Un frisson parcourut le corps de Terry. Il était rejeté. Sans qu’il le veuille les larmes lui montèrent aux yeux. Ben se pencha alors et lécha les larmes qui perlaient, puis il glissa sa langue dans la bouche de Terry et lui donna un profond baiser. Finalement Ben se redressa.
– C’est un baiser d’adieu ? balbutia Terry qui nageait en pleine confusion.
Ben fronça les sourcils.
– Qu’est-ce que tu racontes ?
– Mais enfin, ils sont tous partis et toi…toi, tu m’ignores…et en plus…tu ne veux pas que je te…touche…
Terry hoquetait entre les larmes. La tension des deux derniers jours venait de le faire craquer. Ben releva Terry, le captura dans ses bras, et lui massa délicatement le cou comme il en avait l’habitude. Terry ne se calma pas.
– J’étais censé ne rien te dire, mais je ne veux plus que tu pleures. En fait, nous voulions savoir si un seul d’entre nous ne te suffisait pas. Et comme, tu m’as donné ta toute première fois…bref, il a été décidé que si tu en aimais un seul, c’était moi… Je ne sais pas trop comment nous en sommes venus à ce plan, mais tu sais, nous avons du mal à nous faire à la situation.
Terry reprenait peu à peu contenance en entendant le discours de Ben.
– Qu’est-ce que vous êtes allés inventer…? Je vous aime tous… Et ce n’est pas comme si, je n’avais pas de mal à m’habituer à la situation également. Je… Je…
– Huum. Peut-être que si nous parlions tous ensemble à coeur ouvert, les choses iraient mieux.
– Tu crois ? Tu sais où les joindre pour qu’ils reviennent, n’est-ce pas ? demanda Terry, la main crispée sur la chemise de Ben.
– Bien sûr. Ils ne sont pas loin du tout. Ils sont allés dans la ville la plus proche d’ici. A dire vrai, moi aussi, ils me manquent. Et puis, je ne savais vraiment pas comment inventer une histoire expliquant leur départ, ce qui est le comble pour un écrivain !
– C’est idiot de gâcher deux jours de vacances, presque trois maintenant. Dans une semaine, mes parents vont rentrer de leur voyage et ce sera la fin des vacances. Pour une fois, qu’on avait plus long que deux jours à passer tous ensemble.
– Oui, mais c’est ta faute aussi.
Terry sentit qu’il allait de nouveau pleurer. Oui, c’était sa faute de les aimer tous à la fois, tous sans exception. On ne tombe pas amoureux de douze personnes, comme ça, négligemment... Il était tombé amoureux d’une seule entité pourtant, une famille...
– Oui... murmura Terry.
– C’est un baiser d’adieu ? balbutia Terry qui nageait en pleine confusion.
Ben fronça les sourcils.
– Qu’est-ce que tu racontes ?
– Mais enfin, ils sont tous partis et toi…toi, tu m’ignores…et en plus…tu ne veux pas que je te…touche…
Terry hoquetait entre les larmes. La tension des deux derniers jours venait de le faire craquer. Ben releva Terry, le captura dans ses bras, et lui massa délicatement le cou comme il en avait l’habitude. Terry ne se calma pas.
– J’étais censé ne rien te dire, mais je ne veux plus que tu pleures. En fait, nous voulions savoir si un seul d’entre nous ne te suffisait pas. Et comme, tu m’as donné ta toute première fois…bref, il a été décidé que si tu en aimais un seul, c’était moi… Je ne sais pas trop comment nous en sommes venus à ce plan, mais tu sais, nous avons du mal à nous faire à la situation.
Terry reprenait peu à peu contenance en entendant le discours de Ben.
– Qu’est-ce que vous êtes allés inventer…? Je vous aime tous… Et ce n’est pas comme si, je n’avais pas de mal à m’habituer à la situation également. Je… Je…
– Huum. Peut-être que si nous parlions tous ensemble à coeur ouvert, les choses iraient mieux.
– Tu crois ? Tu sais où les joindre pour qu’ils reviennent, n’est-ce pas ? demanda Terry, la main crispée sur la chemise de Ben.
– Bien sûr. Ils ne sont pas loin du tout. Ils sont allés dans la ville la plus proche d’ici. A dire vrai, moi aussi, ils me manquent. Et puis, je ne savais vraiment pas comment inventer une histoire expliquant leur départ, ce qui est le comble pour un écrivain !
– C’est idiot de gâcher deux jours de vacances, presque trois maintenant. Dans une semaine, mes parents vont rentrer de leur voyage et ce sera la fin des vacances. Pour une fois, qu’on avait plus long que deux jours à passer tous ensemble.
– Oui, mais c’est ta faute aussi.
Terry sentit qu’il allait de nouveau pleurer. Oui, c’était sa faute de les aimer tous à la fois, tous sans exception. On ne tombe pas amoureux de douze personnes, comme ça, négligemment... Il était tombé amoureux d’une seule entité pourtant, une famille...
– Oui... murmura Terry.
2 commentaires:
Bonjour, BONNE ANNEE 2009
Trop génial trop puissant, j'ai hate de voir comment il va s'en sortir, lequels des frères il va choisir
merci pour cette fics qui me ravie chaque jour
Je suis contente que mon roman te plaise et j'espère que tu continueras à me lire même en sachant que Terry a choisi les 12 frères sans exclure un seul.
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