– Tu ne crois pas que nous allions te laisser rentrer seul avec mon précieux mini car ! s’exclama Matsuka.
– Ou que tu allais pouvoir voler Terry tranquillement ! s'écria Mika d’une voix indignée.
– Je croyais que nous étions tous mis d’accord pour rester jusqu’à ce que Ben nous appelle, intervint calmement Tsumi.
– J'en avais assez d'attendre, déclara Hanami.
– Exa-ctem-ent ! approuva Yuriko.
– La décision avait été pris de façon un peu hâtive. Régler directement les choses avec Terry est mieux, ajouta William.
– Perdre des jours avec cette histoire…Tch. Aussi bien des jours de congés que des jours avec Terry. Stupide, parfaitement stupide, grommela Charlie.
– S’ils ne filent pas le parfait amour sans nous depuis notre absence, ce ne sera sans doute jamais de toute façon, affirma violemment Roland.
Les voix volaient dans tout les sens. Les protestations fusaient. Seul Kanato ne disait rien, comme à son habitude. Ben avait rejoint Terry et regardait également la scène avec intérêt. Il souriait quand l’un ou l’autre de ses frères disait son prénom pour critiquer ou justifier le retour à la maison. Kanato qui ne participait pas au débat fut le premier à remarquer Terry et Ben assis sur les marches. D’un geste souple, il vint s’asseoir à côté de Terry et avec la plus parfaite indifférence pour Ben, il passa un bras autour de la taille de Terry, puis posa la tête sur l’épaule de l’adolescent.
– Terry, murmura-t-il avec contentement en se frottant contre ce dernier.
Terry dégagea son épaule doucement, regarda amoureusement Kanato avant de fermer les yeux. Comme de coutume, les lèvres de Kanato se déposèrent délicatement sur les paupières fermées. Quand Terry rouvrit les yeux, les Tsukoji au grand complet étaient accroupis au pied de l’escalier. Terry hésita un instant quant à l’attitude à adopter. Finalement, il se redressa, et pour une fois plus grand qu’eux, perché sur les marches de l'escalier, il prit conscience du pouvoir qu’il avait sur ces hommes.
– Bandes d’idiots ! Ben m’a tout dit ! Non, mais qu’est-ce que vous vous imaginez ! Je vous aime ! Je vous aime tous ! Je me suis fait du soucis pour vous ! Je ne veux être loin d’aucun de vous ! Idiots…
Le discours qui avait été commencé avec colère se termina dans l'émotion. Ils étaient tous là. Les Tsukoji s’étaient relevés et tous tentèrent d’enlacer en même temps Terry, ce qui donna lieu à une belle pagaille. Terry était ballotté sans ménagement d’une paire de bras à l’autre, mais il était heureux. Quand les choses se furent un peu calmé, Terry les embrassa passionnément à tour de rôle, renouvelant dans un murmure son amour pour chacun. La crise était passée, mais ce n'était sans doute pas la dernière. Malgré tout, Terry était devenu un nouveau lien qui réunissait les Tsukoji, le cœur de la famille.
– Ou que tu allais pouvoir voler Terry tranquillement ! s'écria Mika d’une voix indignée.
– Je croyais que nous étions tous mis d’accord pour rester jusqu’à ce que Ben nous appelle, intervint calmement Tsumi.
– J'en avais assez d'attendre, déclara Hanami.
– Exa-ctem-ent ! approuva Yuriko.
– La décision avait été pris de façon un peu hâtive. Régler directement les choses avec Terry est mieux, ajouta William.
– Perdre des jours avec cette histoire…Tch. Aussi bien des jours de congés que des jours avec Terry. Stupide, parfaitement stupide, grommela Charlie.
– S’ils ne filent pas le parfait amour sans nous depuis notre absence, ce ne sera sans doute jamais de toute façon, affirma violemment Roland.
Les voix volaient dans tout les sens. Les protestations fusaient. Seul Kanato ne disait rien, comme à son habitude. Ben avait rejoint Terry et regardait également la scène avec intérêt. Il souriait quand l’un ou l’autre de ses frères disait son prénom pour critiquer ou justifier le retour à la maison. Kanato qui ne participait pas au débat fut le premier à remarquer Terry et Ben assis sur les marches. D’un geste souple, il vint s’asseoir à côté de Terry et avec la plus parfaite indifférence pour Ben, il passa un bras autour de la taille de Terry, puis posa la tête sur l’épaule de l’adolescent.
– Terry, murmura-t-il avec contentement en se frottant contre ce dernier.
Terry dégagea son épaule doucement, regarda amoureusement Kanato avant de fermer les yeux. Comme de coutume, les lèvres de Kanato se déposèrent délicatement sur les paupières fermées. Quand Terry rouvrit les yeux, les Tsukoji au grand complet étaient accroupis au pied de l’escalier. Terry hésita un instant quant à l’attitude à adopter. Finalement, il se redressa, et pour une fois plus grand qu’eux, perché sur les marches de l'escalier, il prit conscience du pouvoir qu’il avait sur ces hommes.
– Bandes d’idiots ! Ben m’a tout dit ! Non, mais qu’est-ce que vous vous imaginez ! Je vous aime ! Je vous aime tous ! Je me suis fait du soucis pour vous ! Je ne veux être loin d’aucun de vous ! Idiots…
Le discours qui avait été commencé avec colère se termina dans l'émotion. Ils étaient tous là. Les Tsukoji s’étaient relevés et tous tentèrent d’enlacer en même temps Terry, ce qui donna lieu à une belle pagaille. Terry était ballotté sans ménagement d’une paire de bras à l’autre, mais il était heureux. Quand les choses se furent un peu calmé, Terry les embrassa passionnément à tour de rôle, renouvelant dans un murmure son amour pour chacun. La crise était passée, mais ce n'était sans doute pas la dernière. Malgré tout, Terry était devenu un nouveau lien qui réunissait les Tsukoji, le cœur de la famille.
Fin du prologue
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