Quand les yeux gonflés de sommeil, Terry entra dans le car, Matsuka l'accueillit avec un grand sourire, puis remarquant l'air perturbé et fatigué de l'adolescent, il se rembrunit.
– Qu'est-ce qui ne va pas, Terry ? s'enquit Matsuka plein de sollicitude. C'est le dîner en famille qui t'a rendu malade à ce point ? poursuivit-il d'un ton léger.
– Oh non ! protesta Terry.
– Quoi alors ?
– J'ai très mal dormi. Une pensée qui me trottait dans la tête...Rien de grave. La soirée était vraiment très bien, j'espère que vous m'inviterez de nouveau.
Le visage de Matsuka s'éclaira.
– Tu as aimé et tu en reveux. Quelle perle rare! Dommage que tu ne sois pas une fille ! lança Matsuka sur le ton de la plaisanterie.
– Je le regrette moi aussi, marmonna Terry.
– Qu'est-ce que tu as dit ?
– Que je...Rien d'important.
– Si tu le dis, Terry...Tiens, ça rime.
Le car s'arrêta. Alissa Magn monta et bouscula Terry alors même que celui-ci ne gênait nullement le passage.
– Aïe ! laissa échapper Terry.
– Qu'est-ce que tu fabriques Alissa ? Regarde où tu marches ! s'énerva Matsuka.
Alissa en rougit de colère.
– Tu es comme Roland ! s'insurgea-t-elle.
Les passagers du bus tendirent l'oreille. Terry devint plus pâle que la mort.
– Je ne suis qu'attiré que par les gens gentils, y a pas de mal à cela. Reviens quand tu seras gentille, dit Matsuka d'une voix amusée qui déguisait mal sa colère.
Alissa Magn alla s'installer en pestant. Terry voulut également s'asseoir, mais avant cela il dut promettre à Matsuka de rester dans le car à l'arrêt du lycée, quand tout le monde serait parti. Matsuka tenait absolument à dire quelque chose en privé à Terry avant qu'il n'aille en cours. Terry resta donc une fois que les autres élèves furent sortis, y compris Hanami. Matsuka sortit alors de son siège de chauffeur et entraîna Terry au fond du car.
– Nous y serons plus à l'aise pour discuter.
Terry allait protester qu'il n'avait pas le temps, mais en regardant sa montre, il comprit que l'excuse ne tenait pas la route. Le premier cours ne commencerait pas avant dix bonnes minutes.
– De quoi ?
– De toi. Et de moi.
– Oh.
Terry se demanda si Matsuka allait l'embrasser avant de se morigéner : tous les frères Tsukoji n'étaient pas homosexuels et ils n'allaient sûrement pas tous tomber amoureux fou de lui.
– Qu'est-ce qui ne va pas, Terry ? s'enquit Matsuka plein de sollicitude. C'est le dîner en famille qui t'a rendu malade à ce point ? poursuivit-il d'un ton léger.
– Oh non ! protesta Terry.
– Quoi alors ?
– J'ai très mal dormi. Une pensée qui me trottait dans la tête...Rien de grave. La soirée était vraiment très bien, j'espère que vous m'inviterez de nouveau.
Le visage de Matsuka s'éclaira.
– Tu as aimé et tu en reveux. Quelle perle rare! Dommage que tu ne sois pas une fille ! lança Matsuka sur le ton de la plaisanterie.
– Je le regrette moi aussi, marmonna Terry.
– Qu'est-ce que tu as dit ?
– Que je...Rien d'important.
– Si tu le dis, Terry...Tiens, ça rime.
Le car s'arrêta. Alissa Magn monta et bouscula Terry alors même que celui-ci ne gênait nullement le passage.
– Aïe ! laissa échapper Terry.
– Qu'est-ce que tu fabriques Alissa ? Regarde où tu marches ! s'énerva Matsuka.
Alissa en rougit de colère.
– Tu es comme Roland ! s'insurgea-t-elle.
Les passagers du bus tendirent l'oreille. Terry devint plus pâle que la mort.
– Je ne suis qu'attiré que par les gens gentils, y a pas de mal à cela. Reviens quand tu seras gentille, dit Matsuka d'une voix amusée qui déguisait mal sa colère.
Alissa Magn alla s'installer en pestant. Terry voulut également s'asseoir, mais avant cela il dut promettre à Matsuka de rester dans le car à l'arrêt du lycée, quand tout le monde serait parti. Matsuka tenait absolument à dire quelque chose en privé à Terry avant qu'il n'aille en cours. Terry resta donc une fois que les autres élèves furent sortis, y compris Hanami. Matsuka sortit alors de son siège de chauffeur et entraîna Terry au fond du car.
– Nous y serons plus à l'aise pour discuter.
Terry allait protester qu'il n'avait pas le temps, mais en regardant sa montre, il comprit que l'excuse ne tenait pas la route. Le premier cours ne commencerait pas avant dix bonnes minutes.
– De quoi ?
– De toi. Et de moi.
– Oh.
Terry se demanda si Matsuka allait l'embrasser avant de se morigéner : tous les frères Tsukoji n'étaient pas homosexuels et ils n'allaient sûrement pas tous tomber amoureux fou de lui.
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