C'est sûr et certain que Nino serait absent – il faisait la plonge au restaurant ce jour-là – que Zack se rendit au 7 rue des Sycomores pour discuter avec le fantôme.
Par mesure de prudence, il l'appela dans l'entrée, ce qu'il aurait aussi dû faire la dernière fois. Cela lui aurait évité d'assister à quelque chose qu'il n'aurait pas dû. Il ne le regrettait toutefois pas vraiment. Il s'était masturbé en repensant à Nino nu devant la cheminée.
La tête de Kazuya apparut devant ses pieds dans le plancher, lui arrachant un cri d'effroi. Le fantôme sortit complètement, un sourire narquois aux lèvres.
— Je m'attendais à ta visite.
Cela déplut à Zack d'être aussi prévisible.
— Et pourquoi suis-je venu ? répliqua-t-il en croisant les bras.
— A cause de la scène que tu as surpris. Si tu n'es pas content, tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même, toi qui te soucies tant des bonnes manières, tu aurais dû frapper. Sans compter qu'il est de bon ton d'être ponctuel plutôt que d'arriver en avance à une invitation. Mais entre nous, je parie que tu n'es pas fâché, tout au plus jaloux.
Il avait raison sur tout les points et cela énerva Zack. Il aurait donné beaucoup pour lui effacer ce fichu sourire.
— Vous n'avez pas envie d'en finir avec cette demi-vie et passer pour de bon de l'autre côté ? lâcha-t-il tout à trac.
Kazuya parut réfléchir à la question.
— Je ne suis pas sûr. Indépendamment de mon désir de vengeance inassouvi, il y a Nino.
— Vous n'avez pas à vous inquiéter, je m'occuperai de lui.
— Tu n'es pas capable de le protéger...
Zack le coupa :
— D'accord, je ne roule pas sur l'or, mais je ne manque pas de muscles et surtout je l'aime.
— Si tu m'avais laissé finir... J'allais mentionner les menaces surnaturelles.
Zack se sentit idiot. Il ne pouvait boxer un fantôme.
Kazuya continua :
— Le talisman ne fonctionne que tant que je suis de ce monde.
— Comme par hasard, comme c'est commode... Comment pouvez-vous le savoir ? s'énerva Zack.
— J'ai eu le temps d'apprendre des choses en sept cents ans.
— Alors que vous êtes coincé à demeure et incapable de toucher quoi que ce soit ?
— Chasser les gens qui souhaitaient s'installer dans la maison n'a pas toujours été mon activité favorite et pour peu que je possède quelqu'un, je suis libre d'aller où je veux et faire ce qui me plais.
La conversation ne prenait pas le tour souhaité. Zack se laissa aller au désespoir :
— Où en suis-je avec Nino ? Nulle part. Même débarrassé de vous...
— Tu lui es cher. Il ne me cache pas combien il passe de bons moments avec toi.
Par mesure de prudence, il l'appela dans l'entrée, ce qu'il aurait aussi dû faire la dernière fois. Cela lui aurait évité d'assister à quelque chose qu'il n'aurait pas dû. Il ne le regrettait toutefois pas vraiment. Il s'était masturbé en repensant à Nino nu devant la cheminée.
La tête de Kazuya apparut devant ses pieds dans le plancher, lui arrachant un cri d'effroi. Le fantôme sortit complètement, un sourire narquois aux lèvres.
— Je m'attendais à ta visite.
Cela déplut à Zack d'être aussi prévisible.
— Et pourquoi suis-je venu ? répliqua-t-il en croisant les bras.
— A cause de la scène que tu as surpris. Si tu n'es pas content, tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même, toi qui te soucies tant des bonnes manières, tu aurais dû frapper. Sans compter qu'il est de bon ton d'être ponctuel plutôt que d'arriver en avance à une invitation. Mais entre nous, je parie que tu n'es pas fâché, tout au plus jaloux.
Il avait raison sur tout les points et cela énerva Zack. Il aurait donné beaucoup pour lui effacer ce fichu sourire.
— Vous n'avez pas envie d'en finir avec cette demi-vie et passer pour de bon de l'autre côté ? lâcha-t-il tout à trac.
Kazuya parut réfléchir à la question.
— Je ne suis pas sûr. Indépendamment de mon désir de vengeance inassouvi, il y a Nino.
— Vous n'avez pas à vous inquiéter, je m'occuperai de lui.
— Tu n'es pas capable de le protéger...
Zack le coupa :
— D'accord, je ne roule pas sur l'or, mais je ne manque pas de muscles et surtout je l'aime.
— Si tu m'avais laissé finir... J'allais mentionner les menaces surnaturelles.
Zack se sentit idiot. Il ne pouvait boxer un fantôme.
Kazuya continua :
— Le talisman ne fonctionne que tant que je suis de ce monde.
— Comme par hasard, comme c'est commode... Comment pouvez-vous le savoir ? s'énerva Zack.
— J'ai eu le temps d'apprendre des choses en sept cents ans.
— Alors que vous êtes coincé à demeure et incapable de toucher quoi que ce soit ?
— Chasser les gens qui souhaitaient s'installer dans la maison n'a pas toujours été mon activité favorite et pour peu que je possède quelqu'un, je suis libre d'aller où je veux et faire ce qui me plais.
La conversation ne prenait pas le tour souhaité. Zack se laissa aller au désespoir :
— Où en suis-je avec Nino ? Nulle part. Même débarrassé de vous...
— Tu lui es cher. Il ne me cache pas combien il passe de bons moments avec toi.
3 commentaires:
Merci pour l'épisode ^^
C'est dur de prendre partie pour l'un ou l'autre sachant qu'ils veulent tout les deux le bonheur de Nino :)
Cette histoire de talisman nous éclaire un peu plus vis à vis de Kazuya c'est bon à savoir qu'il ne fonctionne que si Kazuya est encore dans ce monde ^^
En attendant la suite passe un bon week-end et à bientôt XD
A la base, je ne suis pas une grande amatrice des triangles amoureux, mais j'avoue que je prends plaisir à écrire celui-ci. :)
Bon week-end !
Moi non plus je ne suis pas amatrice des triangles amoureux ...
Mais je prends plaisir à lire celui-là ^^
Même si comme j'arrête pas de le répéter, je préférerais qu'ils finissent ts les trois ensemble =)
Ça sent la possession dans l'air, je sens que kazuya va faire quelque chose ...
J'extrapole peut être complètement...
En tout cas, merci, vivement la suite et bon week-end =D
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