Mel souleva Terry et l'assit sur la table. Il s'accroupit et tout en maintenant les poignets de Terry, il ouvrit de ses dents la fermeture éclair du pantalon de celui-ci. Terry déglutit. Une part de lui rêvait de fuir tandis que l'autre était fasciné. Mel le relâcha un instant pour ôter ses lunettes. Terry ne bougea pas, il était comme pétrifié. Mel Tsukoji était beau à couper le souffle sans lunettes.
– A nous, dit Mel.
– N....non.
Mel ne prit garde à sa faible protestation. Il fit glisser le haut du pantalon et le slip. Il caressa le membre de Terry jusqu'à ce que celui-ci soit excité. Puis, se remettant à genoux, Mel porta à sa bouche la verge de Terry. L'adolescent eût le sentiment qu'il était devenu un brasier et que d'ici peu il allait se consumer. Terry, toujours assis, voulut repousser de ses deux mains la tête blonde - ce blond vénitien qui lui plaisait tant - mais Mel ne bougea pas d'un pouce.
– Aaah.
Terry se rejeta en arrière vaincu par le plaisir.
– Amer, dit simplement Mel tandis qu'un peu de liquide blanc coulait au coin de sa bouche.
Terry réalisa où il se trouvait en voyant au-dessus de lui le plafond de la salle de cours. Il se redressa vivement, puis regarda Mel qui s'était remis debout. Terry sentit le sang lui monter aux joues, il avait...avait...dans la bouche de Mel. Il baissa la tête, mais la vue de son pantalon et de son slip baissés ne l'aidèrent pas à se remettre de sa honte. Paniqué, il quitta la table et remit vivement en place les deux sans regarder Mel.
– C'est beaucoup plus excitant dans les lieux publics, n'est-ce pas ? déclara Mel.
Terry ne répondit rien : et s'il prenait à Mel l'envie d'aller plus loin ? Terry regarda la porte avec une certaine envie. Tout allait trop vite, beaucoup trop vite. Si ça continuait comme cela, d'ici l'heure du coucher, il aurait perdu toute son innocence. Mel s'approcha soudainement et le serra contre lui.
– Dis que tu es à moi. Rien qu'à moi.
Terry à moitié étouffé sous cette étreinte se demanda ce que Mel entendait par là. Il se sentait mal, il voulait s'échapper. Mel le relâcha, l'air triste.
– Je veux sortir, déclara Terry tout bas.
Mel l'entendit.
– N'oublie pas de lire les poly pour la semaine prochaine, dit Mel brusquement, en retrouvant son air menaçant.
Terry malgré son malaise ne put s'empêcher de rire intérieurement du ridicule de la situation. La même bouche qui venait de le faire trembler de plaisir tentait de lui faire peur en parlant de devoirs !!
Il ne s'expliquerait pas et ne s'excuserait pas non plus, comprit Terry. Terry se rendit également compte qu'il aurait pu refuser ce qui s'était passé s'il l'avait vraiment voulu. Il devait admettre qu'il voulait être touché par les frères Tsukoji. Il avait soif d'amour et de caresses.
C'est d'une démarche chancelante que Terry rentra chez lui. Il prit une longue douche sous laquelle il ne put s'empêcher de se masturber : il revoyait la bouche de Mel sur son sexe, sentait de nouveau la langue de Tsumi jouant avec sa langue et la main de Matsuka sur son torse. Il aurait sans doute encore passé une nuit blanche à se torturer les méninges si la fatigue n'avait pas eu raison de lui.
– A nous, dit Mel.
– N....non.
Mel ne prit garde à sa faible protestation. Il fit glisser le haut du pantalon et le slip. Il caressa le membre de Terry jusqu'à ce que celui-ci soit excité. Puis, se remettant à genoux, Mel porta à sa bouche la verge de Terry. L'adolescent eût le sentiment qu'il était devenu un brasier et que d'ici peu il allait se consumer. Terry, toujours assis, voulut repousser de ses deux mains la tête blonde - ce blond vénitien qui lui plaisait tant - mais Mel ne bougea pas d'un pouce.
– Aaah.
Terry se rejeta en arrière vaincu par le plaisir.
– Amer, dit simplement Mel tandis qu'un peu de liquide blanc coulait au coin de sa bouche.
Terry réalisa où il se trouvait en voyant au-dessus de lui le plafond de la salle de cours. Il se redressa vivement, puis regarda Mel qui s'était remis debout. Terry sentit le sang lui monter aux joues, il avait...avait...dans la bouche de Mel. Il baissa la tête, mais la vue de son pantalon et de son slip baissés ne l'aidèrent pas à se remettre de sa honte. Paniqué, il quitta la table et remit vivement en place les deux sans regarder Mel.
– C'est beaucoup plus excitant dans les lieux publics, n'est-ce pas ? déclara Mel.
Terry ne répondit rien : et s'il prenait à Mel l'envie d'aller plus loin ? Terry regarda la porte avec une certaine envie. Tout allait trop vite, beaucoup trop vite. Si ça continuait comme cela, d'ici l'heure du coucher, il aurait perdu toute son innocence. Mel s'approcha soudainement et le serra contre lui.
– Dis que tu es à moi. Rien qu'à moi.
Terry à moitié étouffé sous cette étreinte se demanda ce que Mel entendait par là. Il se sentait mal, il voulait s'échapper. Mel le relâcha, l'air triste.
– Je veux sortir, déclara Terry tout bas.
Mel l'entendit.
– N'oublie pas de lire les poly pour la semaine prochaine, dit Mel brusquement, en retrouvant son air menaçant.
Terry malgré son malaise ne put s'empêcher de rire intérieurement du ridicule de la situation. La même bouche qui venait de le faire trembler de plaisir tentait de lui faire peur en parlant de devoirs !!
Il ne s'expliquerait pas et ne s'excuserait pas non plus, comprit Terry. Terry se rendit également compte qu'il aurait pu refuser ce qui s'était passé s'il l'avait vraiment voulu. Il devait admettre qu'il voulait être touché par les frères Tsukoji. Il avait soif d'amour et de caresses.
C'est d'une démarche chancelante que Terry rentra chez lui. Il prit une longue douche sous laquelle il ne put s'empêcher de se masturber : il revoyait la bouche de Mel sur son sexe, sentait de nouveau la langue de Tsumi jouant avec sa langue et la main de Matsuka sur son torse. Il aurait sans doute encore passé une nuit blanche à se torturer les méninges si la fatigue n'avait pas eu raison de lui.
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