— Sans savoir, dur de te conseiller, mais en tout les cas, merci de renoncer à ta carrière de remplaçant. Cela te coûte ?
Ethan secoua doucement la tête.
— Indépendamment de mon goût pour les arts ménagers, je crois que je me cherchais une famille. En attendant, je ne sais pas trop quel job faire.
— Tu n'es pas obligé d'en dénicher un autre, déclara Jonas, désireux qu'il cesse de se tourmenter.
— Mais ça voudrait dire que je vivrais à tes crochets ! s'écria Ethan.
Être à la maison n'impliquait certes pas de se la couler douce. Garde d'enfants ou pas, le ménage, la lessive et les courses n'avaient rien d'une sinécure.
Cela rappela à Jonas qu'il n'avait pas tiré au clair le mystère de la semaine non facturée par l'entreprise qui employait Ethan. C'était le moment ou jamais.
Avec un embarras charmant, Ethan admit qu'il s'était occupé d'eux sur son temps libre.
Jonas décida qu'il en avait assez de réfléchir à tous les paramètres à prendre en compte et le rejoignit sur le canapé.
Il l'attira dans ses bras et remarqua qu'une fois de plus, Ethan ne savait pas quoi faire de ses mains ou plutôt n'osait pas les poser sur lui. Il les prit et les plaça sur sa taille.
— Tu as le droit de me toucher aussi, lui souffla-t-il dans l'oreille. Je ne suis pas en sucre et je ne vais pas fondre.
Ethan resta crispé malgré tout. Jonas se promit de réussir à le détendre. Il fouailla de la langue sa bouche, tout lui caressant le dos, d'abord par dessus son pull, puis en lui soulevant, à même la peau.
Son corps d'homme, sous ses doigts, étaient moins moelleux, plus carré, mais tout aussi chaud que celui d'une femme. Ses différences n'avaient cependant rien de négatif puisque c'était lui. Il le renversa à moitié sur les coussins du canapé et à travers l'épaisseur de leurs vêtements, senti son érection contre la sienne sans que cela le coupe dans son élan. La situation de la dernière fois, dans l'appartement d'Ethan lui avait permis d'intégrer pleinement que le sexe avec lui ne ressemblerait pas à ce qu'il connaissait. Il remonta franchement le pull et le t-shirt d'Ethan, lui suça les tétons l'un après l'autre, tout en déboutonnant son jeans pour caresser son sexe.
Il commençait à se désespérer de dissiper la tension qui habitait toujours Ethan quand celui-ci ouvrit la braguette du pantalon de Jonas et posa la main sur sur son pénis, le palpant à travers le tissu du slip.
Ethan secoua doucement la tête.
— Indépendamment de mon goût pour les arts ménagers, je crois que je me cherchais une famille. En attendant, je ne sais pas trop quel job faire.
— Tu n'es pas obligé d'en dénicher un autre, déclara Jonas, désireux qu'il cesse de se tourmenter.
— Mais ça voudrait dire que je vivrais à tes crochets ! s'écria Ethan.
Être à la maison n'impliquait certes pas de se la couler douce. Garde d'enfants ou pas, le ménage, la lessive et les courses n'avaient rien d'une sinécure.
Cela rappela à Jonas qu'il n'avait pas tiré au clair le mystère de la semaine non facturée par l'entreprise qui employait Ethan. C'était le moment ou jamais.
Avec un embarras charmant, Ethan admit qu'il s'était occupé d'eux sur son temps libre.
Jonas décida qu'il en avait assez de réfléchir à tous les paramètres à prendre en compte et le rejoignit sur le canapé.
Il l'attira dans ses bras et remarqua qu'une fois de plus, Ethan ne savait pas quoi faire de ses mains ou plutôt n'osait pas les poser sur lui. Il les prit et les plaça sur sa taille.
— Tu as le droit de me toucher aussi, lui souffla-t-il dans l'oreille. Je ne suis pas en sucre et je ne vais pas fondre.
Ethan resta crispé malgré tout. Jonas se promit de réussir à le détendre. Il fouailla de la langue sa bouche, tout lui caressant le dos, d'abord par dessus son pull, puis en lui soulevant, à même la peau.
Son corps d'homme, sous ses doigts, étaient moins moelleux, plus carré, mais tout aussi chaud que celui d'une femme. Ses différences n'avaient cependant rien de négatif puisque c'était lui. Il le renversa à moitié sur les coussins du canapé et à travers l'épaisseur de leurs vêtements, senti son érection contre la sienne sans que cela le coupe dans son élan. La situation de la dernière fois, dans l'appartement d'Ethan lui avait permis d'intégrer pleinement que le sexe avec lui ne ressemblerait pas à ce qu'il connaissait. Il remonta franchement le pull et le t-shirt d'Ethan, lui suça les tétons l'un après l'autre, tout en déboutonnant son jeans pour caresser son sexe.
Il commençait à se désespérer de dissiper la tension qui habitait toujours Ethan quand celui-ci ouvrit la braguette du pantalon de Jonas et posa la main sur sur son pénis, le palpant à travers le tissu du slip.
2 commentaires:
Whaou chaud bouillant cette scène ^__^
Merci pour l'épisode, enfin ces deux là passe aux choses sérieuse et j'ai vraiment hâte de voir ce que leur relation va donner au final :)
J'avais bien dit que la température allait monter. :)
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