— Tu n'as pas besoin de lui expliquer quoi que ce soit. Les orcéants sont des êtres primitifs et stupides ! décréta le rouquin.
— Et les licornéens ne sont que de jolies poupées bonnes à servir le thé et tenir compagnie au lit, compléta Korel d'un ton triste.
Pierrick n'opina pas à cette affirmation alors que Byll avait pu constater que les humains usaient effectivement des licornéens ainsi.
— Et les licornéens ne sont que de jolies poupées bonnes à servir le thé et tenir compagnie au lit, compléta Korel d'un ton triste.
Pierrick n'opina pas à cette affirmation alors que Byll avait pu constater que les humains usaient effectivement des licornéens ainsi.
— Pardon. Je pense cela des orcéants sans en avoir jamais fréquenter. Ravi de faire de ta connaissance.
Byll trouva étrange le revirement de l'homme roux, mais décida de lui accorder le bénéfice du doute.
— Les dragons que vous espérez rencontrer, que leur voulez-vous ?
Korel se tourna vers Pierrick, attendant de toute évidence qu'il réponde.
Le rouquin se racla la gorge.
— En avoir un serait un peu comme un porte-étendard de notre cause et si on retrouvait au moins un mâle et une femelle, ils pourraient se reproduire.
Il était bien humain pour considérer les dragons comme des possessions et à escompter qu'ils s'accouplent, indépendamment de tout sentiments.
Byll n'avait pas la moindre envie de l'aider, mais il ne pouvait ni oublier que Rouge passait tout son temps seul dans sa grotte souterraine ni négliger le fait que le dragon ait peut-être une opinion différente de la sienne.
— Comment les protègerez-vous de ceux qui souhaitent les éradiquer jusqu'au dernier ?
Pierrick eut un rire embarrassé.
— Eh bien, il semble bien que je me sois trompé sur le compte des orcéants. Moches peut-être, mais pas certainement pas idiots !
Byll grinça des dents. L'humain continuait à le mépriser et il n'avait pas répondu à sa question. A tous les coups, c'était parce qu'il n'avait aucun moyen de défendre qui que ce soit, à part peut-être sa petite personne.
— Nous comptons réunir des partisans des dragons, comme toi, dit Korel.
Byll aurait aimé croire le licornéen qui semblait sincère, mais il craignait que ce ne soit qu'une ruse pour tuer Rouge.
— Bon, nous n'allons pas y passer la journée non plus. Comment pourrions-nous te convaincre de notre bonne foi ? demanda Pierrick avec impatience.
Byll prit le temps de réfléchir avant de répondre.
Pendant un moment, il n'y eut plus que le chant lointain des oiseaux et le murmure de la brise printanière qui soufflait un parfum fleuri.
Byll trouva étrange le revirement de l'homme roux, mais décida de lui accorder le bénéfice du doute.
— Les dragons que vous espérez rencontrer, que leur voulez-vous ?
Korel se tourna vers Pierrick, attendant de toute évidence qu'il réponde.
Le rouquin se racla la gorge.
— En avoir un serait un peu comme un porte-étendard de notre cause et si on retrouvait au moins un mâle et une femelle, ils pourraient se reproduire.
Il était bien humain pour considérer les dragons comme des possessions et à escompter qu'ils s'accouplent, indépendamment de tout sentiments.
Byll n'avait pas la moindre envie de l'aider, mais il ne pouvait ni oublier que Rouge passait tout son temps seul dans sa grotte souterraine ni négliger le fait que le dragon ait peut-être une opinion différente de la sienne.
— Comment les protègerez-vous de ceux qui souhaitent les éradiquer jusqu'au dernier ?
Pierrick eut un rire embarrassé.
— Eh bien, il semble bien que je me sois trompé sur le compte des orcéants. Moches peut-être, mais pas certainement pas idiots !
Byll grinça des dents. L'humain continuait à le mépriser et il n'avait pas répondu à sa question. A tous les coups, c'était parce qu'il n'avait aucun moyen de défendre qui que ce soit, à part peut-être sa petite personne.
— Nous comptons réunir des partisans des dragons, comme toi, dit Korel.
Byll aurait aimé croire le licornéen qui semblait sincère, mais il craignait que ce ne soit qu'une ruse pour tuer Rouge.
— Bon, nous n'allons pas y passer la journée non plus. Comment pourrions-nous te convaincre de notre bonne foi ? demanda Pierrick avec impatience.
Byll prit le temps de réfléchir avant de répondre.
Pendant un moment, il n'y eut plus que le chant lointain des oiseaux et le murmure de la brise printanière qui soufflait un parfum fleuri.
4 commentaires:
Byll a raison de se méfier même si Korel et Pierrick on l'air gentil on ne sait jamais ce qui pourrais se passer ^^
Merci pour l'épisode, j'ai hâte de lire la suite et de voir leur réactions si Byll décide de leur présenter Rouge :)
Eh bien Pierrick m a tout l air d'être un sale gamin capricieux. Mais il a du coeur et il a donner le siens à une bonne personne qui le fait changer en mieux. Hâte de revoir red, vivement demain
Byll a raison de se méfier...
J'ai hâte de savoir ce qu'il va leur demander ^^
Merci, vivement la suite =)
Bill serait bien naïf de leur faire confiance de suite !
Pierrick est heureusement pour lui tombé amoureux de quelqu'un susceptible de faire ressortir ses bons côtés et non ses mauvais.
Quant à Korel, eh bien, nous aurons son point de vue à un moment ou à un autre ! :)
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