— Je t’aime, dit Xavy.
Il avait hâte de retrouver son corps pour montrer à quel point au sorcier. Quand bien même cela impliquait-il d’être à nouveau faible et d’avoir une aile douloureuse.
— Moi aussi, joli colibri.
Après un silence tendre et complice, Séveric grimaça.
— Ton aile de fée. Je ne suis pas un expert sur la question, aussi je ne crois pas pouvoir la soigner moi-même. Il faudrait consulter un ou une fée. Une idée de quelqu’un de confiance à qui t’adresser ?
— Zibulinion. Il n’est pas le moins du monde hostile aux sorciers.
Xavy lui rapporta la conversation qu’il avait eue avec son professeur dans le couloir à Valeiage.
— Très bien. Contactons-le à l’aide de mon familier.
Ce fut à Xavy d’appeler le hibou, mais l’animal ne répondit ensuite qu’à Séveric : inversion de corps ou pas, il semblait savoir qui était son maître.
Une fois que le hibou se fut envolé avec le message, Xavy avoua qu’il appréhendait l’intrusion d’une tierce personne dans leur bulle.
— Pourquoi ? D’après ce que tu m’as dit, il ne réprouve pas notre relation.
— Oui, mais il va sûrement se sentir obligé de contacter le Comité des fée et je n’ai pas très envie de me frotter à nouveau à ces gens.
— Nous nous passerons de leur bénédiction pour être ensemble. Personne n’en parle, mon joli colibri, mais je doute que nous soyons les le seul fée et sorcier – homme ou femme, peu importe – à être un jour tombé amoureux.
Le sortilège d’échange des corps se rompit peu avant l’arrivée inopinée de Zibulinion dans l’appartement du sorcier.
Il examina l’aile de Xavy avec attention et le soigna avec un succès total, en desserrant à peine les lèvres.
Xavy en pleura de joie. Il avait cru son aile irrécupérable.
Zibulinion voulut ensuite des explications, plus que leur message n’en avait fourni.
Ce n’était pas facile, mais Xavy déballa tout : la trahison d’Antoine, l’implication du Comité des fées, la fureur de son père.
Zibulinion ne l’interrompit pas.
Séveric compléta le tableau avec la réaction de la directrice de Daroilak, son analyse des potions, sa décision de démissionner et sa visite à Xavy.
— Toute cette affaire est un beau sac de nœuds. Pour information, je fais partie du Comité, alors je vais tâcher de régler tout ça sans que tu aies à te déplacer. Tu dois te reposer Xavy et vous, monsieur Reptim, veillez bien sur lui.
— Je n’y manquerai pas assura Séveric tandis que Xavy acquiesçait.
Zibulinion repartit comme il était venu, en se téléportant.
Il avait hâte de retrouver son corps pour montrer à quel point au sorcier. Quand bien même cela impliquait-il d’être à nouveau faible et d’avoir une aile douloureuse.
— Moi aussi, joli colibri.
Après un silence tendre et complice, Séveric grimaça.
— Ton aile de fée. Je ne suis pas un expert sur la question, aussi je ne crois pas pouvoir la soigner moi-même. Il faudrait consulter un ou une fée. Une idée de quelqu’un de confiance à qui t’adresser ?
— Zibulinion. Il n’est pas le moins du monde hostile aux sorciers.
Xavy lui rapporta la conversation qu’il avait eue avec son professeur dans le couloir à Valeiage.
— Très bien. Contactons-le à l’aide de mon familier.
Ce fut à Xavy d’appeler le hibou, mais l’animal ne répondit ensuite qu’à Séveric : inversion de corps ou pas, il semblait savoir qui était son maître.
Une fois que le hibou se fut envolé avec le message, Xavy avoua qu’il appréhendait l’intrusion d’une tierce personne dans leur bulle.
— Pourquoi ? D’après ce que tu m’as dit, il ne réprouve pas notre relation.
— Oui, mais il va sûrement se sentir obligé de contacter le Comité des fée et je n’ai pas très envie de me frotter à nouveau à ces gens.
— Nous nous passerons de leur bénédiction pour être ensemble. Personne n’en parle, mon joli colibri, mais je doute que nous soyons les le seul fée et sorcier – homme ou femme, peu importe – à être un jour tombé amoureux.
Le sortilège d’échange des corps se rompit peu avant l’arrivée inopinée de Zibulinion dans l’appartement du sorcier.
Il examina l’aile de Xavy avec attention et le soigna avec un succès total, en desserrant à peine les lèvres.
Xavy en pleura de joie. Il avait cru son aile irrécupérable.
Zibulinion voulut ensuite des explications, plus que leur message n’en avait fourni.
Ce n’était pas facile, mais Xavy déballa tout : la trahison d’Antoine, l’implication du Comité des fées, la fureur de son père.
Zibulinion ne l’interrompit pas.
Séveric compléta le tableau avec la réaction de la directrice de Daroilak, son analyse des potions, sa décision de démissionner et sa visite à Xavy.
— Toute cette affaire est un beau sac de nœuds. Pour information, je fais partie du Comité, alors je vais tâcher de régler tout ça sans que tu aies à te déplacer. Tu dois te reposer Xavy et vous, monsieur Reptim, veillez bien sur lui.
