Samedi revint sans que Maud n'ait fait une nouvelle apparition et sans que Al ait réussi à dénouer la situation entre lui et Beckett. Ils pouvaient désormais sérieusement espérer qu'elle ait renoncé à se venger de sa déconvenue. L'un dans l'autre, ils passèrent une bonne journée, mais toujours sur un mode amical.
Quand vint le moment de se coucher, ils s'allongèrent chacun de leur côté, Al tout nu, Beckett en slip, comme la dernière fois. Juste avant que Al n'éteigne, l'adolescent alla même jusqu'à tourner le dos au jeune homme invisible. Il fallait qu'ils discutent, il le fallait. Al avança la main vers l'épaule de Beckett, puis renonçant une fois de plus, de peur d'aggraver les choses, il plongea la pièce dans l'obscurité. Ils se souhaitèrent bonne nuit, mais Al garda les yeux grand ouverts. Dieu sait qu'il aurait aimé enlacer Beckett. C'était douloureux d'être à la fois si proche et si loin. La nuit allait être longue, se dit Al, en regardant s'égener les minutes du réveil projeté au plafond.
Soudain, comme un éclair déchirant le ciel, la voix de Beckett rompit le silence :
– Pourquoi tu n'essaies plus de m'embrasser ou de me caresser, hein ? C'est parce que je te dégoûte depuis l'histoire avec Maud, c'est ça ?
Pris au dépourvu par ce brusque éclat, Al, avec un temps de retard, se tourna sur le côté et voulut attirer l'adolescent dans ses bras, mais celui-ci se dégagea aussi sec.
– Je ne veux pas que tu le fasses juste parce que je te le demande.
Al expliqua ce qui l'avait retenu jusque là, les mots se bousculant dans sa bouche dans son empressement à clarifier les choses. Beckett vint alors de lui-même coller son dos contre le torse du jeune homme invisible.
– Tu ne m'en veux vraiment pas de vous avoir confondu ? De l'avoir laissé faire ?
Al serra Beckett fort contre lui.
– Ce n'est pas ta faute, assura-t-il d'une voix rauque.
Dans la position où ils étaient, les fesses de Beckett se trouvaient juste contre son sexe. La mince couche de tissu du slip de l'adolescent n'empêchait pas Al d'en sentir la chaleur et la fermeté. Et, dans ses conditions, Beckett ne pouvait non plus manquer l'érection grandissante du jeune homme invisible.
Al osa se frotter contre Beckett, les lèvres enfouies dans le cou de l'adolescent. Sa main descendit ensuite jusqu'au pénis de Beckett, et il le caressa par dessus l'étoffe. L'adolescent se mit à remuer les hanches. Al fit glisser le slip le long des cuisses et continua à bouger son membre contre la raie des fesses de Beckett, sans cesser de le caresser.
C'était enivrant, mais Al désirait être encore plus près, il brûlait de s'enfoncer dans la moiteur de l'adolescent.
Quand vint le moment de se coucher, ils s'allongèrent chacun de leur côté, Al tout nu, Beckett en slip, comme la dernière fois. Juste avant que Al n'éteigne, l'adolescent alla même jusqu'à tourner le dos au jeune homme invisible. Il fallait qu'ils discutent, il le fallait. Al avança la main vers l'épaule de Beckett, puis renonçant une fois de plus, de peur d'aggraver les choses, il plongea la pièce dans l'obscurité. Ils se souhaitèrent bonne nuit, mais Al garda les yeux grand ouverts. Dieu sait qu'il aurait aimé enlacer Beckett. C'était douloureux d'être à la fois si proche et si loin. La nuit allait être longue, se dit Al, en regardant s'égener les minutes du réveil projeté au plafond.
Soudain, comme un éclair déchirant le ciel, la voix de Beckett rompit le silence :
– Pourquoi tu n'essaies plus de m'embrasser ou de me caresser, hein ? C'est parce que je te dégoûte depuis l'histoire avec Maud, c'est ça ?
Pris au dépourvu par ce brusque éclat, Al, avec un temps de retard, se tourna sur le côté et voulut attirer l'adolescent dans ses bras, mais celui-ci se dégagea aussi sec.
– Je ne veux pas que tu le fasses juste parce que je te le demande.
Al expliqua ce qui l'avait retenu jusque là, les mots se bousculant dans sa bouche dans son empressement à clarifier les choses. Beckett vint alors de lui-même coller son dos contre le torse du jeune homme invisible.
– Tu ne m'en veux vraiment pas de vous avoir confondu ? De l'avoir laissé faire ?
Al serra Beckett fort contre lui.
– Ce n'est pas ta faute, assura-t-il d'une voix rauque.
Dans la position où ils étaient, les fesses de Beckett se trouvaient juste contre son sexe. La mince couche de tissu du slip de l'adolescent n'empêchait pas Al d'en sentir la chaleur et la fermeté. Et, dans ses conditions, Beckett ne pouvait non plus manquer l'érection grandissante du jeune homme invisible.
Al osa se frotter contre Beckett, les lèvres enfouies dans le cou de l'adolescent. Sa main descendit ensuite jusqu'au pénis de Beckett, et il le caressa par dessus l'étoffe. L'adolescent se mit à remuer les hanches. Al fit glisser le slip le long des cuisses et continua à bouger son membre contre la raie des fesses de Beckett, sans cesser de le caresser.
C'était enivrant, mais Al désirait être encore plus près, il brûlait de s'enfoncer dans la moiteur de l'adolescent.
6 commentaires:
Hourra !!!
Ils se sont enfin reconcilies grace a Beckett une fois de plus.
Al aurait en faite du se laisser aller a ses instincts !
J adore !!
Merci pour cet episode il a remonte le moral de cette journee a bloc !!!
Mama mia ! après ce long mois de vacances, revenir sur ton histoire et voir tout c'est chapitres c'est... *q*...
quoiqu'il en soit, merci pour cet ( ces ) épisode(s) et bon courage pour la suite !
Vu que j'étais pas là hier c'est avec plaisir ce matin que je retrouve nos tourtereaux réconciliés ^___^
Décidément Beckett arrange toujours les choses lol
Merci pour l'épisode c'est toujours un réel plaisir de te lire
Vivement la suite :D
Youpi enfin réconcilié =D Je commençais à m'inquiéter pour notre couple quand même. ^^
Surtout qu'avec ce chapitre eh bien ... J'ai encore plus envie de lire la suite *q*
Merci encore pour cet épisode =D
Ils n'étaient pas vraiment fâchés. Juste un problème de communication.
Sinon, ça y est la suite est postée. :)
Wiiii!!! \O/ Réconciliation enfin! Ils sont trop choux en fait à pas se comprendre à chaque fois! xD
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