– Scott est très gentil. Il faut juste qu'il s'habitue à toi.
Après bien des essais, Al parvint à poser la main sur la tête du chien sans que celui-ci ne s'énerve. Entretemps, Beckett et son labrador avaient eu le droit à bon nombre de regards intrigués. Heureusement, les gens pouvaient toujours s'imaginer que l'adolescent dressait son chien.
« L'opération séduction » terminée, ils marchèrent un moment afin que le labrador se dégourdisse les pattes. Le jeune homme invisible n'osa pas se plaindre de la fraîcheur de l'air, mais il fut content quand ils rentrèrent enfin. La mère de Beckett rejoignit de suite l'adolescent dans l'entrée. Elle était inquiète, car elle trouvait que ce dernier avait une attitude étrange depuis qu'il était revenu de chez son copain. Comme Beckett restait silencieux, elle renonça à le questionner, et conclut que cela devait être dû au fait que les plans de l'adolescent avaient été chamboulés. Beckett lui donna raison et se dépêcha de gagner sa chambre où il alluma la radio. Al avoua qu'il s'était refroidi dehors et l'adolescent voulut fouiller son placard pour lui prêter des vêtements, mais le jeune homme invisible l'en empêcha. Des habits flottants au milieu de la pièce risquaient d'être difficiles à expliquer, si un membre de la famille débarquait sans crier gare.
Beckett ouvrit alors les bras en grand et lui suggéra de venir se coller à lui pour se réchauffer, ce que fit Al sans tarder. Il en profita pour s'emparer de la bouche de l'adolescent. C'était si bon de l'embrasser, surtout qu'avec tout ce qui s'était passé depuis midi, il n'avait pour ainsi dire pas eu l'occasion de le faire. Leurs langues se mêlèrent en un amoureux ballet.
Al savoura longuement les lèvres de Beckett, avant de s'écarter, en regrettant qu'il n'y ait pas de verrou à la porte de la chambre. S'il y en avait eu un, ils auraient pu faire l'amour sans crainte d'être interrompus...
Quand l'heure du dîner arriva, le jeune homme invisible préféra rester attendre dans la chambre. Scott ne ferait normalement plus d'histoires, mais regarder les autres manger la faim au ventre n'était guère enthousiasmant. Beckett remonta à peine vingt minutes plus tard, et sortit d'un air triomphal de sous son sweat-shirt une boîte de conserve de maïs et une fourchette.
Vint l'heure du coucher. Se caser à deux dans le lit de Beckett se révéla délicat. Ils étaient obligés d'être à moitié l'un sur l'autre, jambes entremêlées. Cependant, l'excitation les gagnant, ils perdirent de vue l'aspect inconfortable.
Après bien des essais, Al parvint à poser la main sur la tête du chien sans que celui-ci ne s'énerve. Entretemps, Beckett et son labrador avaient eu le droit à bon nombre de regards intrigués. Heureusement, les gens pouvaient toujours s'imaginer que l'adolescent dressait son chien.
« L'opération séduction » terminée, ils marchèrent un moment afin que le labrador se dégourdisse les pattes. Le jeune homme invisible n'osa pas se plaindre de la fraîcheur de l'air, mais il fut content quand ils rentrèrent enfin. La mère de Beckett rejoignit de suite l'adolescent dans l'entrée. Elle était inquiète, car elle trouvait que ce dernier avait une attitude étrange depuis qu'il était revenu de chez son copain. Comme Beckett restait silencieux, elle renonça à le questionner, et conclut que cela devait être dû au fait que les plans de l'adolescent avaient été chamboulés. Beckett lui donna raison et se dépêcha de gagner sa chambre où il alluma la radio. Al avoua qu'il s'était refroidi dehors et l'adolescent voulut fouiller son placard pour lui prêter des vêtements, mais le jeune homme invisible l'en empêcha. Des habits flottants au milieu de la pièce risquaient d'être difficiles à expliquer, si un membre de la famille débarquait sans crier gare.
Beckett ouvrit alors les bras en grand et lui suggéra de venir se coller à lui pour se réchauffer, ce que fit Al sans tarder. Il en profita pour s'emparer de la bouche de l'adolescent. C'était si bon de l'embrasser, surtout qu'avec tout ce qui s'était passé depuis midi, il n'avait pour ainsi dire pas eu l'occasion de le faire. Leurs langues se mêlèrent en un amoureux ballet.
Al savoura longuement les lèvres de Beckett, avant de s'écarter, en regrettant qu'il n'y ait pas de verrou à la porte de la chambre. S'il y en avait eu un, ils auraient pu faire l'amour sans crainte d'être interrompus...
Quand l'heure du dîner arriva, le jeune homme invisible préféra rester attendre dans la chambre. Scott ne ferait normalement plus d'histoires, mais regarder les autres manger la faim au ventre n'était guère enthousiasmant. Beckett remonta à peine vingt minutes plus tard, et sortit d'un air triomphal de sous son sweat-shirt une boîte de conserve de maïs et une fourchette.
Vint l'heure du coucher. Se caser à deux dans le lit de Beckett se révéla délicat. Ils étaient obligés d'être à moitié l'un sur l'autre, jambes entremêlées. Cependant, l'excitation les gagnant, ils perdirent de vue l'aspect inconfortable.
2 commentaires:
C est super excitant !!
Merci pour cet episode....
Al et Scott qui ont fait amis-amis cool moins de risque de se faire découvrir comme çà ^____^
Merci pour l'épisode, la cohabitation entre nos deux amoureux promet encore bien des surprises, en plus partager un lit 1 personne à 2 c'est pas terrible lol
Vivement la suite :D
Enregistrer un commentaire