— Je n’y manquerai pas assura Séveric tandis que Xavy acquiesçait.
Zibulinion repartit comme il était venu, en se téléportant.
Zibulinion semblait avoir fait plus que guérir son aile car Xavy se sentait plus en forme, peut-être aussi que son séjour dans le corps du sorcier l’avait aidé.
Séveric prit Xavy dans ses bras, plaça une main au creux de ses ailes et posa sa bouche contre la sienne, glissant sa langue à l’intérieur.
Xavy fut d’abord surpris, puis se prit au jeu. C’était délicieusement excitant.
— Tu as toujours envie de me toucher ? chuchota Séveric d’une voix raque au creux de son oreille.
Xavy acquiesça en tirant sur la chemise du sorcier.
Il alla pouvoir caresser le torse velu.
Au premier contact, il découvrit que oui, c’était tout doux.
Séveric le laissa explorer à son rythme et à sa guise. C’était grisant. Certaines caresses engendraient des gémissement des plus délicieux.
— A mon tour, déclara Séveric après que Xavy ait longuement joué avec le membre engorgé su sorcier.
Séveric commença par glisser ses doigts dans les longs cheveux blonds de Xavy. Il dessina ensuite du pouce les contours de la bouche du fée. Il effleura son torse, puis goûta à ses tétons. Xavy geignit de plaisir.
Séveric s’installa les jambes de Xavy et suça son modeste pénis.
Xavy ne résista pas longtemps entre le contact de la barbe du sorcier sur sa peau et la langue experte et jouit.
Dès qu’il se fut remis du fulgurant plaisir, Xavy voulut rendre la pareille à Séveric.
— Tu n’es pas obligé, dit le sorcier.
Xavy n’en tint pas compte. Il lécha la verge de Séveric s’aidant de ses mains pour ce qu’il ne pouvait engloutir.
Séveric le prévint quand il allait exploser, mais Xavy ne recula pas pour autant. Le jet le surprit, son amertume aussi, mais c’était chaud et il avala. Il voulait avoir une part du sorcier à l’intérieur de lui, tout en restant lui-même.
Séveric attira Xavy dans ses bras et le poussa à se nicher contre lui.
Le câlin se révéla tout aussi magnifique que ce qu’ils venaient de faire.
— Mon joli colibri...
Le surnom dont Xavy n’avait d’abord su vraiment quoi penser commençait à lui procurer un doux sentiment d’appartenance et d’acceptation.
Séveric prit Xavy dans ses bras, plaça une main au creux de ses ailes et posa sa bouche contre la sienne, glissant sa langue à l’intérieur.
Xavy fut d’abord surpris, puis se prit au jeu. C’était délicieusement excitant.
— Tu as toujours envie de me toucher ? chuchota Séveric d’une voix raque au creux de son oreille.
Xavy acquiesça en tirant sur la chemise du sorcier.
Il alla pouvoir caresser le torse velu.
Au premier contact, il découvrit que oui, c’était tout doux.
Séveric le laissa explorer à son rythme et à sa guise. C’était grisant. Certaines caresses engendraient des gémissement des plus délicieux.
— A mon tour, déclara Séveric après que Xavy ait longuement joué avec le membre engorgé su sorcier.
Séveric commença par glisser ses doigts dans les longs cheveux blonds de Xavy. Il dessina ensuite du pouce les contours de la bouche du fée. Il effleura son torse, puis goûta à ses tétons. Xavy geignit de plaisir.
Séveric s’installa les jambes de Xavy et suça son modeste pénis.
Xavy ne résista pas longtemps entre le contact de la barbe du sorcier sur sa peau et la langue experte et jouit.
Dès qu’il se fut remis du fulgurant plaisir, Xavy voulut rendre la pareille à Séveric.
— Tu n’es pas obligé, dit le sorcier.
Xavy n’en tint pas compte. Il lécha la verge de Séveric s’aidant de ses mains pour ce qu’il ne pouvait engloutir.
Séveric le prévint quand il allait exploser, mais Xavy ne recula pas pour autant. Le jet le surprit, son amertume aussi, mais c’était chaud et il avala. Il voulait avoir une part du sorcier à l’intérieur de lui, tout en restant lui-même.
Séveric attira Xavy dans ses bras et le poussa à se nicher contre lui.
Le câlin se révéla tout aussi magnifique que ce qu’ils venaient de faire.
— Mon joli colibri...
Le surnom dont Xavy n’avait d’abord su vraiment quoi penser commençait à lui procurer un doux sentiment d’appartenance et d’acceptation.
3 commentaires:
Super Zibulinion va l'aider !
Merci pour ces deux épisodes, tu nous gâtes. ^^
Bon Week-end.
J'avais trop envie de partager leur moment d'intimité ! :)
Sinon y aura bien lesépisodes de Comme les doigts de la main, ce week-end et si j'y arrive, le prochain, mais après, cela attendra la fin du Fée Féminin qui se rapproche doucement, mais sûrement.
Merci pour l'épisode ^__^
C'est super que Zibu ait pu guérir Xavy, maintenant nos tourtereaux vont pouvoir profiter l'un de l'autre :D
Xavy va enfin être heureux et épanoui aux côtés de Séveric ^o^
Hâte de lire la suite :)
Enregistrer un commentaire