Albin avait essayé de le raisonner, mais Roy avait continué à évoquer sa beauté. Albin était encore plus beau que sa mère. Roy ne l'avait pas remarqué jusque là, mais à présent qu'Albin grandissait, ce n'était plus pareil.
Albin avait voulu s'éloigner de lui, pressentant que quelque chose de terrible allait se produire, mais Roy l'avait retenu.
Il avait collé à nouveau ses lèvres contre les siennes et l'avait plaqué dans le lit, ses mains s'infiltrant sous son pyjama. Albin s'était débattu, ses cris étouffés par la bouche de Roy. Il était trop faible, trop choqué.
Il s'était retrouvé nu. Roy avait sorti son engin et l'avait planté dans son corps, le déchirant. Un poignard planté en plein cœur n'aurait pas été moins douloureux. Après quoi, Roy s'était endormi en ronflant comme l'ivrogne qu'il l'était.
Quelque chose était mort en Albin cette nuit-là. Il était resté longtemps immobile, écrasé sous le poids de Roy, ne comprenant pas comment son monde avait pu basculer dans ce cauchemar horrible. Lentement, il avait fini par se dégager et s'était réfugié dans la salle de bains d'un pas trébuchant. Là, il s'était lavé, frottant sa peau jusqu'à ce qu'elle rougisse.
Il avait pleuré jusqu'à l'épuisement ne l'entraîne dans un sommeil agité.
Quand il s'était réveillé, recroquevillé dans la baignoire, enveloppé dans une serviette humide, Roy se tenait debout devant lui. Il lui avait présenté des excuses. C'était l'alcool. Le chagrin.
Albin avait voulu le croire quand il lui avait affirmé que cela ne se reproduirait pas, malgré le dégoût que lui inspirait désormais Roy.
Les jours suivants, il avait gardé de prudentes distances avec lui. Roy s'était montré affreusement gentil, presque comme avant. Il avait même cessé de boire, mais cela n'avait pas duré longtemps. Le cauchemar s'était répété : les compliments, les baisers et ensuite la possession brutale de son corps.
Le lendemain, Roy s'était à nouveau répandu en excuses, mais cela n'avait rien changé. Chaque soir, après avoir bu, Roy avait étreint Albin qui avait peu à peu cesser de lutter.
Il avait perdu l'appétit et le sourire. Il ne voyait pas comment s'en sortir. Il était à la merci de Roy qui était devenu sa famille. Même s'il avait eu quelqu'un à qui confier ce qui se passait, il en aurait été incapable, trop dévoré de honte.
Le discours de Roy s'était peu à peu transformé. Il s'était mis à lui susurrer à l'oreille qu'Albin aimait ça, être pris et caressé, qu'autrement son pénis ne se serait pas érigé ainsi, qu'il n'aurait pas poussé tous ses petits gémissements.
Albin avait voulu s'éloigner de lui, pressentant que quelque chose de terrible allait se produire, mais Roy l'avait retenu.
Il avait collé à nouveau ses lèvres contre les siennes et l'avait plaqué dans le lit, ses mains s'infiltrant sous son pyjama. Albin s'était débattu, ses cris étouffés par la bouche de Roy. Il était trop faible, trop choqué.
Il s'était retrouvé nu. Roy avait sorti son engin et l'avait planté dans son corps, le déchirant. Un poignard planté en plein cœur n'aurait pas été moins douloureux. Après quoi, Roy s'était endormi en ronflant comme l'ivrogne qu'il l'était.
Quelque chose était mort en Albin cette nuit-là. Il était resté longtemps immobile, écrasé sous le poids de Roy, ne comprenant pas comment son monde avait pu basculer dans ce cauchemar horrible. Lentement, il avait fini par se dégager et s'était réfugié dans la salle de bains d'un pas trébuchant. Là, il s'était lavé, frottant sa peau jusqu'à ce qu'elle rougisse.
Il avait pleuré jusqu'à l'épuisement ne l'entraîne dans un sommeil agité.
Quand il s'était réveillé, recroquevillé dans la baignoire, enveloppé dans une serviette humide, Roy se tenait debout devant lui. Il lui avait présenté des excuses. C'était l'alcool. Le chagrin.
Albin avait voulu le croire quand il lui avait affirmé que cela ne se reproduirait pas, malgré le dégoût que lui inspirait désormais Roy.
Les jours suivants, il avait gardé de prudentes distances avec lui. Roy s'était montré affreusement gentil, presque comme avant. Il avait même cessé de boire, mais cela n'avait pas duré longtemps. Le cauchemar s'était répété : les compliments, les baisers et ensuite la possession brutale de son corps.
Le lendemain, Roy s'était à nouveau répandu en excuses, mais cela n'avait rien changé. Chaque soir, après avoir bu, Roy avait étreint Albin qui avait peu à peu cesser de lutter.
Il avait perdu l'appétit et le sourire. Il ne voyait pas comment s'en sortir. Il était à la merci de Roy qui était devenu sa famille. Même s'il avait eu quelqu'un à qui confier ce qui se passait, il en aurait été incapable, trop dévoré de honte.
Le discours de Roy s'était peu à peu transformé. Il s'était mis à lui susurrer à l'oreille qu'Albin aimait ça, être pris et caressé, qu'autrement son pénis ne se serait pas érigé ainsi, qu'il n'aurait pas poussé tous ses petits gémissements.
3 commentaires:
Un épisode sombre comme j'aime merci c'est toujours un pur plaisir de te lire ^o^
Je sens qu'Albin va me plaire :)
Trop curieuse et hâte de lire la suite XD
Bonne semaine à toi
On peut dire que c'est assez sombre comme debut de chapitre lol
Presser de voir comment tout ca va continuer et s'ameliorer surtout
Merci pour le chapitre
Démarrage bien noir, mais effectivement ça ne peut qu'aller en s'arrangeant... ou pas !
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