– J'aimais pas ces cris de belettes, grommela Amaki.
– Oh, fit Terry et comme aimanté, son regard revint se poser sur le sexe d'Amaki.
Terry savait qu'il n'aurait pas dû sentir le désir monter en lui, qu'il avait fait l'amour assez de fois comme ça dans la soirée, mais c'était plus fort que lui.
– Bordel, Terry ! Arrête de me regarder comme ça ! râla Amaki.
– Pourquoi tu regardes ça ? Tu n'es même pas excité, murmura Terry en s'humectant la lèvre.
– Parce que j'ai cru que devant un de ces fameux films, se branler deviendrait une évidence. J'ai jamais eu à faire ça de ma vie.
– Tu veux dire te masturber ?
– Oui. Avant toi, je laissais les filles me courir après et mes besoins étaient satisfaits.
– Je peux t'aider, si tu veux, maintenant que je suis là, proposa timidement Terry et son regard retomba sur le sexe d'Amaki qui était dressé à présent.
– Fais comme tu veux, dit Amaki, apparemment embarrassé.
Terry prit la main d'Amaki et la posa sur le pénis de ce dernier. Puis glissant ses doigts entre ceux d'Amaki, il le fit se caresser. Amaki ne fit ni une ni deux. Il dégagea sa main, poussa Terry sur le canapé, lui ôta d'un geste vif son caleçon et sans plus attendre, entra en lui. Terry eut un petit cri devant cette intrusion brutale. Amaki, après avoir donné quelques coups de reins, ressortit. Ensuite, il se leva, et fit changer de position à Terry. L'adolescent avait à présent les genoux sur le rebord du canapé, les fesses en l'air, les mains au dossier. Amaki le pénétra de nouveau avec force. Terry gémit devant cette brutalité qui ne s'arrêta qu'une fois qu'Amaki eût joui. Terry, lui, n'était pas satisfait. Amaki lui avait à peine effleuré le pénis et la douleur, bien que mêlée de plaisir, lui avait fait monter les larmes aux yeux.
– Désolé, Terry, murmura Amaki, contre son oreille.
– Je ne suis pas une chose, Amaki, répondit simplement Terry.
– Je sais. J'ai juste perdu la tête. Je mourrais d'envie de te prendre. Tu veux que j'essaye de te faire jouir avec ma bouche ? proposa Amaki alors que cela lui coûtait visiblement beaucoup.
Terry sourit. C'était lui qui quelques heures plus tôt rechignait de faire ça avec Roland. Amaki n'avait jamais fait ça à un homme et pendant le mois qui s'était écoulé, il n'avait pas tenté une seule fois de le faire à Terry. Amaki, après tout, était un homme à femmes jusqu'à très récemment. C'était les femmes qui lui faisaient ce genre de faveur !
– Pour te faire pardonner, ce serait parfait, répondit Terry, mais ne te force pas, ajouta-t-il en voyant Amaki grimacer.
– Oh, fit Terry et comme aimanté, son regard revint se poser sur le sexe d'Amaki.
Terry savait qu'il n'aurait pas dû sentir le désir monter en lui, qu'il avait fait l'amour assez de fois comme ça dans la soirée, mais c'était plus fort que lui.
– Bordel, Terry ! Arrête de me regarder comme ça ! râla Amaki.
– Pourquoi tu regardes ça ? Tu n'es même pas excité, murmura Terry en s'humectant la lèvre.
– Parce que j'ai cru que devant un de ces fameux films, se branler deviendrait une évidence. J'ai jamais eu à faire ça de ma vie.
– Tu veux dire te masturber ?
– Oui. Avant toi, je laissais les filles me courir après et mes besoins étaient satisfaits.
– Je peux t'aider, si tu veux, maintenant que je suis là, proposa timidement Terry et son regard retomba sur le sexe d'Amaki qui était dressé à présent.
– Fais comme tu veux, dit Amaki, apparemment embarrassé.
Terry prit la main d'Amaki et la posa sur le pénis de ce dernier. Puis glissant ses doigts entre ceux d'Amaki, il le fit se caresser. Amaki ne fit ni une ni deux. Il dégagea sa main, poussa Terry sur le canapé, lui ôta d'un geste vif son caleçon et sans plus attendre, entra en lui. Terry eut un petit cri devant cette intrusion brutale. Amaki, après avoir donné quelques coups de reins, ressortit. Ensuite, il se leva, et fit changer de position à Terry. L'adolescent avait à présent les genoux sur le rebord du canapé, les fesses en l'air, les mains au dossier. Amaki le pénétra de nouveau avec force. Terry gémit devant cette brutalité qui ne s'arrêta qu'une fois qu'Amaki eût joui. Terry, lui, n'était pas satisfait. Amaki lui avait à peine effleuré le pénis et la douleur, bien que mêlée de plaisir, lui avait fait monter les larmes aux yeux.
– Désolé, Terry, murmura Amaki, contre son oreille.
– Je ne suis pas une chose, Amaki, répondit simplement Terry.
– Je sais. J'ai juste perdu la tête. Je mourrais d'envie de te prendre. Tu veux que j'essaye de te faire jouir avec ma bouche ? proposa Amaki alors que cela lui coûtait visiblement beaucoup.
Terry sourit. C'était lui qui quelques heures plus tôt rechignait de faire ça avec Roland. Amaki n'avait jamais fait ça à un homme et pendant le mois qui s'était écoulé, il n'avait pas tenté une seule fois de le faire à Terry. Amaki, après tout, était un homme à femmes jusqu'à très récemment. C'était les femmes qui lui faisaient ce genre de faveur !
– Pour te faire pardonner, ce serait parfait, répondit Terry, mais ne te force pas, ajouta-t-il en voyant Amaki grimacer.
2 commentaires:
Ho ho les choses sérieuse commencent pour notre cher Amaki ^^
Merci pour l'info et j'attends la suite avec impatience que ce soit via le net ou en "mode tactile" (j'aime bien quand le livre est dans ma bibliothèque lol)Petite question est-ce que les affaires marchent bien? car je sais que cela peut être dur de vendre son produit quand le marché n'est pas forcément ouvert à certains genre de livre ^^' voilà j'arrête de t'ennuyer avec mes questions pour aujourd'hui ^^
Les affaires ne marchent pas spécialement bien, mais j'ai bon espoir. Après tout, je n'ai pas mis le livre en vente depuis très longtemps.
Tu ne m'embêtes nullement avec tes questions, ton intérêt me fait plaisir. :)
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