— Je vais te préparer tout un jeu dans le même style afin que tu puisses tourner.
Grégoire profita que le sujet de la propreté ait été mis sur le tapis, même de façon indirecte, pour demander où il pouvait se laver.
Rufus l’invita à se doucher sous la cascade avoisinante, mais devant l’embarras de Grégoire de se montrer nu à la vue de tous, Crystal proposa de l’emmener aux bains du lac où un système de cabines permettait de préserver l’intimité de ses occupants.
Après avoir remercié Rufus, ils partirent donc. La propriétaire était une tortue géante qui n’avait pas sa langue dans sa poche. Même prévenu par le Gardien que certains animaux parlaient, et même après tout le reste, Grégoire eut du mal à s’en remettre.
Il fut soulagé quand elle l’introduisit dans un cabanon construit moitié sur la berge, moitié dans le lac dont l’eau était d’une tiédeur délicieuse.
Grégoire usa sans réserve de la mystérieuse boule blanche qui devait être un savon, heureux de se débarrasser de la crasse des jours précédents.
Il s’essuya avec la serviette d’une douceur incroyable et enfila ses habits neufs, toujours plus propres que les siens.
Crystal le conduisit ensuite à la sirène qui avait été mariée avec l’humain. C’était une gentille petite vieille ridée qui avait la particularité d’avoir un soutien gorge en coquillage et une queue de poisson. Elle lui souhaita de trouver l’amour à Versélia comme cela avait été le cas pour son défunt époux.
Après quoi, Grégoire préféra retourner auprès du Gardien, questionnant en chemin Crystal sur les manières de se repérer dans les bois.
La fée aux ailes irisées s’empressa de lui enseigner comment se débrouiller.
Elle était plus accommodante que Saphir dont les remarques étaient souvent mordantes. Grégoire regrettait malgré tout l’absence de ce dernier avec lequel il aurait aimé se réconcilier. Le soir arriva cependant sans qu’il se montre. Après un dîner sans saveur, Grégoire se pelotonna contre le Gardien.
A l’aube, des bruits étranges le réveillèrent. C’était Zarn qui tirait une charrette pleine de rondins. L’effort tendait les muscles de ses bras.
Le bonjour que Grégoire voulait prononcer mourut sous ses lèvres quand, en se levant, il réalisa qu’il ne sentait pas la dureté des racines apparentes du Gardien sous ses paumes.
Il effleura l’écorce du bout des doigts, mais elle n’était pas râpeuse. Il passa la main dans ses cheveux, mais ils n’étaient ni doux ni rien. C’était pour le moins déconcertant, même si ce n’était que l’affaire d’une ultime journée avant que tous ses sens ne soient enfin rétablis.
Grégoire profita que le sujet de la propreté ait été mis sur le tapis, même de façon indirecte, pour demander où il pouvait se laver.
Rufus l’invita à se doucher sous la cascade avoisinante, mais devant l’embarras de Grégoire de se montrer nu à la vue de tous, Crystal proposa de l’emmener aux bains du lac où un système de cabines permettait de préserver l’intimité de ses occupants.
Après avoir remercié Rufus, ils partirent donc. La propriétaire était une tortue géante qui n’avait pas sa langue dans sa poche. Même prévenu par le Gardien que certains animaux parlaient, et même après tout le reste, Grégoire eut du mal à s’en remettre.
Il fut soulagé quand elle l’introduisit dans un cabanon construit moitié sur la berge, moitié dans le lac dont l’eau était d’une tiédeur délicieuse.
Grégoire usa sans réserve de la mystérieuse boule blanche qui devait être un savon, heureux de se débarrasser de la crasse des jours précédents.
Il s’essuya avec la serviette d’une douceur incroyable et enfila ses habits neufs, toujours plus propres que les siens.
Crystal le conduisit ensuite à la sirène qui avait été mariée avec l’humain. C’était une gentille petite vieille ridée qui avait la particularité d’avoir un soutien gorge en coquillage et une queue de poisson. Elle lui souhaita de trouver l’amour à Versélia comme cela avait été le cas pour son défunt époux.
Après quoi, Grégoire préféra retourner auprès du Gardien, questionnant en chemin Crystal sur les manières de se repérer dans les bois.
La fée aux ailes irisées s’empressa de lui enseigner comment se débrouiller.
Elle était plus accommodante que Saphir dont les remarques étaient souvent mordantes. Grégoire regrettait malgré tout l’absence de ce dernier avec lequel il aurait aimé se réconcilier. Le soir arriva cependant sans qu’il se montre. Après un dîner sans saveur, Grégoire se pelotonna contre le Gardien.
A l’aube, des bruits étranges le réveillèrent. C’était Zarn qui tirait une charrette pleine de rondins. L’effort tendait les muscles de ses bras.
Le bonjour que Grégoire voulait prononcer mourut sous ses lèvres quand, en se levant, il réalisa qu’il ne sentait pas la dureté des racines apparentes du Gardien sous ses paumes.
Il effleura l’écorce du bout des doigts, mais elle n’était pas râpeuse. Il passa la main dans ses cheveux, mais ils n’étaient ni doux ni rien. C’était pour le moins déconcertant, même si ce n’était que l’affaire d’une ultime journée avant que tous ses sens ne soient enfin rétablis.
2 commentaires:
Merci pour l'épisode ^o^ Plus les épisodes passent et plus j'adore Versélia
Voilà que Grégoire perd le dernier de ses sens, il doit être bien triste de ne pouvoir sentir le contact du Gardien
J'ai adoré le système des bains où Grégoire a pu se laver :) J'espère qu'il se réconciliera avec Saphir, en attendant je suis curieuse de voir si Zarn sera plus causant lol
Vivement demain pour la suite ^__^
Nous allons passer un peu plus de temps avec Zarn, mais ne compte pas qu'il tienne un grand discours... :)
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