Terry décida de rentrer pieds, car il ne désirait pas attendre le car qui ne passerait que dans quarante minutes, à l'heure de fin des prochains cours. Terry marchait donc tranquillement, quand il aperçut une librairie. Se rappelant qu'il lui manquait des livres pour le lycée et qu'il avait intérêt à les acheter maintenant, il accéléra le pas et entra dans la boutique. Là, il fut accueilli par un visage curieusement familier. L'homme ressemblait à Matsuka, était-ce encore un Tsukoji ? Non, Terry devait rêver, il ne pouvait y avoir des Tsukoji à chaque coin de rue !
« Bonsoir. Puis-je t'aider ? »
« Euh oui. Je cherche ces livres. »
Terry lui tendit le papier sur lequel il avait noté le titre des ouvrages qu'il lui manquait.
« Oui, j'ai tout ça. Ce sont des livres demandés par les professeurs du lycée Malmunor. Tu ne t'en inquiètes que maintenant ? » dit l'homme d'un air amusé
« C'est parce que je viens d'enménager ici. »
« Oh, mais tu es Terry alors ? »
« Oui...Ne me dîtes pas que vous êtes un des Tsukoji ! » s'exclama spontanément Terry
« Touché coulé ! William Tsukoji en personne ! »
William tendit la main à Terry qui la serra volontiers avant de réprimer une grimace devant la force de la poigne. Toutefois, avec Mika cela avait été encore pire.
« Vous êtes nombreux dans la famille ! »
Terry se réprimanda intérieurement : qu'est-ce qui lui prenait de se comporter aussi familièrement avec un homme qu'il ne connaissait pas ?! William eut un petit rire curieux.
« Oui, effectivement. »
« Je ne veux pas vous déranger dans votre travail. » dit Terry, toujours gêné de s'être montré familier
« Ce n'est pas un problème. Je suis le patron ici et comme tu peux constater, il n'y aucun client à part toi. J'allais bientôt fermer de toute façon. »
« C'est vrai qu'il est bientôt 19 heures. »
« Voilà les livres. Tu en as pour 45 euros. »
Terry fouilla dans son portefeuille, sorti deux billets de 20 euros ainsi qu'un billet de 10 et les lui tendit, levant le bras bien haut. William lui rendit un billet de 5 euros lui effleurant par inadvertance la main. Il n'y avait pas de douleur cette fois pour faire à oublier à Terry la chaleur de la peau de William. Terry battit des paupières, il était fatigué, voilà tout. Les Tsukoji étaient tous trop charmants, trop grands et trop gentils...et peut-être que ce n'était pas que de la fatigue...
« Au revoir ! » dit Terry dans un murmure
« Bye. Au plaisir de te revoir. »
« Bonsoir. Puis-je t'aider ? »
« Euh oui. Je cherche ces livres. »
Terry lui tendit le papier sur lequel il avait noté le titre des ouvrages qu'il lui manquait.
« Oui, j'ai tout ça. Ce sont des livres demandés par les professeurs du lycée Malmunor. Tu ne t'en inquiètes que maintenant ? » dit l'homme d'un air amusé
« C'est parce que je viens d'enménager ici. »
« Oh, mais tu es Terry alors ? »
« Oui...Ne me dîtes pas que vous êtes un des Tsukoji ! » s'exclama spontanément Terry
« Touché coulé ! William Tsukoji en personne ! »
William tendit la main à Terry qui la serra volontiers avant de réprimer une grimace devant la force de la poigne. Toutefois, avec Mika cela avait été encore pire.
« Vous êtes nombreux dans la famille ! »
Terry se réprimanda intérieurement : qu'est-ce qui lui prenait de se comporter aussi familièrement avec un homme qu'il ne connaissait pas ?! William eut un petit rire curieux.
« Oui, effectivement. »
« Je ne veux pas vous déranger dans votre travail. » dit Terry, toujours gêné de s'être montré familier
« Ce n'est pas un problème. Je suis le patron ici et comme tu peux constater, il n'y aucun client à part toi. J'allais bientôt fermer de toute façon. »
« C'est vrai qu'il est bientôt 19 heures. »
« Voilà les livres. Tu en as pour 45 euros. »
Terry fouilla dans son portefeuille, sorti deux billets de 20 euros ainsi qu'un billet de 10 et les lui tendit, levant le bras bien haut. William lui rendit un billet de 5 euros lui effleurant par inadvertance la main. Il n'y avait pas de douleur cette fois pour faire à oublier à Terry la chaleur de la peau de William. Terry battit des paupières, il était fatigué, voilà tout. Les Tsukoji étaient tous trop charmants, trop grands et trop gentils...et peut-être que ce n'était pas que de la fatigue...
« Au revoir ! » dit Terry dans un murmure
« Bye. Au plaisir de te revoir. »
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