La Bête lui prépara un petit déjeuner de roi : chocolat chaud, petits pains et confiture de pomme parfumée à la rose.
Beau le remercia et le félicita pour ses talents culinaires, jouissant de son embarras. Il voulut ensuite s'occuper des ongles de la Bête qui renacla et retarda le moment en lui offrant de prendre des vêtements de son choix dans les armoires du château.
Beau n'était pas du genre à se soucier de son habillement, mais il accepta, se disant qu'il dénicherait peut-être quelque chose de plus adaptée à la taille de son geôlier qui décidément semblait à l'étroit dans les tenues qu'il portait.
Ses recherches n'aboutirent pas. Sur l'insistance de la Bête, il dut sélectionner pour lui-même des chemises aux manches bouffantes, des jaquettes brodées et des pantalons assortis. Il refusa cependant de les enfiler avant que la Bête n'ait accepté que Beau le rase, et lui coupe ongles et cheveux.
Ellese résigna, refusant toutefois catégoriquement qu'ils aillent dans ses quartiers pour procéder.
— Mais que cachez-vous donc là-bas ? Des cadavres ? demanda Beau.
La Bête s'offusqua.
— Tu as trop d'imagination !
— Certes, mais en m'interdisant de visiter vos quartiers et uniquement eux, avouez que cela à de quoi piquer la curiosité.
— Ne compte pas sur moi pour la satisfaire.
Beau s'inclina et finalement, ils s'installèrent dans la cuisine sur des tabourets.
Quand Beau prit la main de la Bête dans la sienne pour tailler ses ongles, il fut frappé par la rugosité de ses doigts et la largeur de sa paume et une pensée incongrue le traversa : quel effet cela lui ferait si la Bête le caressait avec ?
Les joues en feu, il termina le travail, puis s'attaqua à la barbe de la Bête, révélant des joues aux hautes pommettes marquées de traits lie-de-vin. Beau se sentit tout chose en les effleurant.
Il lui épila ensuite les sourcils sur l'arrête du nez, arrachant des cris terribles à la Bête qui lui intima d'arrêter. Beau cependant su lui faire accepter cette « torture » jusqu'au bout. Il lui coupa ensuite les cheveux qui se révélèrent doux, mais emmêlés.
Il n'avait pas pensé à mettre une serviette protectrice autour du cou de la Bête, aussi, quand il eut fini, elle ne tarda pas à se plaindre que cela la démangeait épouvantablement.
Les petits cheveux taillés étaient les coupables, comprit Beau, en le voyant s'agiter et pester en se frottant la nuque.
Il offrit de lui préparer un bain et l'aida à se déshabiller comme la Bête se grattait comme un forcené.
Tout était allé très vite, sans que Beau réfléchisse vraiment à ce qu'il faisait, mais quand il le vit nu, il cessa de respirer un instant. Son geôlier était toujours monstrueusement grand, mais avec le visage dégagé, il avait figure humaine, son corps était indéniablement celui d'un homme. Il était velu et musclé. Tout était décidément énorme chez lui, y compris ses parties génitales.
Beau le remercia et le félicita pour ses talents culinaires, jouissant de son embarras. Il voulut ensuite s'occuper des ongles de la Bête qui renacla et retarda le moment en lui offrant de prendre des vêtements de son choix dans les armoires du château.
Beau n'était pas du genre à se soucier de son habillement, mais il accepta, se disant qu'il dénicherait peut-être quelque chose de plus adaptée à la taille de son geôlier qui décidément semblait à l'étroit dans les tenues qu'il portait.
Ses recherches n'aboutirent pas. Sur l'insistance de la Bête, il dut sélectionner pour lui-même des chemises aux manches bouffantes, des jaquettes brodées et des pantalons assortis. Il refusa cependant de les enfiler avant que la Bête n'ait accepté que Beau le rase, et lui coupe ongles et cheveux.
Ellese résigna, refusant toutefois catégoriquement qu'ils aillent dans ses quartiers pour procéder.
— Mais que cachez-vous donc là-bas ? Des cadavres ? demanda Beau.
La Bête s'offusqua.
— Tu as trop d'imagination !
— Certes, mais en m'interdisant de visiter vos quartiers et uniquement eux, avouez que cela à de quoi piquer la curiosité.
— Ne compte pas sur moi pour la satisfaire.
Beau s'inclina et finalement, ils s'installèrent dans la cuisine sur des tabourets.
Quand Beau prit la main de la Bête dans la sienne pour tailler ses ongles, il fut frappé par la rugosité de ses doigts et la largeur de sa paume et une pensée incongrue le traversa : quel effet cela lui ferait si la Bête le caressait avec ?
Les joues en feu, il termina le travail, puis s'attaqua à la barbe de la Bête, révélant des joues aux hautes pommettes marquées de traits lie-de-vin. Beau se sentit tout chose en les effleurant.
Il lui épila ensuite les sourcils sur l'arrête du nez, arrachant des cris terribles à la Bête qui lui intima d'arrêter. Beau cependant su lui faire accepter cette « torture » jusqu'au bout. Il lui coupa ensuite les cheveux qui se révélèrent doux, mais emmêlés.
Il n'avait pas pensé à mettre une serviette protectrice autour du cou de la Bête, aussi, quand il eut fini, elle ne tarda pas à se plaindre que cela la démangeait épouvantablement.
Les petits cheveux taillés étaient les coupables, comprit Beau, en le voyant s'agiter et pester en se frottant la nuque.
Il offrit de lui préparer un bain et l'aida à se déshabiller comme la Bête se grattait comme un forcené.
Tout était allé très vite, sans que Beau réfléchisse vraiment à ce qu'il faisait, mais quand il le vit nu, il cessa de respirer un instant. Son geôlier était toujours monstrueusement grand, mais avec le visage dégagé, il avait figure humaine, son corps était indéniablement celui d'un homme. Il était velu et musclé. Tout était décidément énorme chez lui, y compris ses parties génitales.
1 commentaire:
De mignonnet la séance de manucure est passé à chaud bouillant avec ce bain ^^
Merci pour l'épisode, j'ai bien aimé cette séance de soins et ce moment d'intimité entre Beau et la Bête
Hâte de lire la suite XD
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