir et plus l'histoire avance plus je sens que Grégoire se lie beaucoup avec le Gardien mais une relation semble impossible à moins que... ^o^
Enfin on verra bien, je ne veux pas gâcher le suspens :) Merci pour ces bons moments que je passe à lire cette histoire, c'est du bonheur à chaque fois
Bon week-end et hâte de lire la suite ^__^
L'épisode de la semaine prochaine ne devrait pas manquer de piment non plus... :)
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