– Mais je ne t’aime pas ? Si je dis que je t’aime, tu me laisseras faire ce que je veux, n’est-ce pas ? Mais c’est stupide, même si je te le dis et te l’affirme qui te dira que c’est vrai et non pas des mots que je prononce juste pour coucher avec toi ?
Terry soupira.
– Je peux seulement espérer que ce soit vrai. D’ailleurs, je pense que si vous me le dîtes, c’est que ce sera vrai. Vous voulez croire en la fidélité, n’est-ce pas ? Alors, vous n’allez pas mentir juste pour coucher avec un infidèle comme moi…De toute façon, vous pouvez coucher avec plein de monde, alors vous n’avez certainement pas besoin de quelqu’un comme moi, ajouta Terry l’air triste et les yeux baissés sur la couette jaune vif.
Il n’avait rien d’un top-model. Il était plutôt du genre rat de bibliothèque.
– Pas mal raisonné, mais personnellement, je ne te comprends pas. Je veux dire…Pourquoi avoir accepté de sortir avec Roland si tu as envie d’aller voir ailleurs ? Et si tu as envie de coucher avec moi, pourquoi vouloir que je t’aime ? Sans compter, ton dénigrement idiot vis à vis de toi même…C’est vrai que tu es très petit niveau taille, mais tu es mignon et tes yeux dorés avec ou sans tes lunettes brillent vraiment de la plus jolie des manières…
Ben songea qu’il se comprenait mal lui-même. Non, mais qu’est-ce qu’il foutait nu, assis sur le bord de son lit à discuter d’amour et de fidélité avec un adolescent âgé de dix sept ans également nu ! Et dire, qu’il y a encore quelques minutes, il était en mode sexe…
– J’ai, j’ai accepté de sortir avec Roland parce que je l’aime. Et…et j’ai…j’ai envie de coucher avec vous parce que je crois bien que je vous aime aussi.
– Pourquoi m’aimes-tu ? Tu me connais bien peu…
– C’est comme ça. Je n’y comprends rien moi-même.
La voix de Terry se brisa et il fondit littéralement en larmes. Il était secoué de tremblements de plus en plus violents. Qu’est-ce qu’il était devenu stupide et idiot ces derniers temps ! Ben se sentit désemparé devant ce soudain flot de larmes. Finalement, partant du principe qu’un baiser calmerait Terry, il s’exécuta. Terry resta d’abord interdit, puis il leva les bras et se serra contre Ben.
– Je t’aime, laissa échapper Ben contre toute attente.
Terry ne résista plus aux baisers et aux caresses, il se laissa emporter par le désir grandissant qui envahissait tout son être.
Terry soupira.
– Je peux seulement espérer que ce soit vrai. D’ailleurs, je pense que si vous me le dîtes, c’est que ce sera vrai. Vous voulez croire en la fidélité, n’est-ce pas ? Alors, vous n’allez pas mentir juste pour coucher avec un infidèle comme moi…De toute façon, vous pouvez coucher avec plein de monde, alors vous n’avez certainement pas besoin de quelqu’un comme moi, ajouta Terry l’air triste et les yeux baissés sur la couette jaune vif.
Il n’avait rien d’un top-model. Il était plutôt du genre rat de bibliothèque.
– Pas mal raisonné, mais personnellement, je ne te comprends pas. Je veux dire…Pourquoi avoir accepté de sortir avec Roland si tu as envie d’aller voir ailleurs ? Et si tu as envie de coucher avec moi, pourquoi vouloir que je t’aime ? Sans compter, ton dénigrement idiot vis à vis de toi même…C’est vrai que tu es très petit niveau taille, mais tu es mignon et tes yeux dorés avec ou sans tes lunettes brillent vraiment de la plus jolie des manières…
Ben songea qu’il se comprenait mal lui-même. Non, mais qu’est-ce qu’il foutait nu, assis sur le bord de son lit à discuter d’amour et de fidélité avec un adolescent âgé de dix sept ans également nu ! Et dire, qu’il y a encore quelques minutes, il était en mode sexe…
– J’ai, j’ai accepté de sortir avec Roland parce que je l’aime. Et…et j’ai…j’ai envie de coucher avec vous parce que je crois bien que je vous aime aussi.
– Pourquoi m’aimes-tu ? Tu me connais bien peu…
– C’est comme ça. Je n’y comprends rien moi-même.
La voix de Terry se brisa et il fondit littéralement en larmes. Il était secoué de tremblements de plus en plus violents. Qu’est-ce qu’il était devenu stupide et idiot ces derniers temps ! Ben se sentit désemparé devant ce soudain flot de larmes. Finalement, partant du principe qu’un baiser calmerait Terry, il s’exécuta. Terry resta d’abord interdit, puis il leva les bras et se serra contre Ben.
– Je t’aime, laissa échapper Ben contre toute attente.
Terry ne résista plus aux baisers et aux caresses, il se laissa emporter par le désir grandissant qui envahissait tout son être.
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