Le blond le conduisit jusqu’à la chambre de Gaïus.
— Maintenant, demande-lui de quitter ton corps, ordonna-t-il.
Blaise obtempéra sans cesser de sucer la peau de sa main.
— Maintenant, demande-lui de quitter ton corps, ordonna-t-il.
Blaise obtempéra sans cesser de sucer la peau de sa main.
Il ressentit aussitôt un vide sur lequel il n’eut pas le temps de s’appesantir.
— Aide-moi à l’attacher !
Blaise constata avec une certaine surprise qu’il y avait des menottes fixées aux montants massifs du grand lit. Blaise ne parvint pas à formuler de question. Tout ce qu’il voulait, c’était manger.
Le colosse se montra heureusement plutôt coopératif durant l’opération.
— Je vais chercher les autres. Occupe-toi de lui.
— J’ai faim, marmonna Blaise.
— Je te ramène quelque chose.
— Je vais chercher les autres. Occupe-toi de lui.
— J’ai faim, marmonna Blaise.
— Je te ramène quelque chose.
Céleste quitta la pièce. La clef tourna dans la serrure. Il les avait enfermés.
Blaise commença à lécher le sel de la peau de Gaïus qui s’agitait, tirant sur ses chaînes, donnant de grands coups de reins désespérés dans le vide, son pénis massif engorgé.
Le blond ne tarda pas à être de retour avec Huo et Marin auxquels Blaise n’accorda qu’un bref regard, se focalisant sur la pomme que tenait Céleste dans sa main : de la nourriture !
Délaissant le savoureux barbu, Blaise se précipita sur le fruit, s’en empara et le croqua à pleine dents.
— Gaïus n’est pas en état de purifier Blaise et la réciproque est vraie, d’autant plus qu’il ne l’a jamais fait, annonça Marin.
Céleste opina gravement de la tête pendant que Blaise réduisait la pomme à l’état de trognon.
— Si on parvient à satisfaire Gaïus, il arrivera peut-être à se concentrer assez longtemps, dit le blond.
Huo se déshabilla aussi sec.
— Les scrupules ne t’étouffent pas, grommela Céleste, tout en ôtant à son tour ses vêtements.
Blaise avait achevé le fruit et avait du coup envie de goûter à toute cette chair crémeuse étalée devant lui.
Il attrapa la main du roux et du blond, aspirant un doigt de chacun des jeunes hommes dans sa bouche.
Pendant ce temps, Marin enleva sa chemise, l’accrocha au dossier de la grande chaise placée devait un impressionnant bureau, retira son élégant pantalon, le plia et pour finir, se débarrassa de son boxer bleu roi et de ses chaussettes.
— Surtout, prends ton temps alors que Gaïus souffre, râla Céleste en se dégageant de l’emprise de Blaise.
— Tu reproches à Huo son empressement, à moi ma lenteur, ce n’est pas cohérent, répliqua Marin avec froideur.
Et voilà, ils se disputaient encore. Ils auraient mieux fait de le nourrir… ou de sucer Gaïus.
Blaise, entraînant Huo avec lui, retourna sur le lit.
1 commentaire:
Pas facile en temps normal de s'entendre entre eux mais là je crois que c'est encore pire ^^"
Merci pour l'épisode, j'adore cette histoire et j'ai très hâte de lire la suite :D
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