— Je ne vois rien, déclara finalement Eric, le relâchant. Mais pourtant, pas de doute, tu as mal quand tu marches... Où sont tes vêtements ? Laisse-moi te raccompagner jusqu'à chez toi.
Ondin le regarda avec intensité. Il n'avait jamais eu d'habits, si ce n'est des parures de coquillages et des écharpes d'algues et il ne pouvait retourner au fond de l'océan. Il avait choisi de vivre avec Eric, mais comment lui faire comprendre sans mots ?
Le brun soupira.
— Évidemment, tu ne peux pas me répondre et je ne vais tout de même pas t'abandonner avec rien sur le dos dans l'embarras.
Il ôta sa chemise, dévoilant un torse bronzé des plus séduisants et la lui tendit.
Ondin la prit, tenta de l'enfiler, mais dut s'y prendre mal, car Eric intervint et l'aida.
— Es-tu un enfant sauvage pour ne pas savoir comment t'habiller ? Allons, viens, appuie-toi sur moi, je vais t'emmener au château.
Ondin sourit, content de la tournure des évènements. Eric avait vraiment un cœur compatissant pour prendre ainsi soin d'un parfait inconnu.
Au château, le prince – car c'en était bel et bien un – le fit examiner par un médecin en pure perte. Il lui donna de beaux habits ainsi qu'un endroit pour dormir. Enfin, comme il ne savait son nom et qu'Ondin n'était pas en mesure de lui dire, il choisit de l'appeler Rou.
Les parents d'Eric ne se montrèrent pas très accueillants vis-à-vis du nouveau venu qu'ils considéraient comme une lubie de leur fils.
— C'est un simplet. Sa place n'est pas ici, décrétèrent-il dès le premier soir, à la fin du dîner, comme Ondin mettait de la nourriture partout, car il ne savait pas se servir des drôles d'instruments disposés autour de l'assiette.
Cependant, Eric n'en démordit pas et jours après jours, il passa du temps avec Ondin, lui apprenant patiemment à quoi servait les objets qui l'entouraient. Il se confiait volontiers à lui, peut-être parce qu'il savait que Ondin ne pourrait rien répéter à personne.
Ainsi, si Eric avait pris l'habitude de se rendre quotidienne sur la plage où il avait été découvert après la tempête, c'était dans l'espoir de retrouver celui ou celle qu'il avait sauvé. Il ne l'avait pas vu, mais il l'avait entendu et tenait à remercier la personne.
Ondin écoutait volontiers le prince tâchant par son attitude de montrer à quel point tout ce qu'il lui racontait l'intéressait. Il aimait l'accompagner dans toutes ses activités. Parfois, Eric lui caressait les cheveux et Ondin se prenait à espérer plus.
Ondin le regarda avec intensité. Il n'avait jamais eu d'habits, si ce n'est des parures de coquillages et des écharpes d'algues et il ne pouvait retourner au fond de l'océan. Il avait choisi de vivre avec Eric, mais comment lui faire comprendre sans mots ?
Le brun soupira.
— Évidemment, tu ne peux pas me répondre et je ne vais tout de même pas t'abandonner avec rien sur le dos dans l'embarras.
Il ôta sa chemise, dévoilant un torse bronzé des plus séduisants et la lui tendit.
Ondin la prit, tenta de l'enfiler, mais dut s'y prendre mal, car Eric intervint et l'aida.
— Es-tu un enfant sauvage pour ne pas savoir comment t'habiller ? Allons, viens, appuie-toi sur moi, je vais t'emmener au château.
Ondin sourit, content de la tournure des évènements. Eric avait vraiment un cœur compatissant pour prendre ainsi soin d'un parfait inconnu.
Au château, le prince – car c'en était bel et bien un – le fit examiner par un médecin en pure perte. Il lui donna de beaux habits ainsi qu'un endroit pour dormir. Enfin, comme il ne savait son nom et qu'Ondin n'était pas en mesure de lui dire, il choisit de l'appeler Rou.
Les parents d'Eric ne se montrèrent pas très accueillants vis-à-vis du nouveau venu qu'ils considéraient comme une lubie de leur fils.
— C'est un simplet. Sa place n'est pas ici, décrétèrent-il dès le premier soir, à la fin du dîner, comme Ondin mettait de la nourriture partout, car il ne savait pas se servir des drôles d'instruments disposés autour de l'assiette.
Cependant, Eric n'en démordit pas et jours après jours, il passa du temps avec Ondin, lui apprenant patiemment à quoi servait les objets qui l'entouraient. Il se confiait volontiers à lui, peut-être parce qu'il savait que Ondin ne pourrait rien répéter à personne.
Ainsi, si Eric avait pris l'habitude de se rendre quotidienne sur la plage où il avait été découvert après la tempête, c'était dans l'espoir de retrouver celui ou celle qu'il avait sauvé. Il ne l'avait pas vu, mais il l'avait entendu et tenait à remercier la personne.
Ondin écoutait volontiers le prince tâchant par son attitude de montrer à quel point tout ce qu'il lui racontait l'intéressait. Il aimait l'accompagner dans toutes ses activités. Parfois, Eric lui caressait les cheveux et Ondin se prenait à espérer plus.
1 commentaire:
Pauvre Ondin cela doit être dur de ne pas se faire comprendre, j'espère qu'Eric ouvrira les yeux et saura comprendre Ondin même s'il ne s'exprime pas par la parole mais si tu suis le conte cela promet d'être dur avant de finir en happy end si il y'en a un bien sûr :)
Merci pour l'épisode du jour XD
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