— Où en étions-nous ? demanda Vulkain.
Il devait parler de leur conversation, car pendant son échange avec le centaure, il n’avait cessé de mélanger la pâte.
— Ma vocation.
Le dragon l’interrogea, cherchant à déterminer les dispositions de Grégoire, mais ce dernier était ouvert à tout, y compris des métiers n’existant pas à Versélia qui ne possédait aucune technologie.
Vulkain conclut que le mieux pour Grégoire était de tester et il se décida enfin à lui faire mettre la main à la pâte pour qu’il découvre l’art de la boulangerie.
Grégoire passa donc le restant de la journée à façonner toutes sortes de petits pains, assistant le dragon qui lui était indéniablement un boulanger passionné. Vulkain savait même mesurer la force de ses flammes pour allumer son four à la bonne température.
Le dragon l’invita ensuite à grimper sur son dos afin de le conduire au service de transports des centaures. Grégoire pourrait ainsi s’initier à un autre métier le lendemain.
Vu la manière dont Galway l’avait traité, l’idée semblait mauvaise à Grégoire, mais il ne parvint à expliquer ses réticences au dragon qui avait une bonne opinion du centaure.
Évidemment, il fallut que Vulkain, après l’avoir introduit au vieux centaure qui gérait le service, fasse appel à Galway.
— Si tu veux bien que Grégoire t’accompagne pendant une partie de ta tournée…
Galway accepta sans même faire valoir que « l’humain » allait le ralentir. Peut-être ne pouvait-on rien refuser au dragon. Grégoire, lui, avait du mal en tout cas.
Vulkain insista ensuite pour le déposer chez lui. Voyager à dos de dragon était une expérience similaire à se déplacer sur un oiseau géant, les écailles remplaçant les plumes et Grégoire fut bien content de retrouver le plancher des vaches.
Son premier mouvement fut de se rendre auprès du Gardien pour lui conter les derniers événements. Ce n’est qu’après coup qu’il se rappela qu’il valait mieux qu’il garde ses distances, pour ne pas trop s’attacher à lui.
La voix du grand arbre lui parvint avec une clarté qui le surprit :
— Tu vas être bien occupé.
— Je ne vais en effet pas avoir le temps de m’ennuyer.
Il aurait pu mettre fin à la conversation et retourner dans sa cabane, mais il la relança, le questionnant sur les différentes activités qu’il était possible d’exercer à Versélia. En l’écoutant, il se dit qu’à la vérité, c’était trop tard : il y avait déjà une connexion entre le Gardien et lui.
Il devait parler de leur conversation, car pendant son échange avec le centaure, il n’avait cessé de mélanger la pâte.
— Ma vocation.
Le dragon l’interrogea, cherchant à déterminer les dispositions de Grégoire, mais ce dernier était ouvert à tout, y compris des métiers n’existant pas à Versélia qui ne possédait aucune technologie.
Vulkain conclut que le mieux pour Grégoire était de tester et il se décida enfin à lui faire mettre la main à la pâte pour qu’il découvre l’art de la boulangerie.
Grégoire passa donc le restant de la journée à façonner toutes sortes de petits pains, assistant le dragon qui lui était indéniablement un boulanger passionné. Vulkain savait même mesurer la force de ses flammes pour allumer son four à la bonne température.
Le dragon l’invita ensuite à grimper sur son dos afin de le conduire au service de transports des centaures. Grégoire pourrait ainsi s’initier à un autre métier le lendemain.
Vu la manière dont Galway l’avait traité, l’idée semblait mauvaise à Grégoire, mais il ne parvint à expliquer ses réticences au dragon qui avait une bonne opinion du centaure.
Évidemment, il fallut que Vulkain, après l’avoir introduit au vieux centaure qui gérait le service, fasse appel à Galway.
— Si tu veux bien que Grégoire t’accompagne pendant une partie de ta tournée…
Galway accepta sans même faire valoir que « l’humain » allait le ralentir. Peut-être ne pouvait-on rien refuser au dragon. Grégoire, lui, avait du mal en tout cas.
Vulkain insista ensuite pour le déposer chez lui. Voyager à dos de dragon était une expérience similaire à se déplacer sur un oiseau géant, les écailles remplaçant les plumes et Grégoire fut bien content de retrouver le plancher des vaches.
Son premier mouvement fut de se rendre auprès du Gardien pour lui conter les derniers événements. Ce n’est qu’après coup qu’il se rappela qu’il valait mieux qu’il garde ses distances, pour ne pas trop s’attacher à lui.
La voix du grand arbre lui parvint avec une clarté qui le surprit :
— Tu vas être bien occupé.
— Je ne vais en effet pas avoir le temps de m’ennuyer.
Il aurait pu mettre fin à la conversation et retourner dans sa cabane, mais il la relança, le questionnant sur les différentes activités qu’il était possible d’exercer à Versélia. En l’écoutant, il se dit qu’à la vérité, c’était trop tard : il y avait déjà une connexion entre le Gardien et lui.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode ^__^
J'ai hâte de voir Grégoire assister Galway lol je sens que cela va être épique :)
Une relation s'est déjà construite entre lui et le Gardien et j'espère qu'elle va perdurer. Je suis trop curieuse de savoir quel vocation Grégoire va trouver ^o^
Vivement la suite et bon début de semaine ^__^
Bon début de semaine à toi aussi ! J'espère que la suite de l'histoire continuera à te plaire - un petit peu de mal à trouver le temps de l'écrire car je suis aussi en pleine correction pour les histoires précédentes !
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