Gulrik était en train de broyer du noir quand quelqu’un entra dans sa chambre. Il ne se retourna pas, sûr qu’il s’agissait juste d’une orc lui apportant un repas.
— Prince, vous avez des visiteurs, annonça une voix.
Voilà qui était nouveau et inattendu.
Gulrik pivota.
— Faîtes-les entrer, grommela-t-il.
Un orc trapu au teint d’orc passa l’embrasure, mais Gulrik le vit à peine, son champ de vision se réduisant à la personne qui le suivait. Les narines de Gulrik frémirent et les battement de son cœur s’accélèrent.
Son humain était là, en chair et en os.
En deux enjambées, Gulrik fut sur lui et l’enlaça.
L’instant d’après, il le soulevait de terre et capturait sa bouche sans se soucier ni de l’orc inconnu ni du serviteur qui les avait introduits. Il se moquait du pourquoi du comment. Cyan était présent.
Le désir brûlant de posséder tout entier l’envahit. Il voulait être en lui. Sur le champ. Et Cyan semblait être partant, souple et gémissant entre ses bras.
Gulrik se mit à tirer sur le pantalon de l’humain.
Il entendit vaguement la porte se refermer. Les deux gêneurs avaient préféré s’éclipser et c’était tant mieux, car spectateurs ou pas, Gulrik aurait été bien incapable de s’arrêter.
Il défit son pagne d’un seul geste – l’habillement des orcs était vraiment plus pratique que celui des humains, puis déposa Cyan sur le lit où il acheva de le dévêtir, déchirant la tunique dans sa hâte.
La frénésie qui l’habitait le quitta face à la marque qui ornait le torse de Cyan. Large et vert clair, semblable à une main même s’il manquait un doigt. La légende des empreintes dont sa cousine lui avait rebattu les oreilles autrefois lui revint aussitôt en mémoire.
Gulrik inspira à fond et plaça sa main par dessus.
Sous sa paume, le cœur de l’humain battait à tout rompre.
— Je… Je vous... bredouilla Cyan.
Il leva le bras et toucha en retour du bout des doigts le pectoral de Gulrik qui cessa de respirer.
Il détacha lentement son regard de celui de l’humain dont le bleu était plus brillant que jamais et examina brièvement son propre torse.
Lui aussi avait un début d’empreinte. Une bien plus petite et rosâtre. Ce n’était pas un hématome, n’en avait jamais été un.
— Je t’aime… souffla Cyan, ses joues s’empourprant de façon délicieuse.
— Mon cœur t’appartient, grogna Gulrik.
— Vraiment...?
Gulrik hocha la tête et s’empara des lèvres de l’humain avec douceur.
Il brûlait toujours de désir pour Cyan, mais tout sentiment d’urgence l’avait déserté. Il voulait prendre son temps pour lui faire l’amour.
— Prince, vous avez des visiteurs, annonça une voix.
Voilà qui était nouveau et inattendu.
Gulrik pivota.
— Faîtes-les entrer, grommela-t-il.
Un orc trapu au teint d’orc passa l’embrasure, mais Gulrik le vit à peine, son champ de vision se réduisant à la personne qui le suivait. Les narines de Gulrik frémirent et les battement de son cœur s’accélèrent.
Son humain était là, en chair et en os.
En deux enjambées, Gulrik fut sur lui et l’enlaça.
L’instant d’après, il le soulevait de terre et capturait sa bouche sans se soucier ni de l’orc inconnu ni du serviteur qui les avait introduits. Il se moquait du pourquoi du comment. Cyan était présent.
Le désir brûlant de posséder tout entier l’envahit. Il voulait être en lui. Sur le champ. Et Cyan semblait être partant, souple et gémissant entre ses bras.
Gulrik se mit à tirer sur le pantalon de l’humain.
Il entendit vaguement la porte se refermer. Les deux gêneurs avaient préféré s’éclipser et c’était tant mieux, car spectateurs ou pas, Gulrik aurait été bien incapable de s’arrêter.
Il défit son pagne d’un seul geste – l’habillement des orcs était vraiment plus pratique que celui des humains, puis déposa Cyan sur le lit où il acheva de le dévêtir, déchirant la tunique dans sa hâte.
La frénésie qui l’habitait le quitta face à la marque qui ornait le torse de Cyan. Large et vert clair, semblable à une main même s’il manquait un doigt. La légende des empreintes dont sa cousine lui avait rebattu les oreilles autrefois lui revint aussitôt en mémoire.
Gulrik inspira à fond et plaça sa main par dessus.
Sous sa paume, le cœur de l’humain battait à tout rompre.
— Je… Je vous... bredouilla Cyan.
Il leva le bras et toucha en retour du bout des doigts le pectoral de Gulrik qui cessa de respirer.
Il détacha lentement son regard de celui de l’humain dont le bleu était plus brillant que jamais et examina brièvement son propre torse.
Lui aussi avait un début d’empreinte. Une bien plus petite et rosâtre. Ce n’était pas un hématome, n’en avait jamais été un.
— Je t’aime… souffla Cyan, ses joues s’empourprant de façon délicieuse.
— Mon cœur t’appartient, grogna Gulrik.
— Vraiment...?
Gulrik hocha la tête et s’empara des lèvres de l’humain avec douceur.
Il brûlait toujours de désir pour Cyan, mais tout sentiment d’urgence l’avait déserté. Il voulait prendre son temps pour lui faire l’amour.
3 commentaires:
Ouiiiii les voilà enfin réuni \^o^/
Merci pour l'épisode, c'est tellement beau de les voir de nouveau ensemble, ils se complètent et j'espère qu'ils vont réussir à tenir tête au roi
Bon week-end à toi et vivement le prochain épisode XD
Enfin les retrouvailles. :D
Comment le roi a-t-il accepté que Cyan rentre au palais et voit Gulrik ?
Est-il au courant ?
En tout cas un épisode qui va me tenir chaud au cœur pour ce Week-end. :)
Merci pour cette suite et bon Week-end. ^^
Oui, les revoilà ensemble... Et bien sûr, nous reviendrons sur comment Cyan est arrivé là ! :)
Enregistrer un commentaire