Gulrik explora la moindre parcelle de peau de Cyan, caressant et léchant, désireux de découvrir quelles parties de son corps étaient les plus sensibles.
Toucher l’intérieur des cuisses de l’humain entraîna une série de bredouillements et bégaiements plus séduisants que jamais.
Gulrik collecta le sperme qui coulait en abondance de sa verge et plongea un doigt à l’intérieur de Cyan qui ne tarda pas à s’empaler dessus.
Si sa façon de s’abandonner aux bons soins de Gulrik était éminemment satisfaisante, sa participation était profondément excitante. Gulrik voulait cependant être sûr de ne pas lui faire mal, aussi le doigta-t-il longuement avant de presser son membre dur comme la pierre contre l’étroite entrée et s’enfoncer dans Cyan.
C’était meilleur que dans son souvenir. Il effectua d’abord des mouvements de va-et-vient tranquilles, autant pour lui laisser le temps de s’habituer que pour savourer le simple fait qu’ils soient unis. Il forma ensuite avec sa main droite un fourreau pour le pénis de Cyan dont les yeux se fermèrent sous l’emprise du plaisir.
Ses paupières se rouvrirent quand Gulrik intensifia le rythme, son regard empli d’émotions. Ses doigts vinrent s’entremêler à ceux de la main gauche Gulrik qui était appuyée sur le matelas du lit.
Ils jouirent ensemble, leurs râles se confondant. Gulrik se retira en douceur, s’écrasa sur le côté et attira Cyan contre lui, nouant à nouveau leurs mains. Le moment était parfait.
Un coup à la porte le brisa.
Personne ne poussa le battant, mais une voix retentit :
— Le roi vous attend tous deux dans la salle du trône.
Le contraire eut été étonnant.
Gulrik pesta.
Toucher l’intérieur des cuisses de l’humain entraîna une série de bredouillements et bégaiements plus séduisants que jamais.
Gulrik collecta le sperme qui coulait en abondance de sa verge et plongea un doigt à l’intérieur de Cyan qui ne tarda pas à s’empaler dessus.
Si sa façon de s’abandonner aux bons soins de Gulrik était éminemment satisfaisante, sa participation était profondément excitante. Gulrik voulait cependant être sûr de ne pas lui faire mal, aussi le doigta-t-il longuement avant de presser son membre dur comme la pierre contre l’étroite entrée et s’enfoncer dans Cyan.
C’était meilleur que dans son souvenir. Il effectua d’abord des mouvements de va-et-vient tranquilles, autant pour lui laisser le temps de s’habituer que pour savourer le simple fait qu’ils soient unis. Il forma ensuite avec sa main droite un fourreau pour le pénis de Cyan dont les yeux se fermèrent sous l’emprise du plaisir.
Ses paupières se rouvrirent quand Gulrik intensifia le rythme, son regard empli d’émotions. Ses doigts vinrent s’entremêler à ceux de la main gauche Gulrik qui était appuyée sur le matelas du lit.
Ils jouirent ensemble, leurs râles se confondant. Gulrik se retira en douceur, s’écrasa sur le côté et attira Cyan contre lui, nouant à nouveau leurs mains. Le moment était parfait.
Un coup à la porte le brisa.
Personne ne poussa le battant, mais une voix retentit :
— Le roi vous attend tous deux dans la salle du trône.
Le contraire eut été étonnant.
Gulrik pesta.
2 commentaires:
Après les retrouvailles voilà la réalité qui se rappelle à eux ^^"
Que va bien pouvoir leur dire le roi... Merci pour l'épisode ^____^
Vivement la suite XD
Comme Jeckyll le dit retour à la réalité.
Hélas beaucoup trop vite. ><
A demain pour savoir comment Cyan est arrivé et si le roi va les laisser tranquille… ?
Merci pour cette suite.
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