Terry entra dans la cuisine et eut le bonheur d'y trouver Charlie. En même temps, à moins d'une petite faim nocturne, il n'y avait bien que Charlie pour être debout dans la cuisine à une pareille heure. De temps à autres, il se levait très tôt pour faire du pain frais pour le petit déjeuner ou préparer de la pâte à crêpes.
– Bonjour !
– Bonjour, mon sucre d'orge ! s'exclama Charlie avec un brin d'étonnement.
Cela n'arrivait pas souvent qu'on le dérange pendant qu'il cuisinait le matin. Il continua à pétrir le pain, en attendant de voir ce que voulait Terry.
– Je peux rester avec toi ?
A ces mots, une petite lueur se mit à danser dans les yeux noirs de Charlie. La fameuse petite lueur qui signifiait qu'il allait demander à l'adolescent de s'allonger sur la table pour le dévorer tout cru. Indépendamment du fait que Terry ne raffolait pas être recouvert de confiture, chantilly, chocolat ou autres mets, il ne se sentait pas capable de subir l'assaut qui suivrait immanquablement.
– Je vais y aller, finalement...
– Attends une minute, tu débarques comme une fleur en me suppliant de te laisser me tenir compagnie et ensuite tu te défiles, cela ne va pas du tout !
Quand avait-il donc supplié ? C'était typique de Charlie ce genre de déformation...
– C'est juste que je n'ai pas dormi du tout en fait.
La chose à ne pas dire ! L'aimable Charlie se renfrogna. Il avait compris à quoi Terry avait passé la nuit et cela ne lui plaisait pas du tout.
– Tu peux rester, je ne ferai rien... jusqu'à demain.
Avec délectation Charlie imaginait déjà la scène. Il laisserait à l'adolescent son caleçon et l'enduirait le reste de son corps de confiture à la fraise, puis il le lècherait jusqu'à ce que Terry demande à être touché. Là, il l'obligerait à ôter son caleçon et à couvrir son propre sexe de confiture à la fraise... Ce serait délicieux. Son air de chat qui se pourlèche les babines trahit ses pensées. Terry se mit brièvement la tête entre les mains en songeant aux douces tortures que son amoureux devait être en train d'imaginer, puis un sourire vint flotter sur les lèvres. Cela avait été une nuit mémorable... Il croisa les bras sur la table, posa la tête sur cet oreiller improvisé et s'endormit tandis que Charlie continuait à s'activer.
– Bonjour !
– Bonjour, mon sucre d'orge ! s'exclama Charlie avec un brin d'étonnement.
Cela n'arrivait pas souvent qu'on le dérange pendant qu'il cuisinait le matin. Il continua à pétrir le pain, en attendant de voir ce que voulait Terry.
– Je peux rester avec toi ?
A ces mots, une petite lueur se mit à danser dans les yeux noirs de Charlie. La fameuse petite lueur qui signifiait qu'il allait demander à l'adolescent de s'allonger sur la table pour le dévorer tout cru. Indépendamment du fait que Terry ne raffolait pas être recouvert de confiture, chantilly, chocolat ou autres mets, il ne se sentait pas capable de subir l'assaut qui suivrait immanquablement.
– Je vais y aller, finalement...
– Attends une minute, tu débarques comme une fleur en me suppliant de te laisser me tenir compagnie et ensuite tu te défiles, cela ne va pas du tout !
Quand avait-il donc supplié ? C'était typique de Charlie ce genre de déformation...
– C'est juste que je n'ai pas dormi du tout en fait.
La chose à ne pas dire ! L'aimable Charlie se renfrogna. Il avait compris à quoi Terry avait passé la nuit et cela ne lui plaisait pas du tout.
– Tu peux rester, je ne ferai rien... jusqu'à demain.
Avec délectation Charlie imaginait déjà la scène. Il laisserait à l'adolescent son caleçon et l'enduirait le reste de son corps de confiture à la fraise, puis il le lècherait jusqu'à ce que Terry demande à être touché. Là, il l'obligerait à ôter son caleçon et à couvrir son propre sexe de confiture à la fraise... Ce serait délicieux. Son air de chat qui se pourlèche les babines trahit ses pensées. Terry se mit brièvement la tête entre les mains en songeant aux douces tortures que son amoureux devait être en train d'imaginer, puis un sourire vint flotter sur les lèvres. Cela avait été une nuit mémorable... Il croisa les bras sur la table, posa la tête sur cet oreiller improvisé et s'endormit tandis que Charlie continuait à s'activer.
Fin du chapitre 1
1 commentaire:
J'adore la fin de ce chapitre c'est soft rien ne se passe et notre cher Terry peut enfin dormir un peu ^___^
Mais on a hâte de voir la suite, franchement ton histoire est captivante et le premier truc que je fais en me levant le matin c'est d'aller voir si tu as mis des news ^^ Ça c'est sûr dès que tu sors le tome 2 je fais un achat groupé ^^
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