Gaïus s’approcha et le retourna comme une crêpe, puis il le souleva par la taille. La position qu’il attendait de Blaise devint limpide : bras tendus, genoux posés sur la couette, fesses relevées.
Le colosse barbu ne perdit pas de temps, il le travailla d’un doigt lubrifié, puis deux, tout en caressant le pénis de Blaise d’une main rugueuse de façon mécanique, mais redoutablement efficace. Du liquide pré séminal s’échappa de Blaise.
Les deux grandes mains de Gaïus allèrent se poser sur ses fesses qu’il écarta et il pénétra Blaise qui réalisa avec un temps de retard que le barbu n’avait pas mis de préservatif. Sa protestation se transforma néanmoins en râle de plaisir ; Gaïus le pilonnait, frappant chaque fois sa prostate.
Blaise rationalisa, puisqu’il était en train de rêver, cela n’avait pas d’importance. Les coups de boutoir s’intensifièrent, les doigts de Gaïus se refermèrent à nouveau sur la verge de Blaise.
Un instant plus tard, Blaise sentit le colosse répandre sa semence en lui et il jouit à son tour.
Gaïus se retira, mais il planta deux doigts maculés du sperme de Blaise à l’intérieur à la place comme pour empêcher ses propres fluides de sortir. Blaise, le souffle court, tourna la tête comme à temps pour voir le grand barbu être avalé par le néant. Et pourtant, le proverbe jamais trois sans quatre n’existait pas.
Le front de Blaise et son coccyx se mirent à le picoter. Une queue et deux cornes lui poussèrent.
Blaise les tâta prudemment. Il avait tout d’un démon avec ses attributs. Il frissonna.
— C’est bon, vous avez fini ? demanda Céleste à travers la porte.
Blaise aurait bien aimé que ce bizarre rêve érotique le soit en tout cas.
Pas de voix intérieure, cette fois. En même temps, le colosse n’avait pas prononcé un mot depuis le début.
« Je ne peux pas. Malédiction de notre ennemi. »
Que quatre gars avec des espèces de pouvoirs en aient un n’était pas très surprenant. Bientôt, Gaïus ou l’un de ses amis allait lui annoncer qu’il avait besoin de lui pour se battre et sauver le monde.
« C’est vrai. »
Blaise n’avait rien d’un héros.
« Il le faudra. »
L’affirmation ferme et assurée était troublante. Blaise palpa sa longue queue noire qui se terminait en as de pique et appuya si fort sur l’extrémité qu’une goutte de sang perla.
Il ferma les yeux, les rouvrit. Si ce n’était pas un rêve, il ne pouvait nier que « mélanger ses fluides » avec chacun de ses types avait entraîné une transformation chez lui.
« Gaïus, tu es là ? »
« Oui. »
Même comme ça, il n’était pas bavard, ce qui était assurément plus reposant que les perpétuelles commentaires de Céleste. Blaise voulait quand même vraiment que Gaïus sorte de son corps, ce qui se produisit.
Cornes et queue se rétractèrent.
Il suffisait apparemment de souhaiter la fin de la fusion pour qu’elle se produise, ce qui était bon à savoir si jamais Blaise ne se réveillait pas comme il commençait à le craindre.
Le colosse barbu ne perdit pas de temps, il le travailla d’un doigt lubrifié, puis deux, tout en caressant le pénis de Blaise d’une main rugueuse de façon mécanique, mais redoutablement efficace. Du liquide pré séminal s’échappa de Blaise.
Les deux grandes mains de Gaïus allèrent se poser sur ses fesses qu’il écarta et il pénétra Blaise qui réalisa avec un temps de retard que le barbu n’avait pas mis de préservatif. Sa protestation se transforma néanmoins en râle de plaisir ; Gaïus le pilonnait, frappant chaque fois sa prostate.
Blaise rationalisa, puisqu’il était en train de rêver, cela n’avait pas d’importance. Les coups de boutoir s’intensifièrent, les doigts de Gaïus se refermèrent à nouveau sur la verge de Blaise.
Un instant plus tard, Blaise sentit le colosse répandre sa semence en lui et il jouit à son tour.
Gaïus se retira, mais il planta deux doigts maculés du sperme de Blaise à l’intérieur à la place comme pour empêcher ses propres fluides de sortir. Blaise, le souffle court, tourna la tête comme à temps pour voir le grand barbu être avalé par le néant. Et pourtant, le proverbe jamais trois sans quatre n’existait pas.
Le front de Blaise et son coccyx se mirent à le picoter. Une queue et deux cornes lui poussèrent.
Blaise les tâta prudemment. Il avait tout d’un démon avec ses attributs. Il frissonna.
— C’est bon, vous avez fini ? demanda Céleste à travers la porte.
Blaise aurait bien aimé que ce bizarre rêve érotique le soit en tout cas.
Pas de voix intérieure, cette fois. En même temps, le colosse n’avait pas prononcé un mot depuis le début.
« Je ne peux pas. Malédiction de notre ennemi. »
Que quatre gars avec des espèces de pouvoirs en aient un n’était pas très surprenant. Bientôt, Gaïus ou l’un de ses amis allait lui annoncer qu’il avait besoin de lui pour se battre et sauver le monde.
« C’est vrai. »
Blaise n’avait rien d’un héros.
« Il le faudra. »
L’affirmation ferme et assurée était troublante. Blaise palpa sa longue queue noire qui se terminait en as de pique et appuya si fort sur l’extrémité qu’une goutte de sang perla.
Il ferma les yeux, les rouvrit. Si ce n’était pas un rêve, il ne pouvait nier que « mélanger ses fluides » avec chacun de ses types avait entraîné une transformation chez lui.
« Gaïus, tu es là ? »
« Oui. »
Même comme ça, il n’était pas bavard, ce qui était assurément plus reposant que les perpétuelles commentaires de Céleste. Blaise voulait quand même vraiment que Gaïus sorte de son corps, ce qui se produisit.
Cornes et queue se rétractèrent.
Il suffisait apparemment de souhaiter la fin de la fusion pour qu’elle se produise, ce qui était bon à savoir si jamais Blaise ne se réveillait pas comme il commençait à le craindre.
2 commentaires:
Merci pour ce nouveau chapitre, cette histoire devient de plus en plus intéressante et intrigante ^___^
J'ai hâte d'en lire plus pour comprendre un peu mieux ces fusions et cette malédiction ainsi que les pouvoirs de chacun :D
Pas sûr que je puisse mettre la suite en ligne ce week-end, même si j'aurais voulu tenir jusqu'au 12ème épisode au moins - un épisode par année d'anniversaire.
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