— Ne parlons plus de ça, gémit Philippe, douloureusement à l'étroit dans son pantalon.
— D'accord, déclara Aurélien sans insister. Comme tu sais, je vais bientôt pouvoir quitter l'hôpital.
Philippe opina.
Aurélien poursuivit :
— Je n'ai pas plus envie de retourner vivre chez mes parents que de m'imposer chez l'amoureux de mon frère, même si d'après eux, ce n'est pas un problème et qu'il y a des tonnes de chambres d'amis, aussi je me demandais si tu voudrais bien m'accueillir chez toi.
Ce coup-ci, Aurélien ne plaisantait pas. Philippe resta bouche bée.
Vivre avec lui ? Comment se retiendrait-il de lui sauter dessus ? Son appartement n'avait qu'une chambre en plus... Et en même temps, c'était si tentant de le garder à ses côtés, surtout qu'avec son job de gardien de nuit, leurs heures de sommeil ne se chevaucheraient pas.
— C'est petit chez moi, argua-t-il néanmoins.
— Cela ne me dérange pas de partager ton lit et c'est d'ailleurs pourquoi j'aurais aimé clarifier avec toi cette histoire de sexe.
Philippe déglutit. Aurélien allait le rendre fou. Il semblait déterminé à s'engager dans une relation amoureuse avec lui. Cependant, ce n'était sûrement que parce qu'il avait du mal à se remettre de son coma. Il risquait de le regretter plus tard. Philippe devait garder la tête froide pour deux.
— Je ne serais pas dedans en même temps que toi vu mon travail, alors tu peux t'installer chez moi sans que cela implique que nous couchions ensemble.
— Excepté que j'en ai envie.
— Mais tu n'es pas gay ! s'écria Philippe exaspéré.
— Je veux essayer avec toi, répliqua Aurélien et se penchant, il l'embrassa.
Philippe s'arrêta de respirer. Tout disparut autour d'eux. Il n'y avait plus qu'Aurélien et sa bouche sur la sienne.
Le baiser s'acheva. Ils étaient toujours dans les jardins de l'hôpital dans l'ombre des deux grands arbres qui encadraient le banc.
— Tu ne préférerais pas plus tôt revoir ton ancienne petite amie ? Rencontrer d'autres filles ?
— Non, avec Léa, c'est fini. Elle a renoncé. Mais toi, tu es resté. Et tu as plus de valeur que toutes ses inconnues réunies.
— Mais...
Aurélien posa un index sur sa bouche, l'empêchant de continuer et même de penser à autre chose qu'à ce contact.
— D'accord, déclara Aurélien sans insister. Comme tu sais, je vais bientôt pouvoir quitter l'hôpital.
Philippe opina.
Aurélien poursuivit :
— Je n'ai pas plus envie de retourner vivre chez mes parents que de m'imposer chez l'amoureux de mon frère, même si d'après eux, ce n'est pas un problème et qu'il y a des tonnes de chambres d'amis, aussi je me demandais si tu voudrais bien m'accueillir chez toi.
Ce coup-ci, Aurélien ne plaisantait pas. Philippe resta bouche bée.
Vivre avec lui ? Comment se retiendrait-il de lui sauter dessus ? Son appartement n'avait qu'une chambre en plus... Et en même temps, c'était si tentant de le garder à ses côtés, surtout qu'avec son job de gardien de nuit, leurs heures de sommeil ne se chevaucheraient pas.
— C'est petit chez moi, argua-t-il néanmoins.
— Cela ne me dérange pas de partager ton lit et c'est d'ailleurs pourquoi j'aurais aimé clarifier avec toi cette histoire de sexe.
Philippe déglutit. Aurélien allait le rendre fou. Il semblait déterminé à s'engager dans une relation amoureuse avec lui. Cependant, ce n'était sûrement que parce qu'il avait du mal à se remettre de son coma. Il risquait de le regretter plus tard. Philippe devait garder la tête froide pour deux.
— Je ne serais pas dedans en même temps que toi vu mon travail, alors tu peux t'installer chez moi sans que cela implique que nous couchions ensemble.
— Excepté que j'en ai envie.
— Mais tu n'es pas gay ! s'écria Philippe exaspéré.
— Je veux essayer avec toi, répliqua Aurélien et se penchant, il l'embrassa.
Philippe s'arrêta de respirer. Tout disparut autour d'eux. Il n'y avait plus qu'Aurélien et sa bouche sur la sienne.
Le baiser s'acheva. Ils étaient toujours dans les jardins de l'hôpital dans l'ombre des deux grands arbres qui encadraient le banc.
— Tu ne préférerais pas plus tôt revoir ton ancienne petite amie ? Rencontrer d'autres filles ?
— Non, avec Léa, c'est fini. Elle a renoncé. Mais toi, tu es resté. Et tu as plus de valeur que toutes ses inconnues réunies.
— Mais...
Aurélien posa un index sur sa bouche, l'empêchant de continuer et même de penser à autre chose qu'à ce contact.
3 commentaires:
Quel épisode trop mignon *___* merci
Aurélien est trop choupi à dire des trucs comme ça à Philippe lol le pauvre sa virginité risque d'en prendre un coup XD
J'ai hâte de lire la suite ^o^
Tu devines bien pour Philippe. :)
Philippe bon sang d'bon soir arrête de réfléchir !!
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