– Ne t’en fais pas, je ne recommencerai pas. Je sais à présent que tu es le petit ami de Roland, dit posément Tsumi.
– Ce n’est pas ce que je voulais savoir ! s’écria Terry.
Il se sentait coupable vis à vis de Roland, mais il se sentait énervé qu'on le lui jette en permanence à la figure.
– La signification profonde d’un baiser ? Hum… Bonne question.
Terry releva la tête et regarda Tsumi intensément. Allait-il répondre ? Allait-il dire les mots attendus ?
– Tu sais déjà ce que cela veut dire, Terry. Alors, ne me le demande pas, c’est trop pénible vu la situation actuelle, reprit Tsumi.
Tsumi l’aimait. Tsumi l’aimait. Tsumi l’aimait.
– C’est un peu compliqué, mais je ne sais pas trop où j’en suis avec mes sentiments pour les frères Tsukoji. J’ai accepté de sortir avec Roland, mais en fait, c'est compliqué, répéta Terry.
– Oh...laissa échapper Tsumi en croisant nerveusement ses mains.
– Je dois aller en cours, déclara Terry et il se refugia derrière la porte.
Il soupira. La journée était loin d’être finie. Le plus délicat restait à faire. Aborder le sujet avec les autres frères Tsukoji, y compris, ceux qui ne devaient pas s'en douter le moins du monde.
Hanami jetait à Terry des coups d'oeils interrogateurs à travers la salle de cours, mais ne pouvait l'aborder, surtout que l'une de ses ferventes admiratrices faisait tout ce qu'elle pouvait pour accaparer son attention.
Au lieu de se dépêcher de se rendre au cours de langue, Terry traîna pour ranger ses affaires à la fin du cours de littérature. Mel remarqua que Terry faisait plus que prendre son temps et il fit de même, si bien qu'ils furent les derniers à sortir de la salle. Hanami avait été déjà poussé dehors contre sa volonté. Il avait également repéré l'étrange lenteur de Terry, mais n'avait pu traîner : son admiratrice veillait. Dans le couloir, des flots d'élèves qui rejoignaient leurs cours suivants, se croisaient. Terry et Mel restèrent côte à côte le long du mur, attendant que l'agitation se calme. Pour la galerie, Terry posa quelques questions de littérature, auxquelles Mel répondit. A peine, un ou deux regards intrigués s'attachèrent à eux. Enfin, le couloir fût vide et Terry, officiellement en retard pour le cours suivant. C'est seulement alors que le sujet brûlant fût abordé.
– Ce n’est pas ce que je voulais savoir ! s’écria Terry.
Il se sentait coupable vis à vis de Roland, mais il se sentait énervé qu'on le lui jette en permanence à la figure.
– La signification profonde d’un baiser ? Hum… Bonne question.
Terry releva la tête et regarda Tsumi intensément. Allait-il répondre ? Allait-il dire les mots attendus ?
– Tu sais déjà ce que cela veut dire, Terry. Alors, ne me le demande pas, c’est trop pénible vu la situation actuelle, reprit Tsumi.
Tsumi l’aimait. Tsumi l’aimait. Tsumi l’aimait.
– C’est un peu compliqué, mais je ne sais pas trop où j’en suis avec mes sentiments pour les frères Tsukoji. J’ai accepté de sortir avec Roland, mais en fait, c'est compliqué, répéta Terry.
– Oh...laissa échapper Tsumi en croisant nerveusement ses mains.
– Je dois aller en cours, déclara Terry et il se refugia derrière la porte.
Il soupira. La journée était loin d’être finie. Le plus délicat restait à faire. Aborder le sujet avec les autres frères Tsukoji, y compris, ceux qui ne devaient pas s'en douter le moins du monde.
Hanami jetait à Terry des coups d'oeils interrogateurs à travers la salle de cours, mais ne pouvait l'aborder, surtout que l'une de ses ferventes admiratrices faisait tout ce qu'elle pouvait pour accaparer son attention.
Au lieu de se dépêcher de se rendre au cours de langue, Terry traîna pour ranger ses affaires à la fin du cours de littérature. Mel remarqua que Terry faisait plus que prendre son temps et il fit de même, si bien qu'ils furent les derniers à sortir de la salle. Hanami avait été déjà poussé dehors contre sa volonté. Il avait également repéré l'étrange lenteur de Terry, mais n'avait pu traîner : son admiratrice veillait. Dans le couloir, des flots d'élèves qui rejoignaient leurs cours suivants, se croisaient. Terry et Mel restèrent côte à côte le long du mur, attendant que l'agitation se calme. Pour la galerie, Terry posa quelques questions de littérature, auxquelles Mel répondit. A peine, un ou deux regards intrigués s'attachèrent à eux. Enfin, le couloir fût vide et Terry, officiellement en retard pour le cours suivant. C'est seulement alors que le sujet brûlant fût abordé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire