– Même si avoir beaucoup d'érections n'a rien d'exceptionnel, et qu'éjaculer plusieurs fois en quelques heures est tout à fait possible, laisse-moi te dire que ton énergie m'impressionne.
– Comment tu sais que... commença Terry sans oser finir.
– C'est une supposition. Vu l'heure, j'imagine que tu as fait pas mal de crochets et que tu n'es pas encore revenu à ton lit. Et connaissant mes frères, je doute que tes escales se soient toutes arrêtées à un gentil petit bisou.
– Je ne pourrais plus guère supporter grande chose d'autre, répondit Terry non sans un brin d'embarras, car son pénis, lui, ne semblait pas d'accord.
Tsumi caressa tendrement la joue de l'adolescent, le souleva et l'amena dans sa chambre. Là, il l'allongea sur le lit, puis il sortit deux tubes de crèmes différents. Avec la douceur qui le caractérisait, Tsumi étala la première crème sur les poignets de l'adolescent, puis il appliqua la seconde au niveau de l'anus.
– Qui t'as fait ça ? demanda-t-il quand il eut fini.
– Matsuka et Amaki, répondit Terry d'une voix ensommeillée.
La douceur de Tsumi l'avait bercée et elle lui avait fait révéler des choses qu'il aurait mieux fait de taire.
– Les sauvages ! Je leur ferais la leçon !
– Non, s'il-te-plaît, pas ça, supplia Terry.
– Je verrai. Tu veux que je te ramène à ta chambre?
– Je préfèrerai rester avec toi...
– Ça ferait du grabuge au petit matin. On avait dit que tu dormirais dans la chambre d'ami pour la dernière nuit.
– C'était stupide, murmura Terry. T'es fâché ?
– Non, non.
– Alors, pourquoi tu ne me fais même pas « un gentil petit bisou » ?
Tsumi captura brièvement les lèvres de Terry.
– Je te ramène ? demanda-t-il ensuite.
– Non, ça va, je vais clopiner en bas d'ici quelques minutes. Après un vrai baiser.
Tsumi soupira, colla la bouche contre celle de l'adolescent, entremêla leurs langues longuement et, enfin, s'écarta.
– Je ne suis pas fâché, mais je m'inquiète pour ta santé. Ton réveil sonne tôt et tu auras à peine dormi.
Terry se redressa et claudiqua jusqu'à la porte.
– Tu ne veux vraiment pas que je te porte dans ton lit ?
– C'est plus drôle comme ça, dit Terry avec petit sourire et il sortit avec une idée très précise de ce qu'il allait faire avant de regagner ses quartiers.
Il dépassa la chambre de Mel et parvint devant celle de Ben. Là, au lieu de prendre immédiatement l'escalier qui était juste à trois pas, il s'arrêta et entra dans l'antre de l'écrivain. Bingo ! Il était réveillé !
– Comment tu sais que... commença Terry sans oser finir.
– C'est une supposition. Vu l'heure, j'imagine que tu as fait pas mal de crochets et que tu n'es pas encore revenu à ton lit. Et connaissant mes frères, je doute que tes escales se soient toutes arrêtées à un gentil petit bisou.
– Je ne pourrais plus guère supporter grande chose d'autre, répondit Terry non sans un brin d'embarras, car son pénis, lui, ne semblait pas d'accord.
Tsumi caressa tendrement la joue de l'adolescent, le souleva et l'amena dans sa chambre. Là, il l'allongea sur le lit, puis il sortit deux tubes de crèmes différents. Avec la douceur qui le caractérisait, Tsumi étala la première crème sur les poignets de l'adolescent, puis il appliqua la seconde au niveau de l'anus.
– Qui t'as fait ça ? demanda-t-il quand il eut fini.
– Matsuka et Amaki, répondit Terry d'une voix ensommeillée.
La douceur de Tsumi l'avait bercée et elle lui avait fait révéler des choses qu'il aurait mieux fait de taire.
– Les sauvages ! Je leur ferais la leçon !
– Non, s'il-te-plaît, pas ça, supplia Terry.
– Je verrai. Tu veux que je te ramène à ta chambre?
– Je préfèrerai rester avec toi...
– Ça ferait du grabuge au petit matin. On avait dit que tu dormirais dans la chambre d'ami pour la dernière nuit.
– C'était stupide, murmura Terry. T'es fâché ?
– Non, non.
– Alors, pourquoi tu ne me fais même pas « un gentil petit bisou » ?
Tsumi captura brièvement les lèvres de Terry.
– Je te ramène ? demanda-t-il ensuite.
– Non, ça va, je vais clopiner en bas d'ici quelques minutes. Après un vrai baiser.
Tsumi soupira, colla la bouche contre celle de l'adolescent, entremêla leurs langues longuement et, enfin, s'écarta.
– Je ne suis pas fâché, mais je m'inquiète pour ta santé. Ton réveil sonne tôt et tu auras à peine dormi.
Terry se redressa et claudiqua jusqu'à la porte.
– Tu ne veux vraiment pas que je te porte dans ton lit ?
– C'est plus drôle comme ça, dit Terry avec petit sourire et il sortit avec une idée très précise de ce qu'il allait faire avant de regagner ses quartiers.
Il dépassa la chambre de Mel et parvint devant celle de Ben. Là, au lieu de prendre immédiatement l'escalier qui était juste à trois pas, il s'arrêta et entra dans l'antre de l'écrivain. Bingo ! Il était réveillé !
3 commentaires:
Yeah encore un épisode super génial et je ne dis pas ça pour flatter mais je le pense sincèrement, n'ayant aucun talent pour l'écriture, j'admire ceux qui en ont ^^ et je dois avouer que l'impatience me gagne à l'idée de savoir comment tout cela finira ^____^
Décidément, Terry est incorrigible...
...à moins que ce ne soit l'auteur qui le soit. ;op
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