Chapitre 1 :
Rien n'est parfait dans le meilleur des mondes
Terry habitait désormais avec les frères Tsukoji depuis une semaine. Il revoyait Matsuka en train d'embarquer ses affaires et entendait encore sa mère lui dire que les Tsukoji étaient bien gentils de lui donner leur chambre d'amis. Les yeux d'or de Terry pétillèrent d'amusement. Il n'avait pas passé une seule nuit dans la chambre d'ami. Il le ferait peut-être s'il était malade comme un chien, et encore ! Cela n'avait pas été simple du tout de convaincre ses parents de le laisser derrière eux, mais ils avaient fini par céder. Mel était un orateur hors pair. Il avait été très rassurant avec sa mère, paré tous les arguments de son père. A présent que le cauchemar du départ aux Etats-Unis était bel et bien terminé, tout était parfait... ou presque.
– Quand vous aurez fini vos embrassements, prévenez-moi !
La voix de Ben retentit près de l'oreille de Terry et Matsuka qui étaient perdus dans un long et profond baiser. Matsuka libéra l'adolescent à contre-cœur. Terry décocha un sourire si heureux à Ben que Matsuka sentit la morsure de la jalousie : il n'était pas bien son baiser ?
– Tu inventes encore des mots ? demanda tendrement Terry au viking blond qui se tenait devant lui.
– Raté, mon cœur. Un embrassement est un baiser long, profond et tendre. Les bons dictionnaires te le diront. Formule littéraire, je te l'accorde.
– C'est joli...
– Je suis encore là, bougonna Matsuka.
Terry reporta son attention sur lui.
– Moi aussi, tout prêt pour un autre embrassement. Nous préviendrons Ben, après.
Matsuka recouvra le sourire tandis que Ben se rembrunissait. Matsuka reprit possession des lèvres de Terry.
– Je retourne écrire. Un roman policier parce que j'ai des envies de meurtre.
Ben claqua la porte de sa chambre.
– Oy! Matsuka, tu pourrais lâcher les basques de Terry maintenant. Il était d'accord pour aller courir avec moi. Dix tours de jardin... dit Hanami qui arrivait.
L'adolescent se dégagea de l'étreinte de Matsuka.
– Je cours courir...
Matsuka grimaça. Pas moyen d'être tranquille deux minutes dans cette maison ! Hanami ne se le fit pas dire deux fois. Il souleva Terry comme une princesse et s'apprêta à l'enlever aux griffes de son redoutable frère.
– A tout à l'heure ! lança Terry, soufflant un baiser avant qu'Hanami ne l'emporte au pas de course.
Matsuka sourit. Il avait brusquement hâte d'être tout à l'heure...
Hanami avait déjà fait deux tours et Terry à peine un qu'ils croisèrent Mika en train d'arracher des mauvaises herbes.
– Mika !
Terry s'arrêta de courir et s'approcha du jardinier.
– Tu avais dit dix tours ! s'exclama Hanami sur un ton de reproche.
– Je suis déjà fatigué. Je vais te regarder courir, d'accord?
Hanami ne pouvait rien répliquer à un « je suis fatigué de Terry, il voulait tant que ce dernier soit en forme... Et puis l'idée que Terry le regarde n'était pas pour lui déplaire. Ce qui le gênait, c'est que Mika était à côté de Terry et qu'il lui tapotait régulièrement les fesses.
Hanami en était à son huitième tour quand Charlie par la fenêtre de la cuisine appela Terry.
– Terry ! Les biscuits avec un cœur de chocolat fondant sont prêts ! Tu viens les goûter ?
– J'arrive ! lança Terry.
Il embrassa Mika, esquiva la dernière tape sur les fesses que ce dernier voulait lui donner et courut vers Hanami.
– Je sais que tu as encore deux tours, mais si tu m'embrassais, je serais plus heureux encore de rentrer à la maison, dit Terry quand il l'eut rejoint avec beaucoup de difficultés.
Hanami s'arrêta net et prenant Terry dans ses bras, il l'embrassa avec beaucoup d'enthousiasme. Il s'était amélioré depuis le début mais des frères Tsukoji, il était bien celui qui embrassait le plus mal. Cela ne gênait guère Terry qui adorait transmettre ce qu'il avait appris des autres à Hanami. Il rentra à la maison d'un pas bondissant et rejoint Charlie qui l'attendait dans la cuisine.
– Tu en as mis du temps. Et je sais pourquoi, j'ai tout vu de la fenêtre de la cuisine.
Charlie avait dit cela d'un ton aimable, mais Terry savait désormais que Charlie affichait parfois une fausse amabilité.
– Mika et Hanami auraient très bien pu être tentés par tes délicieux biscuits au chocolat.
Charlie comprit très bien ce que Terry voulait dire par là. Ses deux frères auraient peut-être suivi l'adolescent dans la cuisine si celui-ci les avait quitté trop brusquement. Jalousie oblige...
– On les mange ensemble ?
Terry frémit en entendant la question de Charlie. En général quand il lui faisait cette proposition, Terry se retrouvait allongé sur la table de la cuisine recouvert du plat préparé... Ce n'était pas vraiment ce qu'il préférait comme position... Il acquiesça cependant, car il voulait lui faire plaisir. Charlie lui fourra dans la bouche l'un des petits biscuits au chocolat. Il mordit ensuite dans la moitié du biscuit qui dépassait de la bouche de Terry et un instant plus tard ils s'embrassèrent. Un baiser au goût chocolat.
– Alors ?
– Délicieux.
Ils venait de manger leur quatrième biscuit au chocolat et l'achevait langue contre langue quand Amaki entra.
– Charlie... Tu ne pourrais pas utiliser ta chambre pour cela ?Je te rappelle que la cuisine est un lieu publique.
– Qui était en train de jouer avec les oreilles de Terry dans le salon hier soir ? répliqua Charlie.
– Ce n'est pas pareil.
– Évidemment quand il s'agit de môssieur Amaki, tout devient spécial.
Le masque d'amabilité de Charlie était tombé. Cela sentait le roussi.
– C'est de ma faute dans les deux cas. Charlie serait tout aussi bien monté dans sa chambre. Et j'ai provoqué Amaki, avança timidement Terry.
– Bien sûr que non, que ce n'est pas ta faute ! s'exclamèrent dans un bel ensemble les deux frères en se tournant vers lui.
Devant une si belle synchronisation, Terry se mit à rire. Ce rire si agréable à l'oreille. Les deux frères rirent également.
– Je peux emporter Terry ? demanda Amaki à son frère.
– Demande à l'intéressé, suggéra aimablement Charlie.
Terry fut quelque peu embêté devant ce choix. Charlie rappelait gentiment à son frère qu'il était un individu libre de ces décisions et non une chose, mais en même temps, il lui demandait de dire lequel d'entre eux il préférait. Or, il n'avait pas de préférences.
– Qu'est-ce que nous allons faire, Amaki ?
Terry demanda cela car il savait qu'aller dans la chambre de ce dernier écouter de la musique se terminait extrêmement fréquemment dans le lit à bouger au rythme de la musique.
– Ça dépendra de toi. Si le morceau te plaît.
– Je mange encore un biscuit au chocolat pour reprendre des forces et je monte. Tu m'attends en haut de l'escalier de la cuisine ?
Cette réponse ne parut satisfaire complètement aucun des deux frères, mais elle eut l'avantage de ne déplaire à personne. Amaki grimpa les escaliers. Et Terry partagea non pas un, mais deux biscuits au chocolat avec Charlie avant de le quitter.
– Désolé de t'avoir fait attendre Amaki.
– Tu sais que je déteste attendre, râla Amaki. Ils étaient si bons que cela ses biscuits au chocolat ? ajouta-t-il en se penchant pour goûter les lèvres de Terry.
L'adolescent avait un faible pour la bouche aux lèvres presque bleues car, quand il l'embrassait, il sentait la froideur des lèvres d'Amaki dû à un problème de circulation sanguine fondre comme neige au soleil à son contact.
– On va écouter de la musique ?
– Si on arrive à ma chambre sans se faire repérer, oui, grommela Amaki qui savait parfaitement qu'il pouvait se faire voler l'adolescent à tout moment.
Cela n'arriva pas. Un miracle, voilà ce que c'était ! Amaki referma la porte de sa chambre avec satisfaction. Il lança la musique sur l'ordinateur et bientôt, elle envahit la pièce. Terry devina sans peine avec quelle idée en tête il l'avait composé. La musique était d'abord lente et toute en caresses, puis elle devenait de plus en plus rapide jusqu'à devenir endiablée avant d'atteindre un pic sonore élevé. Elle s'éteignait ensuite doucement. Terry songea que pour Amaki s'était un grand compromis. Il avait du comprendre que pour l'adolescent s'était extrêmement fatiguant de s'accorder au rythme de n'importe quelle musique. Il en avait donc composée une spécialement facilement à suivre pour une partie de jambes en l'air.
– Elle est parfaite pour... commença Terry avant d'être interrompu par des coups violents à la porte
Amaki crut qu'il allait devenir enragé. Il avait passé deux semaines à composer ce morceau pour donner envie à l'adolescent de sauter de suite dans le lit. Et voilà que si près de récolter le fruit de ses efforts, un de ces idiots de frère venait tout gâcher. Il ouvrit en gromelant. Le visage de Mel apparut. Amaki râla intérieurement. C'était bien à Mel qu'il ne pouvait pas mettre un coup de poing dans la gueule. C'était Mel le chef de famille après tout.
– Qu'est-ce que tu veux ? aboya Amaki.
– Voir si Terry était là. Charlie m'a dit qu'il était monté avec toi.
Rien n'est parfait dans le meilleur des mondes
Terry habitait désormais avec les frères Tsukoji depuis une semaine. Il revoyait Matsuka en train d'embarquer ses affaires et entendait encore sa mère lui dire que les Tsukoji étaient bien gentils de lui donner leur chambre d'amis. Les yeux d'or de Terry pétillèrent d'amusement. Il n'avait pas passé une seule nuit dans la chambre d'ami. Il le ferait peut-être s'il était malade comme un chien, et encore ! Cela n'avait pas été simple du tout de convaincre ses parents de le laisser derrière eux, mais ils avaient fini par céder. Mel était un orateur hors pair. Il avait été très rassurant avec sa mère, paré tous les arguments de son père. A présent que le cauchemar du départ aux Etats-Unis était bel et bien terminé, tout était parfait... ou presque.
– Quand vous aurez fini vos embrassements, prévenez-moi !
La voix de Ben retentit près de l'oreille de Terry et Matsuka qui étaient perdus dans un long et profond baiser. Matsuka libéra l'adolescent à contre-cœur. Terry décocha un sourire si heureux à Ben que Matsuka sentit la morsure de la jalousie : il n'était pas bien son baiser ?
– Tu inventes encore des mots ? demanda tendrement Terry au viking blond qui se tenait devant lui.
– Raté, mon cœur. Un embrassement est un baiser long, profond et tendre. Les bons dictionnaires te le diront. Formule littéraire, je te l'accorde.
– C'est joli...
– Je suis encore là, bougonna Matsuka.
Terry reporta son attention sur lui.
– Moi aussi, tout prêt pour un autre embrassement. Nous préviendrons Ben, après.
Matsuka recouvra le sourire tandis que Ben se rembrunissait. Matsuka reprit possession des lèvres de Terry.
– Je retourne écrire. Un roman policier parce que j'ai des envies de meurtre.
Ben claqua la porte de sa chambre.
– Oy! Matsuka, tu pourrais lâcher les basques de Terry maintenant. Il était d'accord pour aller courir avec moi. Dix tours de jardin... dit Hanami qui arrivait.
L'adolescent se dégagea de l'étreinte de Matsuka.
– Je cours courir...
Matsuka grimaça. Pas moyen d'être tranquille deux minutes dans cette maison ! Hanami ne se le fit pas dire deux fois. Il souleva Terry comme une princesse et s'apprêta à l'enlever aux griffes de son redoutable frère.
– A tout à l'heure ! lança Terry, soufflant un baiser avant qu'Hanami ne l'emporte au pas de course.
Matsuka sourit. Il avait brusquement hâte d'être tout à l'heure...
Hanami avait déjà fait deux tours et Terry à peine un qu'ils croisèrent Mika en train d'arracher des mauvaises herbes.
– Mika !
Terry s'arrêta de courir et s'approcha du jardinier.
– Tu avais dit dix tours ! s'exclama Hanami sur un ton de reproche.
– Je suis déjà fatigué. Je vais te regarder courir, d'accord?
Hanami ne pouvait rien répliquer à un « je suis fatigué de Terry, il voulait tant que ce dernier soit en forme... Et puis l'idée que Terry le regarde n'était pas pour lui déplaire. Ce qui le gênait, c'est que Mika était à côté de Terry et qu'il lui tapotait régulièrement les fesses.
Hanami en était à son huitième tour quand Charlie par la fenêtre de la cuisine appela Terry.
– Terry ! Les biscuits avec un cœur de chocolat fondant sont prêts ! Tu viens les goûter ?
– J'arrive ! lança Terry.
Il embrassa Mika, esquiva la dernière tape sur les fesses que ce dernier voulait lui donner et courut vers Hanami.
– Je sais que tu as encore deux tours, mais si tu m'embrassais, je serais plus heureux encore de rentrer à la maison, dit Terry quand il l'eut rejoint avec beaucoup de difficultés.
Hanami s'arrêta net et prenant Terry dans ses bras, il l'embrassa avec beaucoup d'enthousiasme. Il s'était amélioré depuis le début mais des frères Tsukoji, il était bien celui qui embrassait le plus mal. Cela ne gênait guère Terry qui adorait transmettre ce qu'il avait appris des autres à Hanami. Il rentra à la maison d'un pas bondissant et rejoint Charlie qui l'attendait dans la cuisine.
– Tu en as mis du temps. Et je sais pourquoi, j'ai tout vu de la fenêtre de la cuisine.
Charlie avait dit cela d'un ton aimable, mais Terry savait désormais que Charlie affichait parfois une fausse amabilité.
– Mika et Hanami auraient très bien pu être tentés par tes délicieux biscuits au chocolat.
Charlie comprit très bien ce que Terry voulait dire par là. Ses deux frères auraient peut-être suivi l'adolescent dans la cuisine si celui-ci les avait quitté trop brusquement. Jalousie oblige...
– On les mange ensemble ?
Terry frémit en entendant la question de Charlie. En général quand il lui faisait cette proposition, Terry se retrouvait allongé sur la table de la cuisine recouvert du plat préparé... Ce n'était pas vraiment ce qu'il préférait comme position... Il acquiesça cependant, car il voulait lui faire plaisir. Charlie lui fourra dans la bouche l'un des petits biscuits au chocolat. Il mordit ensuite dans la moitié du biscuit qui dépassait de la bouche de Terry et un instant plus tard ils s'embrassèrent. Un baiser au goût chocolat.
– Alors ?
– Délicieux.
Ils venait de manger leur quatrième biscuit au chocolat et l'achevait langue contre langue quand Amaki entra.
– Charlie... Tu ne pourrais pas utiliser ta chambre pour cela ?Je te rappelle que la cuisine est un lieu publique.
– Qui était en train de jouer avec les oreilles de Terry dans le salon hier soir ? répliqua Charlie.
– Ce n'est pas pareil.
– Évidemment quand il s'agit de môssieur Amaki, tout devient spécial.
Le masque d'amabilité de Charlie était tombé. Cela sentait le roussi.
