Une sonnerie de téléphone résonna dans l’habitacle. William sursauta et Terry se rappela soudain qu’il se trouvait sur la banquette arrière d’une voiture dont la portière était ouverte. William se cogna la tête en cherchant à se redresser sans s’appuyer sur Terry, mais il finit par réussir à sortir de la voiture. Terry se rassit et regarda William dans les yeux. Il n’avait plus rien à perdre de toute façon.
– Terry, pousse toi un peu.
Le téléphone avait cessé de sonner depuis un petit moment, mais William ne semblait en avoir que cure. Terry s’exécuta en silence. William s’assit à côté de lui et referma la portière d’un claquement sec.
– Je…commença à dire Terry avant se s’arrêter.
Toutes ses belles résolutions d’embrasser tous les Tsukoji avaient disparu et il ne restait plus que l’embarras et l’impression d’être trop à l’étroit dans son pantalon. Ce qui n’était pas hélas qu’une impression !
– Bon, je vais prendre les choses en main, mister Ryotsuka puisque tu ne sembles pas capable de parler. Tu es amoureux de Hanami et comme je lui ressemble, tu m’as embrassé et maintenant, tu es bien ennuyé, surtout que je t’ai également embrassé et que j’étais parti pour aller plus loin sans ce coup de téléphone qui doit être de Hanami, je parie.
– Ce n’est pas ça, réussit à dire Terry.
– Qu’est-ce que c’est, alors ? Si tu ne m’expliques pas, je risque de mal interpréter.
– Pourquoi avez-vous répondu à mon baiser ? répliqua Terry.
L’adolescent se remit à admirer ses genoux. Il ne savait plus ce qu’il faisait, il ne savait plus ce qu’il disait. Il voulait être ailleurs. Non, il voulait comprendre ce qui lui arrivait.
– Terry, pousse toi un peu.
Le téléphone avait cessé de sonner depuis un petit moment, mais William ne semblait en avoir que cure. Terry s’exécuta en silence. William s’assit à côté de lui et referma la portière d’un claquement sec.
– Je…commença à dire Terry avant se s’arrêter.
Toutes ses belles résolutions d’embrasser tous les Tsukoji avaient disparu et il ne restait plus que l’embarras et l’impression d’être trop à l’étroit dans son pantalon. Ce qui n’était pas hélas qu’une impression !
– Bon, je vais prendre les choses en main, mister Ryotsuka puisque tu ne sembles pas capable de parler. Tu es amoureux de Hanami et comme je lui ressemble, tu m’as embrassé et maintenant, tu es bien ennuyé, surtout que je t’ai également embrassé et que j’étais parti pour aller plus loin sans ce coup de téléphone qui doit être de Hanami, je parie.
– Ce n’est pas ça, réussit à dire Terry.
– Qu’est-ce que c’est, alors ? Si tu ne m’expliques pas, je risque de mal interpréter.
– Pourquoi avez-vous répondu à mon baiser ? répliqua Terry.
L’adolescent se remit à admirer ses genoux. Il ne savait plus ce qu’il faisait, il ne savait plus ce qu’il disait. Il voulait être ailleurs. Non, il voulait comprendre ce qui lui arrivait.
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