– En fait, si. Mais je voulais vous parler.
– Entre donc, ou je vais attraper la mort.
– Oui, pardon, dit Terry en entrant précipitamment.
Ben se dirigea vers l’escalier et monta les marches, ne laissant pas d’autre choix à Terry que de le suivre. Il entra dans sa chambre.
– Je m’habille et je suis à toi, dit Ben en se tournant vers son armoire.
Pendant que Ben fouillait dans sa penderie à la recherche de la tenue idéale, Terry laissa son regard vagabonder sur le sol où des boules de papier traînaient. Une feuille non froissée à sa droite attira son attention. Pris de curiosité et d’enthousiasme à l’idée de lire un extrait d’un roman inédit de son auteur favori, Terry se pencha, ramassa la feuille et commença à lire :
« – Romuald, nous ne pouvons pas faire cela. Nos deux familles sont ennemies.
La voix de Julien tremblait en disant ces mots. Pressé contre la tenture violette, encerclé par les deux bras de Romuald, Julien n’en menait pas large. A la fois, il voulait que Romuald l’embrasse et en même temps, l’idée des représailles familiales le hantait.
– Tch. Ne tremble pas…
Romuald s’humecta les lèvres, se pencha…»
– Oh ! s’exclama Terry en lâchant la feuille.
Ben se tourna vers lui, quelques vêtements dans la main.
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Huum…euh…rien, balbutia Terry, rouge comme une pivoine.
– Si tu le dis, dit Ben en haussant les épaules.
L’écrivain jeta les vêtements sur le lit, défit la ceinture de son peignoir…
– Je, je vais sortir dehors attendre que vous vous soyez changé, débita Terry à toute vitesse.
– Pourquoi ? Ce n’est pas nécessaire. Ça ne me gêne pas que tu sois là.
Terry collé contre la porte ouvrit de grands yeux, et puis, le peignoir glissa dévoilant la nudité de l’homme blond dans toute sa splendeur. Il ressemblait vraiment à un viking. Terry tétanisé, n’arrivait pas à décoller son regard de l’entrejambe de Ben. Moins impressionnant que celui de Roland, le sexe au repos de Ben n’avait toutefois rien à envier à celui de son frère.
– Je retire ce que j’ai dit. Je vais finir par me sentir gêné, Terry, déclara Ben.
– Entre donc, ou je vais attraper la mort.
– Oui, pardon, dit Terry en entrant précipitamment.
Ben se dirigea vers l’escalier et monta les marches, ne laissant pas d’autre choix à Terry que de le suivre. Il entra dans sa chambre.
– Je m’habille et je suis à toi, dit Ben en se tournant vers son armoire.
Pendant que Ben fouillait dans sa penderie à la recherche de la tenue idéale, Terry laissa son regard vagabonder sur le sol où des boules de papier traînaient. Une feuille non froissée à sa droite attira son attention. Pris de curiosité et d’enthousiasme à l’idée de lire un extrait d’un roman inédit de son auteur favori, Terry se pencha, ramassa la feuille et commença à lire :
« – Romuald, nous ne pouvons pas faire cela. Nos deux familles sont ennemies.
La voix de Julien tremblait en disant ces mots. Pressé contre la tenture violette, encerclé par les deux bras de Romuald, Julien n’en menait pas large. A la fois, il voulait que Romuald l’embrasse et en même temps, l’idée des représailles familiales le hantait.
– Tch. Ne tremble pas…
Romuald s’humecta les lèvres, se pencha…»
– Oh ! s’exclama Terry en lâchant la feuille.
Ben se tourna vers lui, quelques vêtements dans la main.
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Huum…euh…rien, balbutia Terry, rouge comme une pivoine.
– Si tu le dis, dit Ben en haussant les épaules.
L’écrivain jeta les vêtements sur le lit, défit la ceinture de son peignoir…
– Je, je vais sortir dehors attendre que vous vous soyez changé, débita Terry à toute vitesse.
– Pourquoi ? Ce n’est pas nécessaire. Ça ne me gêne pas que tu sois là.
Terry collé contre la porte ouvrit de grands yeux, et puis, le peignoir glissa dévoilant la nudité de l’homme blond dans toute sa splendeur. Il ressemblait vraiment à un viking. Terry tétanisé, n’arrivait pas à décoller son regard de l’entrejambe de Ben. Moins impressionnant que celui de Roland, le sexe au repos de Ben n’avait toutefois rien à envier à celui de son frère.
– Je retire ce que j’ai dit. Je vais finir par me sentir gêné, Terry, déclara Ben.
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