– C'est de ma faute dans les deux cas. Charlie serait tout aussi bien monté dans sa chambre. Et j'ai provoqué Amaki, avança timidement Terry.
– Bien sûr que non, que ce n'est pas ta faute ! s'exclamèrent dans un bel ensemble les deux frères en se tournant vers lui.
Devant une si belle synchronisation, Terry se mit à rire. Ce rire si agréable à l'oreille. Les deux frères rirent également.
– Je peux emporter Terry ? demanda Amaki à son frère.
– Demande à l'intéressé, suggéra aimablement Charlie.
Terry fut quelque peu embêté devant ce choix. Charlie rappelait gentiment à son frère qu'il était un individu libre de ces décisions et non une chose, mais en même temps, il lui demandait de dire lequel d'entre eux il préférait. Or, il n'avait pas de préférences.
– Qu'est-ce que nous allons faire, Amaki ?
Terry demanda cela car il savait qu'aller dans la chambre de ce dernier écouter de la musique se terminait extrêmement fréquemment dans le lit à bouger au rythme de la musique.
– Ça dépendra de toi. Si le morceau te plaît.
– Je mange encore un biscuit au chocolat pour reprendre des forces et je monte. Tu m'attends en haut de l'escalier de la cuisine ?
Cette réponse ne parut satisfaire complètement aucun des deux frères, mais elle eut l'avantage de ne déplaire à personne. Amaki grimpa les escaliers. Et Terry partagea non pas un, mais deux biscuits au chocolat avec Charlie avant de le quitter.
– Désolé de t'avoir fait attendre Amaki.
– Tu sais que je déteste attendre, râla Amaki. Ils étaient si bons que cela ses biscuits au chocolat ? ajouta-t-il en se penchant pour goûter les lèvres de Terry.
L'adolescent avait un faible pour la bouche aux lèvres presque bleues car, quand il l'embrassait, il sentait la froideur des lèvres d'Amaki dû à un problème de circulation sanguine fondre comme neige au soleil à son contact.
– On va écouter de la musique ?
– Si on arrive à ma chambre sans se faire repérer, oui, grommela Amaki qui savait parfaitement qu'il pouvait se faire voler l'adolescent à tout moment.
Cela n'arriva pas. Un miracle, voilà ce que c'était ! Amaki referma la porte de sa chambre avec satisfaction. Il lança la musique sur l'ordinateur et bientôt, elle envahit la pièce. Terry devina sans peine avec quelle idée en tête il l'avait composé. La musique était d'abord lente et toute en caresses, puis elle devenait de plus en plus rapide jusqu'à devenir endiablée avant d'atteindre un pic sonore élevé. Elle s'éteignait ensuite doucement. Terry songea que pour Amaki s'était un grand compromis. Il avait du comprendre que pour l'adolescent s'était extrêmement fatiguant de s'accorder au rythme de n'importe quelle musique. Il en avait donc composée une spécialement facilement à suivre pour une partie de jambes en l'air.
– Elle est parfaite pour... commença Terry avant d'être interrompu par des coups violents à la porte
Amaki crut qu'il allait devenir enragé. Il avait passé deux semaines à composer ce morceau pour donner envie à l'adolescent de sauter de suite dans le lit. Et voilà que si près de récolter le fruit de ses efforts, un de ces idiots de frère venait tout gâcher. Il ouvrit en gromelant. Le visage de Mel apparut. Amaki râla intérieurement. C'était bien à Mel qu'il ne pouvait pas mettre un coup de poing dans la gueule. C'était Mel le chef de famille après tout.
– Qu'est-ce que tu veux ? aboya Amaki.
– Voir si Terry était là. Charlie m'a dit qu'il était monté avec toi.
1 commentaire:
MDR J'adôre la cohabitation ^___^ ça promet de sérieuse crises de jalousies XD Merci pour ces deux épisodes ils étaient sensas' et vivement la suite :)
Enregistrer un commentaire