Vic lui rendit son baiser et lui souffla ensuite à l'oreille :
— Faisons l'amour.
Dillon ne demandait que ça. Ils gagnèrent ensemble la chambre, s'embrassant à chaque pas.
Arrivés devant le lit, Vic lui prit les mains, les porta à ses lèvres et plissa le nez.
— Tu sens la javel.
Dillon les retira vivement. Cela lui rappelait de mauvais souvenirs du collège.
— Hé ! Ce n'est pas grave, assura Vic, les reprenant et les caressant dans les siennes. Je ne peux pas prétendre aimer l'odeur, mais j'adore tes mains de fée du logis.
— Vraiment ?
— Oui ! D'ailleurs, au lieu de prendre le tort pour toi, tu aurais dû me reprocher d'être indélicat...
Après ce petit incident, ils se déshabillèrent lentement, chaque pièce de vêtement tombée étant l'occasion d'une caresse et d'un nouveau baiser. Vic se montrait très tendre, comme pour faire oublier sa brutalité des dernières fois. Sa bouche et ses doigts enflammèrent la moindre parcelle de la peau de Dillon.
Longuement, ils se frottèrent l'un contre l'autre, prenant tout leur temps avant de finalement s'unir.
Après la jouissance, Vic se détacha lentement de Dillon, et l'attira contre lui de façon à ce que la tête du jeune homme repose sur son épaule.
— Dillon ?
— Oui ?
— Par rapport à ce que tu as dit tout à l'heure, en fait, je suis ton premier partenaire ?
— Oui...
— Je suis mieux qu'un légume ?
Dillon se redressa, embarrassé. Les yeux de Vic pétillaient d'amusement.
— Vu ta tête, je ne te taquinerai plus sur le sujet, reprit Vic, d'un ton repentant.
— Tu ne me trouves pas dégoûtant ? s'inquiéta Dillon.
— Non, tu as fait avec les moyens du bord. Je te proposerai bien de t'offrir un authentique gode, mais je ne sais pas quand tu trouverais le temps de t'en servir.
— Je n'en veux pas, confirma Dillon.
C'était plus facile d'exprimer un refus, Vic étant de toute façon de son avis.
— Quand ta belle-mère a sorti ça, ce qui m'a dérangé, c'est l'histoire de l'argent qu'elle t'avait donné... Mais nous avons déjà éclairci ce point. Il y a toutefois un dernier truc qui me chiffonne.
— Quoi ?
— Tes chaussures. Elles sont bien trop grandes pour tes adorables pieds. Pourquoi tu n'as pas mis les souliers que je t'ai offert ?
— C'est un peu comme un porte-bonheur. C'est grâce à ses chaussures que nous nous sommes rencontrés.
— Je t'avais déjà aperçu la veille qui traînait comme une âme en peine... Mais c'est vrai que ça été le déclic. Bref, sur ce coup, c'est moi qui ait préféré me taire de peur que tu trouves que je n'ingérais trop.
Dillon se pelotonna à nouveau contre Vic. Cela l'avait plutôt arrangé que ce dernier ne lui pose aucune question à ce sujet, mais à présent, l'heure n'était plus à la superstition...
— Faisons l'amour.
Dillon ne demandait que ça. Ils gagnèrent ensemble la chambre, s'embrassant à chaque pas.
Arrivés devant le lit, Vic lui prit les mains, les porta à ses lèvres et plissa le nez.
— Tu sens la javel.
Dillon les retira vivement. Cela lui rappelait de mauvais souvenirs du collège.
— Hé ! Ce n'est pas grave, assura Vic, les reprenant et les caressant dans les siennes. Je ne peux pas prétendre aimer l'odeur, mais j'adore tes mains de fée du logis.
— Vraiment ?
— Oui ! D'ailleurs, au lieu de prendre le tort pour toi, tu aurais dû me reprocher d'être indélicat...
Après ce petit incident, ils se déshabillèrent lentement, chaque pièce de vêtement tombée étant l'occasion d'une caresse et d'un nouveau baiser. Vic se montrait très tendre, comme pour faire oublier sa brutalité des dernières fois. Sa bouche et ses doigts enflammèrent la moindre parcelle de la peau de Dillon.
Longuement, ils se frottèrent l'un contre l'autre, prenant tout leur temps avant de finalement s'unir.
Après la jouissance, Vic se détacha lentement de Dillon, et l'attira contre lui de façon à ce que la tête du jeune homme repose sur son épaule.
— Dillon ?
— Oui ?
— Par rapport à ce que tu as dit tout à l'heure, en fait, je suis ton premier partenaire ?
— Oui...
— Je suis mieux qu'un légume ?
Dillon se redressa, embarrassé. Les yeux de Vic pétillaient d'amusement.
— Vu ta tête, je ne te taquinerai plus sur le sujet, reprit Vic, d'un ton repentant.
— Tu ne me trouves pas dégoûtant ? s'inquiéta Dillon.
— Non, tu as fait avec les moyens du bord. Je te proposerai bien de t'offrir un authentique gode, mais je ne sais pas quand tu trouverais le temps de t'en servir.
— Je n'en veux pas, confirma Dillon.
C'était plus facile d'exprimer un refus, Vic étant de toute façon de son avis.
— Quand ta belle-mère a sorti ça, ce qui m'a dérangé, c'est l'histoire de l'argent qu'elle t'avait donné... Mais nous avons déjà éclairci ce point. Il y a toutefois un dernier truc qui me chiffonne.
— Quoi ?
— Tes chaussures. Elles sont bien trop grandes pour tes adorables pieds. Pourquoi tu n'as pas mis les souliers que je t'ai offert ?
— C'est un peu comme un porte-bonheur. C'est grâce à ses chaussures que nous nous sommes rencontrés.
— Je t'avais déjà aperçu la veille qui traînait comme une âme en peine... Mais c'est vrai que ça été le déclic. Bref, sur ce coup, c'est moi qui ait préféré me taire de peur que tu trouves que je n'ingérais trop.
Dillon se pelotonna à nouveau contre Vic. Cela l'avait plutôt arrangé que ce dernier ne lui pose aucune question à ce sujet, mais à présent, l'heure n'était plus à la superstition...
3 commentaires:
Merci pour l'épisode du jour, j'adore les réconciliations sur l'oreiller XD
Vivement la suite mais en attendant passe un bon week-end ^__^
Suite et fin mardi ! Et après, on enchaîne sur un Sauvetage silencieux.
J,aime tes histoires. Un peu de detente avant le travail. Merci
Enregistrer un commentaire