Le baiser dura et se répéta encore et encore jusqu'à ce que Al sente contre sa cuisse la preuve que Beckett était mûr pour une nouvelle tentative. Quand il glissa un doigt enduit de lubrifiant dans l'adolescent, c'est à peine si ce dernier se crispa. Tout en le doigtant, Al caressa la peau chaude de Beckett de son autre main. Il eut quelque peine à enfiler le préservatif en l'absence de lumière et faute d'expérience, mais il y parvint malgré tout. Il pressa son gland contre l'anus de Beckett, et au deuxième coup d'essai, entra, arrachant un cri à l'adolescent. Le jeune homme invisible se figea.
– Ça fait mal ?
– C'est... surprenant.
Al s'enfonça davantage. Il était délicieusement enserré. Il se mit à bouger et la respiration de Beckett s'accéléra. Le plaisir montait. Le jeune homme invisible allait et venait, pénétrant tout au fond Beckett qui haletait et gémissait. Plus rien n'avait d'importance hormis leurs corps emmêlés et leurs souffles enfièvrés. C'était l'extase et ils jouirent ensemble. Tout pantelant, Al se retira de Beckett avant de s'écraser sur lui.
– Tu pèses ton poids.
Al était trop bien allongé sur l'adolescent, aussi il ne se déplaça pas pour autant. Beckett passa alors une main caressante sur son dos, preuve qu'en dépit de sa remarque, il ne détestait pas ça.
Au bout d'un long moment, Al finit tout de même par se mettre sur le côté. Ils ne pouvaient pas s'endormir comme ça. Un toilettage sommaire s'imposait. Le jeune homme invisible appuya sur le bouton de la lampe et cligna des yeux devant ce soudain retour à la lumière. Beckett était étendu, les jambes ouvertes, le torse maculé de sperme, ses yeux anthracites tout brillant. Cela donnait envie de le reprendre là, sur le champ. Seulement, cela n'aurait pas été raisonnable.
– Je crois que je ne vais pas avoir la force de me lever.
A cet aveu de l'adolescent, Al lui posa une boîte mouchoirs à porté de main avant de s'occuper d'enlever son préservatif usagé. Il sentait que Beckett était gêné, comme la première fois où ils s'étaient intimement caressés. Mais le jeune homme invisible était sûr que petit à petit, il ne serait plus si embarrassé. Cela deviendrait naturel, le rapport sexuel, comme l'après et un jour, ils feraient l'amour dans une pièce éclairée... En attendant, cela avait été une expérience grisante et réussie qui allait être courronnée par la joie de dormir enlacés dans le même lit.
– Ça fait mal ?
– C'est... surprenant.
Al s'enfonça davantage. Il était délicieusement enserré. Il se mit à bouger et la respiration de Beckett s'accéléra. Le plaisir montait. Le jeune homme invisible allait et venait, pénétrant tout au fond Beckett qui haletait et gémissait. Plus rien n'avait d'importance hormis leurs corps emmêlés et leurs souffles enfièvrés. C'était l'extase et ils jouirent ensemble. Tout pantelant, Al se retira de Beckett avant de s'écraser sur lui.
– Tu pèses ton poids.
Al était trop bien allongé sur l'adolescent, aussi il ne se déplaça pas pour autant. Beckett passa alors une main caressante sur son dos, preuve qu'en dépit de sa remarque, il ne détestait pas ça.
Au bout d'un long moment, Al finit tout de même par se mettre sur le côté. Ils ne pouvaient pas s'endormir comme ça. Un toilettage sommaire s'imposait. Le jeune homme invisible appuya sur le bouton de la lampe et cligna des yeux devant ce soudain retour à la lumière. Beckett était étendu, les jambes ouvertes, le torse maculé de sperme, ses yeux anthracites tout brillant. Cela donnait envie de le reprendre là, sur le champ. Seulement, cela n'aurait pas été raisonnable.
– Je crois que je ne vais pas avoir la force de me lever.
A cet aveu de l'adolescent, Al lui posa une boîte mouchoirs à porté de main avant de s'occuper d'enlever son préservatif usagé. Il sentait que Beckett était gêné, comme la première fois où ils s'étaient intimement caressés. Mais le jeune homme invisible était sûr que petit à petit, il ne serait plus si embarrassé. Cela deviendrait naturel, le rapport sexuel, comme l'après et un jour, ils feraient l'amour dans une pièce éclairée... En attendant, cela avait été une expérience grisante et réussie qui allait être courronnée par la joie de dormir enlacés dans le même lit.
Le lendemain matin, Al fut réveillé par un grognement de Beckett. L'adolescent se tenait debout, tout près du bord du lit, une main sur le bas de son dos, offrant dans la semi-obscurité une vision charmante.
– Ça ne va pas ?
Avec une extrême lenteur, Beckett pivota vers lui.
– Désolé d'avoir troublé ton sommeil. J'ai super mal aux reins...
– C'est plutôt à moi d'être désolé alors.
– Hein ? Pourquoi ?
– Parce que je ne t'ai pas ménagé hier en te faisant l'amour.
– Oh ! Oh.
Beckett était d'une candeur incroyable dès fois quand même. Toujours est-il que s'unir à lui aujourd'hui semblait compromis, mais il pourrait l'embrasser tout son soul, et peut-être même un peu plus.
4 commentaires:
Whaou ça c'est une sacré scène d'amour \^o^/
Merci pour l'épisode, nos deux tourtereaux ont enfin franchi un cap dans leur relation :)
J'espère que leur amour durera ^^ vivement la suite :D
Woaw !!!
Sa c etait une scene intense !!
On aurait dis assister a la scene meme dans le noir. :-)
Ils sont passe a la vitesse superieur.
Que va t il leur arriver par la suite ? J ai trop envie de savoir.
Merci pour cet episode super enivrant.
Enfin ils ont passés le cap! J'ai adoré comme tu raconte la scène. Moi je trouve qu'ils sont assez à l'aise au final!
Merci encore de posté régulièrement tes histoires! C'est tellement un bonheur de te lire!
Bisous!
Je suis contente que vous ayez trouvé la scène d'amour réussie. J'ai essayé de faire différent de d'habitude.
Sinon, ce n'est pas toujours facile de poster régulièrement, mais vos commentaires motivent à garder le rythme. :)
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