Vic fit passer Dillon au salon et l'incita à s'asseoir sur un grand canapé blanc en coin flanqué de deux tables basses au plateau de verre. Là, il commanda, puis déboucha le champagne qu'il leur servit dans deux flûtes.
— A ton installation !
Dillon trinqua avec lui, porta le verre à ses lèvres et but pour la première fois de sa vie du champagne. Même au nouvel an, Vivianne ne lui en avait jamais versé. Le goût piquant le fit grimacer.
— Tu n'aimes pas ça ?
— Désolé.
— Non, j'aurais dû te demander avant...
— Je n'en avais jamais goûté.
— Oh... Tu n'as vraiment pas l'air d'avoir eu une vie très agréable jusque là, déclara Vic et, lui, reprenant la flûte, il la termina à sa place.
Après l'avoir posée sur la table, à côté de la sienne, il poursuivit :
— Et si tu m'en racontais plus sur toi ?
— Il n'y a pas grand chose à dire, nous ferions mieux de parler de toi.
Dillon avait peur d'ennuyer son hôte avec ses histoires de ménage...
— Moi ? J'ai eu une enfance voyageuse. Mon père était toujours en déplacement pour ses affaires et ma mère et moi, nous étions ses bagages. Mes parents ne se sont posés qu'à la naissance de ma sœur, neuf ans après moi. Un sacré écart. J'ai été mis dans des écoles privées pleines de règles, ce qui a été dur après des années en nomades. Je ne me suis cependant rebellé qu'au lycée au sujet de ma sexualité. Comme tu sais déjà, cela s'est bien terminé grâce à mon oncle Jim. Après, j'ai fait une école d'informatique, puis de management et j'ai monté ma propre boîte avec des fonds prêtés par mon père que je lui ai remboursé depuis longtemps, les intérêts compris.
Le repas fut livré et Vic tenta de réorienter la conversation sur Dillon qui se débrouilla pour la ramener sur son interlocuteur. Tout ce dont il savait parler ou presque, c'était de cuisine ou de ménage. Ou de ses cours d'université. Rien de passionnant quoi. Il n'était pas quelqu'un d'intéressant et Vic était bien le premier à lui trouver quelque chose... Pas question de gâcher cela !
Le repas achevé, il ne fut heureusement plus question de bavarder. Vic le conduisit dans la chambre. Entre deux baisers, ils ôtèrent leurs costumes et chaussures. Dillon put découvrir le corps musclé de Vic. Comme le jeune homme passait la main sur les abdominaux bien tracés, Vic précisa qu'il se rendait à la gym une fois par semaine.
— C'est impressionnant, déclara Dillon.
— Et excitant, aussi, à priori, répliqua Vic en attrapant le membre dressé du jeune homme.
Il le caressa, puis l'invita à s'étendre sur le lit devant lesquels ils étaient restés debout. Dillon ne se le fit pas dire deux fois.
— Quel empressement ! s'amusa Vic en venant se mettre au dessus de lui.
L'un après l'autre, il suça les tétons de Dillon qui gémit.
— A ton installation !
Dillon trinqua avec lui, porta le verre à ses lèvres et but pour la première fois de sa vie du champagne. Même au nouvel an, Vivianne ne lui en avait jamais versé. Le goût piquant le fit grimacer.
— Tu n'aimes pas ça ?
— Désolé.
— Non, j'aurais dû te demander avant...
— Je n'en avais jamais goûté.
— Oh... Tu n'as vraiment pas l'air d'avoir eu une vie très agréable jusque là, déclara Vic et, lui, reprenant la flûte, il la termina à sa place.
Après l'avoir posée sur la table, à côté de la sienne, il poursuivit :
— Et si tu m'en racontais plus sur toi ?
— Il n'y a pas grand chose à dire, nous ferions mieux de parler de toi.
Dillon avait peur d'ennuyer son hôte avec ses histoires de ménage...
— Moi ? J'ai eu une enfance voyageuse. Mon père était toujours en déplacement pour ses affaires et ma mère et moi, nous étions ses bagages. Mes parents ne se sont posés qu'à la naissance de ma sœur, neuf ans après moi. Un sacré écart. J'ai été mis dans des écoles privées pleines de règles, ce qui a été dur après des années en nomades. Je ne me suis cependant rebellé qu'au lycée au sujet de ma sexualité. Comme tu sais déjà, cela s'est bien terminé grâce à mon oncle Jim. Après, j'ai fait une école d'informatique, puis de management et j'ai monté ma propre boîte avec des fonds prêtés par mon père que je lui ai remboursé depuis longtemps, les intérêts compris.
Le repas fut livré et Vic tenta de réorienter la conversation sur Dillon qui se débrouilla pour la ramener sur son interlocuteur. Tout ce dont il savait parler ou presque, c'était de cuisine ou de ménage. Ou de ses cours d'université. Rien de passionnant quoi. Il n'était pas quelqu'un d'intéressant et Vic était bien le premier à lui trouver quelque chose... Pas question de gâcher cela !
Le repas achevé, il ne fut heureusement plus question de bavarder. Vic le conduisit dans la chambre. Entre deux baisers, ils ôtèrent leurs costumes et chaussures. Dillon put découvrir le corps musclé de Vic. Comme le jeune homme passait la main sur les abdominaux bien tracés, Vic précisa qu'il se rendait à la gym une fois par semaine.
— C'est impressionnant, déclara Dillon.
— Et excitant, aussi, à priori, répliqua Vic en attrapant le membre dressé du jeune homme.
Il le caressa, puis l'invita à s'étendre sur le lit devant lesquels ils étaient restés debout. Dillon ne se le fit pas dire deux fois.
— Quel empressement ! s'amusa Vic en venant se mettre au dessus de lui.
L'un après l'autre, il suça les tétons de Dillon qui gémit.
4 commentaires:
Merci pour cet épisode,je me suis bien marrée en pensant à Vic terminant le champagne de Dillon (alcoolique en plus lol)
Je suis contente qu'on en sache plus sur Vic aussi (1 soeur j'espère qu'on la verra un jour) vivement la suite XD
Je ne promets rien pour la sœur de Vic...
Contente que cela te plaise toujours. :)
C'est bien d'en apprendre plus sur vic :) vivement le prochain chapitre !
Dillon mérite un peu de bonheur et je suis contente qu'il puisse enfin y goûter :)
Cassie.
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