Ben ne releva pas la tête. Terry s'approcha à pas de velours, puis lui déroba soudainement un baiser.
– Terry ! s'exclama Ben. C'est déjà le matin ? s'étonna-t-il.
– Non, c'est juste que j'avais envie de t'embrasser et comme tu écris parfois quand tout le monde dort, j'ai tenté ma chance.
– C'est agréable d'écrire la nuit. Surtout si cela signifie avoir des surprises pareilles, déclara Ben avant d'enlacer amoureusement l'adolescent.
Terry grimaça. Il avait été attrapé par les poignets.
– Pardon. Mais, dis-moi, tu tiens à peine debout !
– Oui, je faisais juste une dernière escale avant de me coucher.
– Ce serait mieux... surtout que j'ai une idée sur le bout de la plume, murmura Ben en reprenant son stylo.
Terry le regarda replonger dans ses feuilles, puis sortit en clopinant. Il venait de poser le pied sur la première marche de l'escalier quand Mel apparut au loin dans le couloir. En quelques enjambées, il rejoignit l'adolescent.
– Écoute, Terry, tu devrais être au lit. Tu te rends compte de l'heure qu'il est ! Demain, tu as école.
– A ce que je sache, tu devrais dormir également. Tu as cours aussi très tôt demain, non ?
– Je suis ton aîné, alors ne prends pas ce ton avec moi.
– Tu n'es pas mon père, pas mon frère. Et pas mon professeur tant que nous ne sommes pas dans l'enceinte du lycée. Tu es mon amoureux.
– Raison de plus pour m'inquiéter pour ta santé.
Terry eut envie de rire. C'est lui qui faisait la leçon à Mika quelques heures plus tôt ! A présent, c'était son tour de se faire sermonner !
– Pas comme un père. Un amoureux me prendrait dans ses bras et me portrait jusqu'à mon lit avant de m'embrasser et d'essayer de me faire l'amour.
– D'accord, pour la première partie... dit Mel en attrapant l'adolescent.
Il descendit l'escalier, son précieux fardeau dans les bras. Quand ils passèrent devant la cuisine, Terry remarqua qu'il y avait de la lumière, mais ne dit rien.
– Pourquoi tu ne dormais pas ? demanda-t-il une nouvelle fois.
– Je fais de l'insomnie. Je suis réveillé depuis trois heures du matin, répondit Mel. Allez, te voilà à destination, reprit-il en installant l'adolescent dans son lit.
Le drap était sec. Le changer attendrait demain, songea Terry tandis que Mel posait les lèvres sur son front.
– Il faudra qu'on reprenne ta thérapie bientôt, murmura Terry.
– Oui, oui, dors maintenant.
– Cela aurait été bien que tu me essayes de me faire l'amour.
– Même si je pouvais avoir une érection dans cette maison, tu ne serais pas en état actuellement, répondit Mel, non sans un léger sourire narquois.
Impossible de répliquer, c'était vrai. Il regarda Mel sortir, attendit quelques minutes et se releva pour se rendre à la cuisine. Il aurait parié que Charlie y était. Il avait envie que Charlie s'y trouve, car c'était le seul Tsukoji qu'il n'avait pas vu pendant cette nuit blanche. Il était cinq heures du matin passé à présent.
– Terry ! s'exclama Ben. C'est déjà le matin ? s'étonna-t-il.
– Non, c'est juste que j'avais envie de t'embrasser et comme tu écris parfois quand tout le monde dort, j'ai tenté ma chance.
– C'est agréable d'écrire la nuit. Surtout si cela signifie avoir des surprises pareilles, déclara Ben avant d'enlacer amoureusement l'adolescent.
Terry grimaça. Il avait été attrapé par les poignets.
– Pardon. Mais, dis-moi, tu tiens à peine debout !
– Oui, je faisais juste une dernière escale avant de me coucher.
– Ce serait mieux... surtout que j'ai une idée sur le bout de la plume, murmura Ben en reprenant son stylo.
Terry le regarda replonger dans ses feuilles, puis sortit en clopinant. Il venait de poser le pied sur la première marche de l'escalier quand Mel apparut au loin dans le couloir. En quelques enjambées, il rejoignit l'adolescent.
– Écoute, Terry, tu devrais être au lit. Tu te rends compte de l'heure qu'il est ! Demain, tu as école.
– A ce que je sache, tu devrais dormir également. Tu as cours aussi très tôt demain, non ?
– Je suis ton aîné, alors ne prends pas ce ton avec moi.
– Tu n'es pas mon père, pas mon frère. Et pas mon professeur tant que nous ne sommes pas dans l'enceinte du lycée. Tu es mon amoureux.
– Raison de plus pour m'inquiéter pour ta santé.
Terry eut envie de rire. C'est lui qui faisait la leçon à Mika quelques heures plus tôt ! A présent, c'était son tour de se faire sermonner !
– Pas comme un père. Un amoureux me prendrait dans ses bras et me portrait jusqu'à mon lit avant de m'embrasser et d'essayer de me faire l'amour.
– D'accord, pour la première partie... dit Mel en attrapant l'adolescent.
Il descendit l'escalier, son précieux fardeau dans les bras. Quand ils passèrent devant la cuisine, Terry remarqua qu'il y avait de la lumière, mais ne dit rien.
– Pourquoi tu ne dormais pas ? demanda-t-il une nouvelle fois.
– Je fais de l'insomnie. Je suis réveillé depuis trois heures du matin, répondit Mel. Allez, te voilà à destination, reprit-il en installant l'adolescent dans son lit.
Le drap était sec. Le changer attendrait demain, songea Terry tandis que Mel posait les lèvres sur son front.
– Il faudra qu'on reprenne ta thérapie bientôt, murmura Terry.
– Oui, oui, dors maintenant.
– Cela aurait été bien que tu me essayes de me faire l'amour.
– Même si je pouvais avoir une érection dans cette maison, tu ne serais pas en état actuellement, répondit Mel, non sans un léger sourire narquois.
Impossible de répliquer, c'était vrai. Il regarda Mel sortir, attendit quelques minutes et se releva pour se rendre à la cuisine. Il aurait parié que Charlie y était. Il avait envie que Charlie s'y trouve, car c'était le seul Tsukoji qu'il n'avait pas vu pendant cette nuit blanche. Il était cinq heures du matin passé à présent.
2 commentaires:
Cool pour une fois que je me lève avant que le réveille sonne, j'ai la surprise de découvrir un news épisode ^_____^ C'est bien de voir que Terry n'est plus aussi timide qu'avant et on a vite fait de s'attacher à lui et aux autres persos, vivement la suite car la grande question est...Qui se trouve dans la cuisine, c'est sur que ce serait bien si Charlie s'y trouvait ^^
Quand je tombe du lit, les épisodes sortent tôt... :)
Tes commentaires me font vraiment plaisir, ils me motivent et m'encouragent, donc merci.
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