L'adolescent s'empara de la longue mèche blanche qui avait été exclue une fois de plus de la coiffure savante de Yuriko et joua avec.
– Tu viendras après tes devoirs ? demanda ce dernier tout ébouriffant les cheveux de Terry d'un geste familier.
Mel rongeait son frein.
– Si j'ai fini largement avant le début du repas du soir, oui. Je te promets de me dépêcher.
– Il faut que tu travailles sérieusement, intervint Mel.
– Je peux faire vite et bien.
L'adolescent était en effet plutôt doué pour les études. Autrefois, il y consacrait la plupart de son temps. Terry embrassa la mèche blanche de Yuriko comme s'il lui faisait un baise-main. Ce dernier sourit tout à fait.
– Si tu ne peux pas, nous nous mettrons à l'apprentissage du tricot demain à la première heure, d'accord ?
– J'espère plutôt que ce sera tout à l'heure.
Et sur ces mots, Terry prit la direction de la chambre de Mel. Celui-ci verrouilla la porte dès qu'ils furent entrés. L'adolescent s'assit au bureau et se mit à travailler. Mel le regardait sans rien faire. L'adolescent sentait ses yeux caressants, mais s'y était habitué. Mel le regardait souvent travailler. C'était un de ces plaisirs à lui. Il avait expliqué à Terry qu'il adorait voir le front de ce dernier se plisser sous l'effort de la réflexion. En deux heures, l'adolescent boucla ses devoirs. Vite fait, mais bien fait, comme à son habitude.
– Tu as tout fini ?
– Oui... Tu n'as qu'à vérifier si tu veux, répondit Terry, vaguement exaspéré.
– Je jetterai un coup d’œil, oui, mais plus tard. Il est déjà 18 heures. On mange à 20 heures en général et tu as beaucoup de gens à voir d'ici là.
Le sérieux, le raisonnable Mel. Il faisait passer les autres avant lui.
– Toi entre autres.
L'adolescent tendit son front à Mel qui y déposa une pluie de baisers. Puis, Terry, avec un certain regrets s'éloigna de lui. Cependant, dès qu'il fut sorti de la chambre, son cœur retrouva sa légèreté : il allait voir ses autres amours!
Il avait l'intention de se rendre chez Yuriko, mais la vue du mur de la chambre de Ben lui rappela qu'il avait froissé légèrement ce dernier. Il frappa à la porte.
– Quoi ? gronda la voix de Ben.
– C'est moi.
La porte s'ouvrit en grand laissant place à un Ben visiblement furieux.
– Je t'ai déjà tué de vingt cinq manières différentes à travers les vingt cinq victimes de mon serial killer.
Terry fut soulagé d'apprendre que Ben avait écrit : s'il écrivait, c'est qu'il se portait plutôt bien...
– Je préfère partager une petite mort avec toi. Ou que tu me fasses subir quelques embrassements.
L'écrivain s'empara de ses lèvres avant de se perdre dans le creux de son cou.
– Mon cœur, tu n'es qu'une fripouille. Comment vais-je terminer mon roman policier maintenant ? Je n'ai plus qu'à reprendre mon roman d'amour entre Tchen et Ayato.
– Je ne peux pas rester avec toi.
– Je retourne à mon roman policier. Je te tue une vingt-sixième fois et puis, en fait, on découvre que la dix septième victime n'est pas morte...
– Tu viendras après tes devoirs ? demanda ce dernier tout ébouriffant les cheveux de Terry d'un geste familier.
Mel rongeait son frein.
– Si j'ai fini largement avant le début du repas du soir, oui. Je te promets de me dépêcher.
– Il faut que tu travailles sérieusement, intervint Mel.
– Je peux faire vite et bien.
L'adolescent était en effet plutôt doué pour les études. Autrefois, il y consacrait la plupart de son temps. Terry embrassa la mèche blanche de Yuriko comme s'il lui faisait un baise-main. Ce dernier sourit tout à fait.
– Si tu ne peux pas, nous nous mettrons à l'apprentissage du tricot demain à la première heure, d'accord ?
– J'espère plutôt que ce sera tout à l'heure.
Et sur ces mots, Terry prit la direction de la chambre de Mel. Celui-ci verrouilla la porte dès qu'ils furent entrés. L'adolescent s'assit au bureau et se mit à travailler. Mel le regardait sans rien faire. L'adolescent sentait ses yeux caressants, mais s'y était habitué. Mel le regardait souvent travailler. C'était un de ces plaisirs à lui. Il avait expliqué à Terry qu'il adorait voir le front de ce dernier se plisser sous l'effort de la réflexion. En deux heures, l'adolescent boucla ses devoirs. Vite fait, mais bien fait, comme à son habitude.
– Tu as tout fini ?
– Oui... Tu n'as qu'à vérifier si tu veux, répondit Terry, vaguement exaspéré.
– Je jetterai un coup d’œil, oui, mais plus tard. Il est déjà 18 heures. On mange à 20 heures en général et tu as beaucoup de gens à voir d'ici là.
Le sérieux, le raisonnable Mel. Il faisait passer les autres avant lui.
– Toi entre autres.
L'adolescent tendit son front à Mel qui y déposa une pluie de baisers. Puis, Terry, avec un certain regrets s'éloigna de lui. Cependant, dès qu'il fut sorti de la chambre, son cœur retrouva sa légèreté : il allait voir ses autres amours!
Il avait l'intention de se rendre chez Yuriko, mais la vue du mur de la chambre de Ben lui rappela qu'il avait froissé légèrement ce dernier. Il frappa à la porte.
– Quoi ? gronda la voix de Ben.
– C'est moi.
La porte s'ouvrit en grand laissant place à un Ben visiblement furieux.
– Je t'ai déjà tué de vingt cinq manières différentes à travers les vingt cinq victimes de mon serial killer.
Terry fut soulagé d'apprendre que Ben avait écrit : s'il écrivait, c'est qu'il se portait plutôt bien...
– Je préfère partager une petite mort avec toi. Ou que tu me fasses subir quelques embrassements.
L'écrivain s'empara de ses lèvres avant de se perdre dans le creux de son cou.
– Mon cœur, tu n'es qu'une fripouille. Comment vais-je terminer mon roman policier maintenant ? Je n'ai plus qu'à reprendre mon roman d'amour entre Tchen et Ayato.
– Je ne peux pas rester avec toi.
– Je retourne à mon roman policier. Je te tue une vingt-sixième fois et puis, en fait, on découvre que la dix septième victime n'est pas morte...
2 commentaires:
Toujours aussi prenant ^____^ Quoi la fin approche à grand pas? Nannn!!! T__T Dis moi tu as un autre projet en tête ou pas? :)
J'ai 2 autres projets en tête, un roman de fantasy et un roman réaliste. Je ferai une petite présentation et il faudra me dire ce que vous préférez lire en premier. :)
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