– Merci.
– Je doute que ce soit Hanami qui t'aie fait ça. Alors lequel de nous a été une brute ? Vu que je peux également m'exclure du lot... Hum Kanato, non. William, non. Qui ?
– Ben. Un de ces romans nécessitait... enfin, bref, voilà le résultat.
– Il ne te fait quasiment jamais mal, lui. Ce n'est pas comme Matsuka avec ses joujoux.
Terry rougit légèrement. Tsumi était celui qui parlait le plus ouvertement du fait qu'il soit l'amoureux de ses onze frères, en plus de lui-même.
– Je ne te dérange pas au moins, Tsu ?
– Pas le moins du monde. J'ai fini de changer les cages des bêtes il y a une heure déjà, et soignés tout ce petit monde. Déshabille-toi complètement histoire que je profite du spectacle et allonge-toi sur lit d'examen.
Tsumi en avait un dans sa chambre, en plus de son vrai lit. Terry se demanda brièvement s'il ne ferait pas mieux de se balader tout nu chez les Tsukoji. Il obtempéra néanmoins sans protester. Il fut heureux de voir que Tsumi le regardait avec un intérêt passionné. Parfois il s'inquiétait de ne plus plaire à l'un ou l'autre des frères Tsukoji. Tsumi désinfecta avec beaucoup de douceur les blessures et passa de la crème sur ses poignets.
– Besoin d'un baume pour ton anus ? demanda crûment Tsumi.
– Tout va bien de ce côté, balbutia Terry.
– Dans tous les cas, je vais rapporter du lubrifiant à tout le monde... J'ai le droit à une petite récompense, n'est-ce pas ? ajouta Tsumi de ce ton qu'il prenait quand il ne voulait pas qu'on discute avec lui.
Terry n'y tenait pas d'ailleurs.
– Oui, murmura-t-il.
Tsumi fit courir ses mains sur sa peau. Il commença par les pieds, remonta sur les chevilles, puis le long de sa jambe jusqu'au creux des genoux où il s'attarda. Ensuite, il caressa ses cuisses, et mettant ses mains en coupe, il accorda tout son attention au sexe de Terry.
– Tsu... gémit l'adolescent, la voix rauque.
Tsumi remonta encore les mains : les hanches, le bas-ventre, le ventre, la poitrine, les tétons, les épaules, le cou, le visage. Ses mains de magiciens parcoururent le chemin inverse, glissant cette fois des épaules aux bras, aux poignets, aux mains. Terry attrapa les mains de Tsumi et les serra désireux de l'attirer à lui, mais celui-ci se dégagea et reprit son exploration jusqu'à ce que l'adolescent n'en puisse plus et qu'il éjacule. Tsumi glissa seulement à ce moment-là sa langue entre les lèvres de Terry le bâillonnant d'un profond baiser. Il le libéra et poussa un soupir. Pourquoi diable fallait-il que le seul être au monde a lui avoir donné envie de passer ses journées à faire l'amour, soit le seul à qui il ne pouvait faire l'amour sans cesse... Tsumi savait bien que un ou deux de ces frères craqueraient aujourd'hui. Lui en tant qu'aîné devait se maîtriser.
– Tsu, et toi ? demanda l'adolescent la voix toujours rauque.
Tsumi apprécia beaucoup qu'il s'enquiert de sa propre satisfaction sexuelle. Il pouvait se maîtriser s'il était le seul à toucher Terry, mais si ce dernier se mettait à lui prodiguer des caresses, il risquait de ne plus pouvoir répondre de rien.
– Moi, je suis satisfait.
Frustré plutôt, mais heureux tout de même d'avoir pu le caresser, s'avoua Tsumi en lui-même. L'adolescent eut bien envie de rétorquer qu'il n'avait pas l'air comblé, mais se ravisa. L'heure filait, la fin de ce beau dimanche après-midi arrivait et il ne devrait pas tarder à rentrer chez ses parents. Et Mika ne lui avait pas fait l'amour depuis une semaine et demie... autant dire une éternité pour cet insatiable et adorable géant. Sans oublier qu'il voulait également passer un moment avec Hanami.
– Je doute que ce soit Hanami qui t'aie fait ça. Alors lequel de nous a été une brute ? Vu que je peux également m'exclure du lot... Hum Kanato, non. William, non. Qui ?
