Imperturbable, le grand barbu se rhabilla. Blaise l’imita, si bien qu’il était décent quand la porte de sa chambre s’ouvrit sur le roux, le brun et le blond.
— Cela a fonctionné ? s’enquit Céleste.
Gaïus hocha la tête avec gravité.
— Nous avons enfin trouvé le sens manquant, déclara Marin.
Toute l’affaire en était pourtant dépourvu...
Huo se frotta les mains avec enthousiaste.
— Maintenant, le Vide et ses minions n’ont qu’à bien se tenir !
Aucune de ses deux phrases ne voulaient rien dire.
Il s’étaient échappé d’un asile et Blaise n’allait pas tarder à les y rejoindre. Ou pas. Parce que peut-être que tout était vrai.
— Gaïus a mentionné un ennemi… ?
— Le Vide, confirma Huo.
C’était quoi ce nom à coucher dehors ?
— Et vous avez besoin de moi pour le battre ?
Blaise eu le droit à un chœur de oui complété par un hochement de tête de Gaïus.
— Vous vous rendez compte que votre histoire est folle dingue… ?
— Tu as pourtant vu de tes propres yeux que tu avais des pouvoirs, répondit Huo avec un sourire.
— J’ai peine à en croire mes oreilles, tu ne vas pas persister à t’imaginer que tu rêves ! s’insurgea Céleste.
Blaise regarda les quatre hommes. Les frottements du pénis de Huo contre le sien avait débouché sur des ailes de feu, le baiser de Marin avait entraîné une crinière bleue et un drôle d’effet, la fellation donnée à Céleste avait engendré des ailes blanches et duveteuses et enfin le pilonnage en règle de Gaïus s’était achevé par une pousse de cornes et queue. Alors que c’était pourtant des inconnus, chaque acte sexuel avait été particulièrement intense. D’habitude, c’était juste plaisant, une simple détente, un assouvissement de ses bas instincts. Indépendamment des étranges transformations, il ne pouvait nier une connexion spéciale entre eux. Il avait envie de les toucher encore, même en sachant que cela conduisait à ses drôles de fusion.
— Nous devrions tout lui raconter depuis le début, déclara Marin.
Sans attendre l’assentiment de ses camarades, il poursuivit :
— Chacun de nous s’est réveillé le jour nos vingt-ans avec un sens sur-développé et une affinité avec un élément.
— Si on te laissait faire, nous en aurions pour des heures et des heures, s’agaça Céleste.
— Le plus simple est de lui montrer, intervint Huo.
Ses yeux étincelèrent et une boule de feu sortit de nulle part devant lui.
— Grâce à ma super vue, je peux voir à travers les murs… et les vêtements, ajouta-t-il avec un clin d’œil.
C’était vraiment un numéro.
— Moi, c’est l’ouïe et l’air que je maîtrise tandis que Gaïus, c’est l’odorat et la terre, annonça Céleste.
Un courant d’air caressa la joue de Blaise et le colosse barbu renifla.
— Mon élément à moi est l’eau, et mon sens, le goût. Quant à toi, Blaise, c’est ton toucher qui est spécial. Tu es le cinquième élément, la clef pour anéantir le Vide.
Le détail des pouvoirs de chacun était bien joli, mais cela n’avançait pas trop Blaise. Il aurait préféré que Céleste laisse Marin expliquer tout en détails tout ennuyeux que cela puisse être.
Gaïus hocha la tête avec gravité.
— Nous avons enfin trouvé le sens manquant, déclara Marin.
Toute l’affaire en était pourtant dépourvu...
Huo se frotta les mains avec enthousiaste.
— Maintenant, le Vide et ses minions n’ont qu’à bien se tenir !
Aucune de ses deux phrases ne voulaient rien dire.
Il s’étaient échappé d’un asile et Blaise n’allait pas tarder à les y rejoindre. Ou pas. Parce que peut-être que tout était vrai.
— Gaïus a mentionné un ennemi… ?
— Le Vide, confirma Huo.
C’était quoi ce nom à coucher dehors ?
— Et vous avez besoin de moi pour le battre ?
Blaise eu le droit à un chœur de oui complété par un hochement de tête de Gaïus.
— Vous vous rendez compte que votre histoire est folle dingue… ?
— Tu as pourtant vu de tes propres yeux que tu avais des pouvoirs, répondit Huo avec un sourire.
— J’ai peine à en croire mes oreilles, tu ne vas pas persister à t’imaginer que tu rêves ! s’insurgea Céleste.
Blaise regarda les quatre hommes. Les frottements du pénis de Huo contre le sien avait débouché sur des ailes de feu, le baiser de Marin avait entraîné une crinière bleue et un drôle d’effet, la fellation donnée à Céleste avait engendré des ailes blanches et duveteuses et enfin le pilonnage en règle de Gaïus s’était achevé par une pousse de cornes et queue. Alors que c’était pourtant des inconnus, chaque acte sexuel avait été particulièrement intense. D’habitude, c’était juste plaisant, une simple détente, un assouvissement de ses bas instincts. Indépendamment des étranges transformations, il ne pouvait nier une connexion spéciale entre eux. Il avait envie de les toucher encore, même en sachant que cela conduisait à ses drôles de fusion.
— Nous devrions tout lui raconter depuis le début, déclara Marin.
Sans attendre l’assentiment de ses camarades, il poursuivit :
— Chacun de nous s’est réveillé le jour nos vingt-ans avec un sens sur-développé et une affinité avec un élément.
— Si on te laissait faire, nous en aurions pour des heures et des heures, s’agaça Céleste.
— Le plus simple est de lui montrer, intervint Huo.
Ses yeux étincelèrent et une boule de feu sortit de nulle part devant lui.
— Grâce à ma super vue, je peux voir à travers les murs… et les vêtements, ajouta-t-il avec un clin d’œil.
C’était vraiment un numéro.
— Moi, c’est l’ouïe et l’air que je maîtrise tandis que Gaïus, c’est l’odorat et la terre, annonça Céleste.
Un courant d’air caressa la joue de Blaise et le colosse barbu renifla.
— Mon élément à moi est l’eau, et mon sens, le goût. Quant à toi, Blaise, c’est ton toucher qui est spécial. Tu es le cinquième élément, la clef pour anéantir le Vide.
Le détail des pouvoirs de chacun était bien joli, mais cela n’avançait pas trop Blaise. Il aurait préféré que Céleste laisse Marin expliquer tout en détails tout ennuyeux que cela puisse être.
1 commentaire:
Merci pour l'épisode, je suis contente que tu ai pu poster la suite ^__^
L'intrigue se précise petit à petit et cela promet de grands moments pour la suite des évènements :D
Hâte d'en lire plus ^o^
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