— Que mon prince m’excuse, je dois aller faire mon rapport au roi.
Gulrik s’était encore laissé aller à rêvasser à Cyan. Cela ne lui arrivait que trop souvent ces derniers temps. Il ne retint pas Roknok. Il ne lui avait pas demandé si Cyan et lui avaient baisé, mais ce n’était pas vraiment nécessaire vu la réaction de Roknok à la simple suggestion qu’il ait pu se lier d’amitié avec un humain.
Gulrik soupira. Il n’avait rien à faire à présent. Il était supposé se reposer. Pas d’entraînement pour lui et pas d’orcs à recevoir en audience… Cela le démangeait de se rendre aux cuisines et de réduire en bouillie Vaknor, mais en tant que prince des orcs, il ne pouvait hélas laisser éclater sa colère sans y mettre les formes.
Gulrik regagna sa chambre. Il y était tranquille, même s’il s’y ennuyait comme un rat mort. Personne ne l’obligeait à y rester seul et il aurait pu prendre du bon temps. Sa libido était cependant au point mort, excepté quand il se souvenait de ses ébats avec Cyan. Sa bouche douce comme du velours contre la sienne, autour de son pénis, ses yeux bleu cristallin brillant de désir posés sur lui… Oui, il suffisait de se rappeler la manière dont le corps chaud de l’humain l’avait accueilli et enserré pour que la verge de Gulrik devienne dure comme de la pierre.
Peut-être que Cyan lui avait en fin de compte vraiment jeté un sort...
Évidemment, quand la soigneuse autorisa Gulrik à reprendre ses activités habituelles, deux longs jours plus tard, les premiers invités arrivèrent. Parmi eux, des orcs toutes plus belles les unes que les autres qui laissèrent Gulrik remarquablement indifférent. Il dut les accueillir et passer du temps avec elles au lieu de pouvoir s’exercer, de seconder son père dans les affaires du royaume et de punir Vaknor.
Gulrik se retrouva à devoir repousser les avances de certaines qui avaient envie de tester leur compatibilité sexuelle. Cela n’aurait normalement rien eu d’une corvée à éviter.
Ces refus, doublés à son absence de prouesses sexuelles, entraînèrent une rumeur : la drogue avait eu des effets sur la virilité du prince. Gulrik ne chercha pas à la démentir, car la vérité était au moins autant embarrassante : il était sous le charme d’un humain.
Il avait dû se faire une raison. Ce n’était en effet pas que de l’affection ou un simplement attachement. Il était amoureux et à chaque jour qui passait sans le voir, loin de lui, son cœur devenait plus lourd.
Gulrik s’était encore laissé aller à rêvasser à Cyan. Cela ne lui arrivait que trop souvent ces derniers temps. Il ne retint pas Roknok. Il ne lui avait pas demandé si Cyan et lui avaient baisé, mais ce n’était pas vraiment nécessaire vu la réaction de Roknok à la simple suggestion qu’il ait pu se lier d’amitié avec un humain.
Gulrik soupira. Il n’avait rien à faire à présent. Il était supposé se reposer. Pas d’entraînement pour lui et pas d’orcs à recevoir en audience… Cela le démangeait de se rendre aux cuisines et de réduire en bouillie Vaknor, mais en tant que prince des orcs, il ne pouvait hélas laisser éclater sa colère sans y mettre les formes.
Gulrik regagna sa chambre. Il y était tranquille, même s’il s’y ennuyait comme un rat mort. Personne ne l’obligeait à y rester seul et il aurait pu prendre du bon temps. Sa libido était cependant au point mort, excepté quand il se souvenait de ses ébats avec Cyan. Sa bouche douce comme du velours contre la sienne, autour de son pénis, ses yeux bleu cristallin brillant de désir posés sur lui… Oui, il suffisait de se rappeler la manière dont le corps chaud de l’humain l’avait accueilli et enserré pour que la verge de Gulrik devienne dure comme de la pierre.
Peut-être que Cyan lui avait en fin de compte vraiment jeté un sort...
Évidemment, quand la soigneuse autorisa Gulrik à reprendre ses activités habituelles, deux longs jours plus tard, les premiers invités arrivèrent. Parmi eux, des orcs toutes plus belles les unes que les autres qui laissèrent Gulrik remarquablement indifférent. Il dut les accueillir et passer du temps avec elles au lieu de pouvoir s’exercer, de seconder son père dans les affaires du royaume et de punir Vaknor.
Gulrik se retrouva à devoir repousser les avances de certaines qui avaient envie de tester leur compatibilité sexuelle. Cela n’aurait normalement rien eu d’une corvée à éviter.
Ces refus, doublés à son absence de prouesses sexuelles, entraînèrent une rumeur : la drogue avait eu des effets sur la virilité du prince. Gulrik ne chercha pas à la démentir, car la vérité était au moins autant embarrassante : il était sous le charme d’un humain.
Il avait dû se faire une raison. Ce n’était en effet pas que de l’affection ou un simplement attachement. Il était amoureux et à chaque jour qui passait sans le voir, loin de lui, son cœur devenait plus lourd.
2 commentaires:
L'impuissance c'est une bonne rumeur pour notre couples. ^^
Il faut que les prétendantes l'entendent aussi.
Et le roi pourrait commencer à voir du côté de sa nièce.
Merci pour cette épisode. :D
Merci pour l'épisode :)
Décidément Gulrik n'a pas fini de chercher des ruses pour se débarrasser de ses prétendantes, la rumeur sur son impuissance peux effectivement jouer en sa faveur ^_^
J'espère que nous aurons l'occasion de voir Gulrik punir Vaknor :)
Je sens que le roi n'est pas encore près à lâcher l'affaire quand au mariage de Gulrik et qu'il va redoubler d'effort pour le faire craquer...
Hâte de lire la suite, bon week-end ^o^
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