— Tu as un don pour la peinture, vraiment.
— J'en ai fait un autre, avoua Ray et écartant des tableaux d'oiseaux, il dévoila un portrait cette fois de plain-pied. Dessus Mael avait fier allure.
— Impressionnant... Tu as un sacré coup de pinceau.
— Je n'arrête pas de penser à toi ainsi qu'à tout ce que tu m'as raconté sur les relations entre les gens et sur le monde.
Mael l'embrassa et Ray lui rendit son baiser en s'accrochant à ses épaules comme à une planche de salut.
Mael lui caressa le dos. La main du jeune homme se glissa sous son pull et extirpa sa chemise de son jeans pour atteindre sa peau. Il ne manquait pas d'audace. Il déboutonna ensuite le haut de sa tunique et plaqua la paume de Mael contre son torse imberbe juste au niveau de son cœur qui battait à un rythme endiablé. Oui, tout cela allait bien au-delà du charnel et faisait prendre conscience à Mael à quel point ses relations précédentes avaient été vides de sens. Ses doigts vinrent frôler un téton tandis que ceux de Ray descendaient vers son aine.
Chacun poursuivit son exploration du corps de l'autre et les vêtements tombèrent en tas à leurs pieds. Ray accueillait les caresses de Mael comme un assoiffé dans le désert. Il jouit le premier en se mordant la lèvre – magnifique tableau que Mael ne pourrait hélas peindre n'ayant aucun talent dans ce domaine. Ray qui ne souciait pas de son seul plaisir continua à palper et lécher de façon tout à fait expérimentale jusqu'à ce que Mael ait à son tour un orgasme.
Il promit qu'à sa prochaine visite, il aurait sur lui tout ce qu'il faut pour qu'ils puissent s'unir intimement.
— Dis m'en plus sur le monde extérieur, s'il te plaît, demanda Ray, enveloppé dans les bras de Mael.
— Tout ce que tu veux, mais le mieux ce serait que tu ailles à sa rencontre.
Ray tira sur le haut de sa tresse, trahissant sa nervosité.
— J'aimerai bien, je crois, mais je ne sais comment convaincre maman.
Cela n'étonna guère Mael. Ray avait laissé entendre qu'il avait déjà essayé qu'elle le laisse sortir, sans succès, en vingt-trois ans. Il était clair qu'elle campait sur ses positions. C'était une folle, mais Mael se garda de prononcer cette opinion à voix haute pour ne pas blesser Ray.
— Peut-être faudra-t-il que tu te passes de son autorisation, avança-t-il.
— En m'aventurant sur le toit ?
Avec ses cheveux, ce n'était pas jouable. Et de toute façon, cela déplaisait à Mael que Ray tente une chose pareille. Même si lui le faisait, c'était dangereux.
— Ou en lui volant la clef. Ou en forçant la serrure. Les possibilités ne manquent pas.
— J'en ai fait un autre, avoua Ray et écartant des tableaux d'oiseaux, il dévoila un portrait cette fois de plain-pied. Dessus Mael avait fier allure.
— Impressionnant... Tu as un sacré coup de pinceau.
— Je n'arrête pas de penser à toi ainsi qu'à tout ce que tu m'as raconté sur les relations entre les gens et sur le monde.
Mael l'embrassa et Ray lui rendit son baiser en s'accrochant à ses épaules comme à une planche de salut.
Mael lui caressa le dos. La main du jeune homme se glissa sous son pull et extirpa sa chemise de son jeans pour atteindre sa peau. Il ne manquait pas d'audace. Il déboutonna ensuite le haut de sa tunique et plaqua la paume de Mael contre son torse imberbe juste au niveau de son cœur qui battait à un rythme endiablé. Oui, tout cela allait bien au-delà du charnel et faisait prendre conscience à Mael à quel point ses relations précédentes avaient été vides de sens. Ses doigts vinrent frôler un téton tandis que ceux de Ray descendaient vers son aine.
Chacun poursuivit son exploration du corps de l'autre et les vêtements tombèrent en tas à leurs pieds. Ray accueillait les caresses de Mael comme un assoiffé dans le désert. Il jouit le premier en se mordant la lèvre – magnifique tableau que Mael ne pourrait hélas peindre n'ayant aucun talent dans ce domaine. Ray qui ne souciait pas de son seul plaisir continua à palper et lécher de façon tout à fait expérimentale jusqu'à ce que Mael ait à son tour un orgasme.
Il promit qu'à sa prochaine visite, il aurait sur lui tout ce qu'il faut pour qu'ils puissent s'unir intimement.
— Dis m'en plus sur le monde extérieur, s'il te plaît, demanda Ray, enveloppé dans les bras de Mael.
— Tout ce que tu veux, mais le mieux ce serait que tu ailles à sa rencontre.
Ray tira sur le haut de sa tresse, trahissant sa nervosité.
— J'aimerai bien, je crois, mais je ne sais comment convaincre maman.
Cela n'étonna guère Mael. Ray avait laissé entendre qu'il avait déjà essayé qu'elle le laisse sortir, sans succès, en vingt-trois ans. Il était clair qu'elle campait sur ses positions. C'était une folle, mais Mael se garda de prononcer cette opinion à voix haute pour ne pas blesser Ray.
— Peut-être faudra-t-il que tu te passes de son autorisation, avança-t-il.
— En m'aventurant sur le toit ?
Avec ses cheveux, ce n'était pas jouable. Et de toute façon, cela déplaisait à Mael que Ray tente une chose pareille. Même si lui le faisait, c'était dangereux.
— Ou en lui volant la clef. Ou en forçant la serrure. Les possibilités ne manquent pas.
2 commentaires:
Mael qui donne des idées à Ray sur le moyen de se faire la malle lol
Merci pour cet épisode, ils sont trop mignons dans la découverte l'un de l'autre :)
Je sens que la mère de Ray va bientôt entrer en scène et je suis curieuse de faire sa connaissance ^^
Je commence à avoir peur qu'il y ait un problème avec la maman folle :o
Tout marche trop bien pour que ce soit vrai !!
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