— Tu veux savoir la chose qui me dérange vraiment ? C'est l'idée que tu as pu être intime avec d'autres gars ou filles pendant que je dormais ou même avant. Sexuellement, j'entends.
Philippe secoua la tête, même si c'était embarrassant d'admettre qu'il était toujours puceau, ce souci d'Aurélien lui donnait envie d'espérer que ce dernier éprouvait effectivement plus que de l'amitié à son endroit.
— Alors, je serais ton premier, déclara Aurélien, dessinant ses lèvres du bout du doigt.
Philippe ferma les yeux. Il le désirait et l'aimait trop. Il voulait rêver qu'avec Aurélien, c'était possible entre eux. Quand la réalité reprendrait ses droits, le réveil serait pénible, mais tant pis !
En dépit des protestations de ses parents et encouragé par son frère, Aurélien emménagea donc avec Philippe qui avait pris un bref congé pour être là pour son ami le temps qu'il s'ajuste à son nouvel environnement.
Aurélien, une fois ses affaires déballées et rangés, prit Philippe dans ses bras comme si c'était la chose la plus naturelle du monde.
Et bizarrement, ça l'était. Philippe frémit.
— Il n'y a pas d'urgence à... commença-t-il nerveux.
— J'ai déjà gâché dix ans de ma vie à dormir, je ne vais pas en perdre plus. Autant qu'on sache de suite si toi et moi nous sommes compatibles au lit.
Philippe craignait précisément que cela ne soit pas le cas. Et si Aurélien ne bandait pas ?
Son ami l'embrassa tout en se mettant à le déshabiller. Philippe se laissa faire sans oser bouger.
La bouche d'Aurélien descendit dans son cou, puis sur son torse. Il défit sa ceinture et fit glisser son pantalon et slip à ses chevilles, libérant le sexe en érection de Philippe qui d'instinct le cacha.
Aurélien, désormais à genoux devant lui, écarta ses mains et caressa avec vigueur son pénis, dessinant du pouce des arcs de cercle sur son gland.
— Je vais jouir... souffla Philippe.
C'était tellement meilleur que ses fantasmes.
— Pas si vite, répliqua Aurélien, cessant son manège. Je voudrais te pénétrer d'abord.
— Il faut un minimum de préparation pour cela, l'informa Philippe d'une voix voilée.
— Oui, j'imagine...
Aurélien le fit s'allonger et lui écarta grand les jambes. Du doigt, il suivit le pourtour de son anus avant de se baisser et de faire la même chose avec sa langue en salivant abondamment.
Rien ne semblait le dégoûter.
Philippe secoua la tête, même si c'était embarrassant d'admettre qu'il était toujours puceau, ce souci d'Aurélien lui donnait envie d'espérer que ce dernier éprouvait effectivement plus que de l'amitié à son endroit.
— Alors, je serais ton premier, déclara Aurélien, dessinant ses lèvres du bout du doigt.
Philippe ferma les yeux. Il le désirait et l'aimait trop. Il voulait rêver qu'avec Aurélien, c'était possible entre eux. Quand la réalité reprendrait ses droits, le réveil serait pénible, mais tant pis !
En dépit des protestations de ses parents et encouragé par son frère, Aurélien emménagea donc avec Philippe qui avait pris un bref congé pour être là pour son ami le temps qu'il s'ajuste à son nouvel environnement.
Aurélien, une fois ses affaires déballées et rangés, prit Philippe dans ses bras comme si c'était la chose la plus naturelle du monde.
Et bizarrement, ça l'était. Philippe frémit.
— Il n'y a pas d'urgence à... commença-t-il nerveux.
— J'ai déjà gâché dix ans de ma vie à dormir, je ne vais pas en perdre plus. Autant qu'on sache de suite si toi et moi nous sommes compatibles au lit.
Philippe craignait précisément que cela ne soit pas le cas. Et si Aurélien ne bandait pas ?
Son ami l'embrassa tout en se mettant à le déshabiller. Philippe se laissa faire sans oser bouger.
La bouche d'Aurélien descendit dans son cou, puis sur son torse. Il défit sa ceinture et fit glisser son pantalon et slip à ses chevilles, libérant le sexe en érection de Philippe qui d'instinct le cacha.
Aurélien, désormais à genoux devant lui, écarta ses mains et caressa avec vigueur son pénis, dessinant du pouce des arcs de cercle sur son gland.
— Je vais jouir... souffla Philippe.
C'était tellement meilleur que ses fantasmes.
— Pas si vite, répliqua Aurélien, cessant son manège. Je voudrais te pénétrer d'abord.
— Il faut un minimum de préparation pour cela, l'informa Philippe d'une voix voilée.
— Oui, j'imagine...
Aurélien le fit s'allonger et lui écarta grand les jambes. Du doigt, il suivit le pourtour de son anus avant de se baisser et de faire la même chose avec sa langue en salivant abondamment.
Rien ne semblait le dégoûter.
3 commentaires:
Hé bien qui aurait cru qu'Aurélien serait si chaud lol
Merci pour l'épisode, Philippe a décidément de la chance pourvu que la dure réalité ne leur tombe dessus ^^'
J'ai trop hâte de voir comment chacun va ressentir cette première fois ensemble XD
vivement la suite :)
Aurélien a un petit côté imprévisible... :)
Bah là c'est clair mdr s'il te lèche le cul direct, Philippe tu n'as pas trop à t'inquiéter du côté hétéro d'Aurélien xp
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