Bientôt, Philippe sentit contre son orifice humide et palpitant, quelque chose de dur. Le pénis d'Aurélien était érigé. Il n'y avait aucun souci de ce côté non plus.
Quand il entra en lui, ce fut vaguement douloureux. Aurélien s'immobilisa.
— Ne te retire pas, gémit Philippe.
Il le voulait en lui et peu lui importait l'inconfort.
Aurélien s'enfonça davantage et se mit à bouger jusqu'à frapper ce qui devait être le fameux point P. C'était soudain incroyablement bon. Aurélien, tout en lui donnant de divins coup de reins, caressait aussi son pénis.
Philippe se mordit la lèvre, retenant les plaintes de plaisir qui montaient à ses lèvres, incontrôlables.
— Laisse-moi t'entendre, haleta Aurélien.
Philippe obtempéra et cria sa jouissance. Aurélien se retira et éjacula à son tour sur les draps avant de s'écraser pantelant à ses côtés.
— Ce serait sans doute mieux d'acheter du lubrifiant et des préservatifs, déclara Aurélien au bout d'un moment. La prochaine fois, ce sera ton tour de me pénétrer, ajouta-t-il.
Philippe se redressa sur un coude.
— Tu veux bien ?
Il avait pensé qu'Aurélien étant à la base hétéro, c'était quelque chose qui resterait de l'ordre des fantasmes. Tout ce qu'il s'était autorisé à espérer jusque là, c'est qu'Aurélien ne serait pas rebuté par son corps masculin.
— Bien sûr. Tu es un homme, pas une femme. Si c'est bon pour toi, cela doit l'être pour moi. Et vice et versa.
Philippe posa la tête sur l'épaule d'Aurélien. Il n'y avait pas de mots assez fort pour exprimer à quel point il l'aimait.
Avant que son congé ne s'achève, Philippe trouva le courage de faire l'amour à Aurélien. Il prit mille précautions pour le préparer si bien qu'à la fin Aurélien s'agaça, mais l'expérience au bout du compte s'avéra positive.
Quand Philippe reprit le chemin du boulot, Aurélien lui se relança dans les études.
Le quotidien était doux. Quand Philippe rentrait tôt le matin, Aurélien était encore là à petit déjeuner. Le soir, ils mangeaient ensemble avant que Philippe ne parte. Ils faisaient l'amour régulièrement, le plus souvent lors des jours de repos de Philippe. C'était le plus souvent Aurélien qui menait la danse, ce qui convenait à Philippe.
Ils passaient le maximum de temps ensemble, allant se promener comme autrefois ou bien restant devant un film ou une émission pelotonnés l'un contre l'autre, chose nouvelle dont Philippe ne se lassait pas.
Il était extrêmement heureux, plus qu'il n'avait espéré l'être un jour. Sa vie avec Aurélien était un rêve dont il n'aurait jamais voulu émerger. Parfois, cependant, il cauchemardait : dans un cas, il était toujours au chevet d'Aurélien immobile à l'hôpital, dans l'autre, son ami lui annonçait que rien ne valait les filles et lui présentait sa future épouse.
Quand il entra en lui, ce fut vaguement douloureux. Aurélien s'immobilisa.
— Ne te retire pas, gémit Philippe.
Il le voulait en lui et peu lui importait l'inconfort.
Aurélien s'enfonça davantage et se mit à bouger jusqu'à frapper ce qui devait être le fameux point P. C'était soudain incroyablement bon. Aurélien, tout en lui donnant de divins coup de reins, caressait aussi son pénis.
Philippe se mordit la lèvre, retenant les plaintes de plaisir qui montaient à ses lèvres, incontrôlables.
— Laisse-moi t'entendre, haleta Aurélien.
Philippe obtempéra et cria sa jouissance. Aurélien se retira et éjacula à son tour sur les draps avant de s'écraser pantelant à ses côtés.
— Ce serait sans doute mieux d'acheter du lubrifiant et des préservatifs, déclara Aurélien au bout d'un moment. La prochaine fois, ce sera ton tour de me pénétrer, ajouta-t-il.
Philippe se redressa sur un coude.
— Tu veux bien ?
Il avait pensé qu'Aurélien étant à la base hétéro, c'était quelque chose qui resterait de l'ordre des fantasmes. Tout ce qu'il s'était autorisé à espérer jusque là, c'est qu'Aurélien ne serait pas rebuté par son corps masculin.
— Bien sûr. Tu es un homme, pas une femme. Si c'est bon pour toi, cela doit l'être pour moi. Et vice et versa.
Philippe posa la tête sur l'épaule d'Aurélien. Il n'y avait pas de mots assez fort pour exprimer à quel point il l'aimait.
Avant que son congé ne s'achève, Philippe trouva le courage de faire l'amour à Aurélien. Il prit mille précautions pour le préparer si bien qu'à la fin Aurélien s'agaça, mais l'expérience au bout du compte s'avéra positive.
Quand Philippe reprit le chemin du boulot, Aurélien lui se relança dans les études.
Le quotidien était doux. Quand Philippe rentrait tôt le matin, Aurélien était encore là à petit déjeuner. Le soir, ils mangeaient ensemble avant que Philippe ne parte. Ils faisaient l'amour régulièrement, le plus souvent lors des jours de repos de Philippe. C'était le plus souvent Aurélien qui menait la danse, ce qui convenait à Philippe.
Ils passaient le maximum de temps ensemble, allant se promener comme autrefois ou bien restant devant un film ou une émission pelotonnés l'un contre l'autre, chose nouvelle dont Philippe ne se lassait pas.
Il était extrêmement heureux, plus qu'il n'avait espéré l'être un jour. Sa vie avec Aurélien était un rêve dont il n'aurait jamais voulu émerger. Parfois, cependant, il cauchemardait : dans un cas, il était toujours au chevet d'Aurélien immobile à l'hôpital, dans l'autre, son ami lui annonçait que rien ne valait les filles et lui présentait sa future épouse.
2 commentaires:
Décidément j'aime beaucoup ce conte ^^ merci pour l'épisode du jour
Aurélien et Philippe se complètent parfaitement et je suis toujours aussi curieuse de voir comment leur histoire va se finir (en happy end c'est sûr) mais pour le moment ça roule trop bien pour eux lol manquerais plus que l'ex d'Aurélien débarque XD
Vivement la suite ^o^
C'est trop beau, trop rapidement, du coup je flippe à mort que ça tourne mal d'un seul coup !
Enregistrer un commentaire