– Ben. Un de ces romans nécessitait... enfin, bref, voilà le résultat.
– Il ne te fait quasiment jamais mal, lui. Ce n'est pas comme Matsuka avec ses joujoux.
Terry rougit légèrement. Tsumi était celui qui parlait le plus ouvertement du fait qu'il soit l'amoureux de ses onze frères, en plus de lui-même.
– Je ne te dérange pas au moins, Tsu ?
– Pas le moins du monde. J'ai fini de changer les cages des bêtes il y a une heure déjà, et soignés tout ce petit monde. Déshabille-toi complètement histoire que je profite du spectacle et allonge-toi sur lit d'examen.
Tsumi en avait un dans sa chambre, en plus de son vrai lit. Terry se demanda brièvement s'il ne ferait pas mieux de se balader tout nu chez les Tsukoji. Il obtempéra néanmoins sans protester. Il fut heureux de voir que Tsumi le regardait avec un intérêt passionné. Parfois il s'inquiétait de ne plus plaire à l'un ou l'autre des frères Tsukoji. Tsumi désinfecta avec beaucoup de douceur les blessures et passa de la crème sur ses poignets.
– Besoin d'un baume pour ton anus ? demanda crûment Tsumi.
– Tout va bien de ce côté, balbutia Terry.
– Dans tous les cas, je vais rapporter du lubrifiant à tout le monde... J'ai le droit à une petite récompense, n'est-ce pas ? ajouta Tsumi de ce ton qu'il prenait quand il ne voulait pas qu'on discute avec lui.
Terry n'y tenait pas d'ailleurs.
– Oui, murmura-t-il.
Tsumi fit courir ses mains sur sa peau. Il commença par les pieds, remonta sur les chevilles, puis le long de sa jambe jusqu'au creux des genoux où il s'attarda. Ensuite, il caressa ses cuisses, et mettant ses mains en coupe, il accorda tout son attention au sexe de Terry.
– Tsu... gémit l'adolescent, la voix rauque.
Tsumi remonta encore les mains : les hanches, le bas-ventre, le ventre, la poitrine, les tétons, les épaules, le cou, le visage. Ses mains de magiciens parcoururent le chemin inverse, glissant cette fois des épaules aux bras, aux poignets, aux mains. Terry attrapa les mains de Tsumi et les serra désireux de l'attirer à lui, mais celui-ci se dégagea et reprit son exploration jusqu'à ce que l'adolescent n'en puisse plus et qu'il éjacule. Tsumi glissa seulement à ce moment-là sa langue entre les lèvres de Terry le bâillonnant d'un profond baiser. Il le libéra et poussa un soupir. Pourquoi diable fallait-il que le seul être au monde a lui avoir donné envie de passer ses journées à faire l'amour, soit le seul à qui il ne pouvait faire l'amour sans cesse... Tsumi savait bien que un ou deux de ces frères craqueraient aujourd'hui. Lui en tant qu'aîné devait se maîtriser.
– Tsu, et toi ? demanda l'adolescent la voix toujours rauque.
Tsumi apprécia beaucoup qu'il s'enquiert de sa propre satisfaction sexuelle. Il pouvait se maîtriser s'il était le seul à toucher Terry, mais si ce dernier se mettait à lui prodiguer des caresses, il risquait de ne plus pouvoir répondre de rien.
– Moi, je suis satisfait.
Frustré plutôt, mais heureux tout de même d'avoir pu le caresser, s'avoua Tsumi en lui-même. L'adolescent eut bien envie de rétorquer qu'il n'avait pas l'air comblé, mais se ravisa. L'heure filait, la fin de ce beau dimanche après-midi arrivait et il ne devrait pas tarder à rentrer chez ses parents. Et Mika ne lui avait pas fait l'amour depuis une semaine et demie... autant dire une éternité pour cet insatiable et adorable géant. Sans oublier qu'il voulait également passer un moment avec Hanami.
2 commentaires:
Ben dis donc mine de rien il a un sacré planning notre Terry lol Le pauvre comment combler tout ces beaux mâles avec des journées de 24h :)
Je ne suis pas sûre que Terry soit vraiment à plaindre. Mais c'est sûr qu'il a un emploi du temps très chargé. :oD
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